background preloader

Exposition participative

Facebook Twitter

Francois Morellet évoque le Labyrinthe du GRAV de Cholet. Yoko Ono’s CUT PIECE: From Text to Performance and Back Again by Kevin Concannon – IMAGINE PEACE. Yoko Ono: CUT PIECE Performed by Yoko Ono on July 20, 1964 at Yamaichi Concert Hall, Kyoto, Japan.

Yoko Ono’s CUT PIECE: From Text to Performance and Back Again by Kevin Concannon – IMAGINE PEACE

Photographer unknown; courtesy Lenono Photo Archive. by Kevin Concannon Art is inexorably bound up in the situation where it is produced and where it is experienced. You can emphasize this, or you can emphasize where it is produced or experienced: you can even equate them, and emphasize the equation. The relationship exists in any case, and, either as artist or as audience, we are in a situation analogous to a swimmer who may fight the surf, dive through it and struggle against it until he gets out beyond where the surf is noticeable: or else this swimmer can roll with the waves. The seemingly sudden and recent popularity of reprise performances of live artworks of the 1960s and 1970s has been greeted with an equally abundant supply of critical analysis, much of which frames these events as “reenactments.” Yoko Ono, Cut Piece, 1964. There are a number of problems with this assessment. 2. Cut Piece ✂ Sol LeWitt: A Wall Drawing Retrospective.

Sol LeWitt. Dessins muraux de 1968 à 2007. Le Centre Pompidou-Metz met à l’honneur l’artiste conceptuel américain Sol LeWitt (1928-2007) en lui dédiant un projet inédit.

Sol LeWitt. Dessins muraux de 1968 à 2007

En Galerie 2, sur une superficie de 1 200 m2, est présentée une rétrospective des wall drawings (dessins muraux) de Sol LeWitt d’une envergure sans précédent en Europe : avec ses trente-trois oeuvres murales, parcourant la carrière de l’artiste de ses débuts à ses dernières réalisations, l’exposition du Centre Pompidou-Metz propose l’ensemble de wall drawings le plus important jamais présenté en Europe. À la faveur d’un partenariat exceptionnel avec des écoles d’art et d’architecture du Grand Est, la réalisation des wall drawings au Centre Pompidou-Metz illustre parfaitement le principe de collaboration au coeur de la pratique de l’artiste. 2014 CAMUS Spectateur... L’étude de la place du spectateur au sein de dispositifs artistiques et numériques : cadre historiographique et enjeux.

À partir des années cinquante, la place du spectateur se développe au sein des prestations esthétiques qui lui sont contemporaines.

L’étude de la place du spectateur au sein de dispositifs artistiques et numériques : cadre historiographique et enjeux

Elle confronte une théorisation de l’œuvre participative, interprétative, ouverte, via les écrits de Karl Gerstner, Umberto Eco, John Berger1, à des propositions remettant en cause son culte et sa propriété, à l’instar de l’art cinétique, du GRAV, du multiple ou de l’art vidéo. L’artiste n’est plus seulement le producteur d’objets. Il crée des situations où la participation et la créativité du spectateur sont susceptibles de se développer : installations, environnements, dispositifs.

Exécution, actualisation : des rôles du public dans l’activation des œuvres d’art. 1 Plus particulièrement des œuvres relevant de l’art conceptuel. 1Ma recherche étudie l’évolution des rôles du spectateur des années 1960 à nos jours.

Exécution, actualisation : des rôles du public dans l’activation des œuvres d’art

Nous traiterons ici des œuvres des années 19601 qui auraient renouvelé les modes d’implications du public dans la relation esthétique. Des œuvres dont les dispositifs interactifs sollicitent des interventions constructives du récepteur pour leur fonctionnement (nous ne ferons qu’envisager leurs liens avec l’interactivité des technologies numériques actuelles). Il s’agira de relever certains embrayeurs, opérateurs qui conduisent à des actions critiques et créatives du spectateur. Une première hypothèse est que ces actions productives se jouent à partir de rapports non oppositionnels entre la participation et l’interprétation.

Time Lapse of Sol LeWitt's "Wall Drawing #797" Sol LeWitt: A Wall Drawing Retrospective. Sol LeWitt. Dessins muraux de 1968 à 2007. Le Centre Pompidou-Metz met à l’honneur l’artiste conceptuel américain Sol LeWitt (1928-2007) en lui dédiant un projet inédit.

Sol LeWitt. Dessins muraux de 1968 à 2007

En Galerie 2, sur une superficie de 1 200 m2, est présentée une rétrospective des wall drawings (dessins muraux) de Sol LeWitt d’une envergure sans précédent en Europe : avec ses trente-trois oeuvres murales, parcourant la carrière de l’artiste de ses débuts à ses dernières réalisations, l’exposition du Centre Pompidou-Metz propose l’ensemble de wall drawings le plus important jamais présenté en Europe. À la faveur d’un partenariat exceptionnel avec des écoles d’art et d’architecture du Grand Est, la réalisation des wall drawings au Centre Pompidou-Metz illustre parfaitement le principe de collaboration au coeur de la pratique de l’artiste. En 2013, le Centre Pompidou-Metz présente Sol LeWitt collectionneur. Un artiste et ses artistes. Commissaire :Béatrice Gross, commissaire et critique d’art indépendante, New York La pratique du dessin mural. Sol LeWitt. Sol LeWitt 2 structures "Incomplete Open Cube" aluminium et peinture émaillée, 105 x 105 cm, 1974 Dans ses "structures" (terme que préfère utiliser l'artiste pour définir ses sculptures) Sol LeWitt a choisi le cube comme élément de base; il le met en jeu dans toutes sortes de combinaisons des plus simples aux plus complexes : progression, permutation ou inversion lui permettant ainsi de s'approprier la notion de logique rationnelle.

Sol LeWitt

Son monde créatif s'établit à partir d'un réseau de carrés ou cubes qui lui semblent présenter le plus de développements potentiels. Les "Incomplete Open Cubes" existent, chacun, en tant qu'élément singulier d'un ensemble de variations : ils sont constitués d'entités qui sont à considérer chacune en relation avec toutes les autres possibilités de cubes incomplets (il y en a 122 ) .

(détail) Accueil. L'œuvre Toiles à l'unité, 1973/Légendes, 1985. « Une toile peinte de la même couleur que le mur sur lequel elle est accrochée », voilà la proposition avec laquelle, en 1973, Claude Rutault donne à l’objet pictural un statut radicalement nouveau.

L'œuvre Toiles à l'unité, 1973/Légendes, 1985

D’une part, le tableau ne cherche plus à se distinguer de son mur d’accrochage mais, au contraire, à lui ressembler. D’autre part, il n’est plus un objet pérenne, intangible, car il suffit que le mur change de couleur pour que la sienne change aussi. La peinture proclame de la sorte sa dépendance à l’égard de son contexte et, par là même, de la personne qui en assure l’intendance. En effet, et c’e... lire la suite « Une toile peinte de la même couleur que le mur sur lequel elle est accrochée », voilà la proposition avec laquelle, en 1973, Claude Rutault donne à l’objet pictural un statut radicalement nouveau. Activation des œuvres d'art contemporain et prescriptions auctoriales. Références bibliographiques Binkley (Thierry). 1992. « Pièce : contre l'esthétique » ; traduit par Claude Hary-Schaeffer in Esthétique et Poétique I sous la direction de Gérard Genette.

Activation des œuvres d'art contemporain et prescriptions auctoriales

Paris : Éd. du Seuil. Buren (Daniel). 1992. « La peinture et son exposition ou la peinture est-elle présentable ? » Cahiers du musée national d'Art moderne.