MetaLimbs : le bras robotisé que l’on peut contrôler…avec les pieds ! Même avec deux bras et deux mains en parfait état de marche, il existe nombre de situations où l’on ne se plaindrait pas de pouvoir disposer d’un troisième bras, à la façon du Dr Octopus; par exemple, lorsque l’on est affairé sur le clavier de son ordinateur et que le café est en train de refroidir juste à côté, ou que le mobile sonne.
Mais heureusement pour nous autres pauvres mortels sans une minute de repos, le laboratoire Inami Hiyama de l’Université de Tokyo a tout prévu; les chercheurs de l’Inami Hiyama ont en effet profité du salon du Siggraph 2017 pour dévoiler les MetaLimbs, soit des bras robotisés que l’on pilote directement…avec les pieds ! Signaler une erreur dans le texte Merci de nous avoir signalé l'erreur, nous allons corriger cela rapidement.
Intéressant ? Partagez la news ! Restez connectés avec nous :-) COLLABORATION Associer la puissance de la machine au savoir-faire humain et réduire la pénibilité. Bien sûr pas de collaboration sans robot collaboratif. COOPÉRATION Réduire les temps morts liés à la sécurité, opérateur et robot travaillent sans barrières dans le même espace. Peut être réalisée avec des robots classiques ou collaboratifs. Normes Sécurité Des Robots Collaboratifs. Kodomoroid et Otonaroid, deux androïdes plus vrais que nature. Un robot pourra-t-il un jour être réaliste au point que l'on ne puisse faire la différence avec un humain ?
La question se pose devant les deux androïdes qui viennent d'être installés au musée national des sciences émergentes et de l'innovation de Tokyo (Miraikan). Kodomoroid (kodomo signifie enfant en japonais) et Otonaroid (otona signifie adulte) ont respectivement les traits d'une jeune fille et d'une femme. Et le réalisme de leur visage est pour le moins bluffant. Grâce à une série de servomoteurs et de muscles artificiels actionnés par air comprimé, les expressions faciales atteignent une fluidité qui s'approche de près de celles d'un humain. Lors d'une conférence de présentation à la presse, Kodomoroid a joué les journalistes en lisant des actualités telle une présentatrice TV, tandis qu'Otonaroid discutait avec l'assistance.
Robi, le petit robot pédagogique à monter vous-même. Restez curieux.
Suivez nous ! Robi est un petit robot pédagogique qui a la particularité d’être livré pièce par pièce chaque semaine. C’est donc à vous de le monter et de découvrir d’une façon originale comment marche ce robot humanoïde ! La filiale japonaise de la maison d’édition DeAgostini, qui vend des outils pédagogiques en magazine, a eu l’idée de proposer ce robot du nom de Robi, en pièces détachées. Ce sera à vous de monter le petit humanoïde avec les morceaux que vous recevrez chaque semaine. Robi parle uniquement japonais, mais il est capable de reconnaître plus de 200 mots, d’effectuer des actions comme se lever, marcher, danser ou s’asseoir par exemple.
Enfin petite capacité insolite, Robi peut vous servir de télécommande puisqu’il est équipé d’un capteur infrarouge au niveau de la tête. Nao et Pepper pas prêts de s’installer à la maison. Cela va faire bien des déçus, mais il faudra encore sérieusement patienter pour disposer d’un robot Pepper ou Nao à son domicile.
Et quand ils arriveront, il faudra casser sa tirelire. Que l’on en juge, au Japon, Pepper revient à près de 10 000 € sur trois ans pour un particulier. 6000 € pour Nao Cela monte à 20 000 € pour une entreprise. Quant à Nao, il est commercialisé sur un mode différent, et revient à 6000 € sur deux ans mais n’est commercialisé qu’auprès des secteurs de l’éducation et de la recherche. On est loin de l’annonce faite fin 2014 par Aldebaran lors de l’événement “Osons La France”, organisé au Grand Palais à Paris, et qui évoquait une commercialisation de Nao fin 2015 au tarif de 4500 €. Dans le détail, Pepper sera disponible d’ici quelques mois en Europe, et aux Etats Unis, mais uniquement pour les développeurs et les entreprises, indique le service de communication d’Aldebaran, la société qui a conçu les deux robots. 10 000 € sur 3 ans. National Robotics Week All-Star Lineup. Since 1885, Georgia Tech has been an institution that helps shape the future and improves society.
When it comes to robotics, we have set ourselves apart in a league of our own. In state-of-the-art facilities across campus, engineers, researchers, and even students are knocking it out of the park when it comes to creating robotic devices and systems that solve the world’s problems. Last November, Georgia Tech launched the Institute for Robotics and Intelligent Machines (IRIM), whose goal is to bring together all of the robotics heavy hitters on campus.
Georgia Tech has created new robotics technologies for a wide variety of critical applications, including manufacturing, health care, defense, and service. These robots are working alongside soldiers and first responders, operating in America’s largest industries, and even assisting people with disabilities. Human collaborative robot from Kawasaki Robotics.