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Folksonomie, un mode de vie. Moteurs Deep Web. Web 2.0. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cartographie sensible du web 2.0 L'expression « Web 2.0 » désigne l'ensemble des techniques, des fonctionnalités et des usages du World Wide Web qui ont suivi la forme originelle du web[1]. Elle concerne en particulier les interfaces permettant aux internautes ayant peu de connaissances techniques de s'approprier de nouvelles fonctionnalités du web. Les internautes peuvent d'une part contribuer à l'échange d'informations et interagir (partager, échanger, etc.) de façon simple, à la fois au niveau du contenu et de la structure des pages, et d'autre part entre eux, créant notamment le Web social[2].

L'internaute devient, grâce aux outils mis à sa disposition, une personne active sur la toile. L'expression « Web 2.0 » utilisée par Dale Dougherty (en) en 2003, diffusée par Tim O'Reilly en 2004 et consolidée en 2005 avec l'exposé de position « What Is Web 2.0 »[3] s'est imposée à partir de 2007. Présentation[modifier | modifier le code] Avenir d'internet. La fin d'un Internet libre et ouvert aux Etats-Unis? Les Américains doivent-ils dire adieu à un Internet libre et ouvert? C’est en tout cas ce qu’avancent de nombreux articles aux allures de nécrologies qui font suite à une décision de justice prise mardi 14 janvier.

Une cour d'appel fédérale vient en effet d’invalider les normes établies par la Federal Communications Commission (FCC), l’équivalent américain de l’Arcep, pour encadrer les pratiques des opérateurs de télécommunication sur Internet. Adoptées en 2010, ces règles «interdisent aux FAI de bloquer des services ou de faire payer les fournisseurs de contenu pour accéder au réseau», rappelle Ars Technica.

Des restrictions qui reviennent à protéger le principe de neutralité du Net, et contre lesquelles «les câblo-opérateurs […] se battent férocement […] depuis des années» (comme le prouve la chronologie des faits à lire chez Gigaom). publicité >>> À lire aussi: «Neutralité du Net: pourquoi ça traîne?» Un «appel devant la Cour suprême» est toujours possible, plaide ArsTechnica. L'avenir de l'internet. Big data.

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une visualisation des données créée par IBM[1] montre que les big data que Wikipedia modifie à l'aide du robot Pearle ont plus de signification lorsqu'elles sont mises en valeur par des couleurs et des localisations[2]. Croissance et Numérisation de la Capacité de Stockage Mondiale de L'information[3].

Dans ces nouveaux ordres de grandeur, la capture, le stockage, la recherche, le partage, l'analyse et la visualisation des données doivent être redéfinis. Certains supposent qu'ils pourraient aider les entreprises à réduire les risques et faciliter la prise de décision, ou créer la différence grâce à l'analyse prédictive et une « expérience client » plus personnalisée et contextualisée. Dimensions des big data[modifier | modifier le code] Le Big Data s'accompagne du développement d'applications à visée analytique, qui traitent les données pour en tirer du sens[15]. Volume[modifier | modifier le code] Variété[modifier | modifier le code] L’internet peut-il casser. Par Daniel Kaplan le 11/01/06 | 15 commentaires | 4,373 lectures | Impression L’internet est-il “cassé” ? Ou à défaut, s’emploie-t-on à le faire ? La question revient de manière périodique depuis le milieu des années 1990.

Du point de vue des utilisateurs finals, elle ne sera pas vraiment d’actualité en 2006 : leur internet continuera de les servir à peu près fidèlement, avec les mêmes bénéfices et les mêmes limites (complexité, performance irrégulière, sécurité…). Mais dans les laboratoires, chez certains grands industriels et opérateurs, ainsi que chez certains régulateurs, la réflexion sur l’internet du futur prend bel et bien forme.

L’architecture fondamentale de l’internet n’a pas changé depuis 15 ans au moins. Des emplâtres à la “feuille blanche” Pourtant, les emplâtres pourraient ne plus suffire. Alors à quoi ressemblera cet internet de demain, et en quoi diffèrera-t-il de celui d’aujourd’hui ? Vaut-il mieux être riche et intelligent ? Cherchez l’argent Tuyaux… d’évacuation ? Utah Data Center. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Panorama de l'Utah Data Center, Utah. Le Centre de données de l'Utah (Utah Data Center) est un centre de stockage et de traitement de données géré par la NSA pour le compte de la Communauté du renseignement des États-Unis, qui sera opérationnel en septembre 2014[1],[2],[3].

Le centre est installé au Camp Williams (en), à 40 km au sud de Salt Lake City, dans l'Utah aux États-Unis. Présentation[modifier | modifier le code] Installé sur l'ancien terrain d'aviation de Camp Williams, un vaste terrain d'entraînement de la Garde nationale, ce site est l'un des 6 data center de la National Security Agency[4]. Structure[modifier | modifier le code] Fin 2013, la surface de la structure serait de 100 000 m2, dont 10 000 m2 dédiés aux serveurs informatiques au sein de 4 immeubles et 90 000 m2 pour les espaces techniques et administratifs[5],[6],[7]. Capacité de stockage[modifier | modifier le code] Données récoltées[modifier | modifier le code] Big data.

D’Aristote au Web de demain : l’intelligence collective selon Pierre Lévy | un blog, des blogs. Lorsque l’on s’intéresse à l’Internet, on se rend rapidement compte que ce n’est pas une technologie comme les autres. Pour certains, l’Internet a même une valeur et un potentiel anthropologiques. En ce sens, l’Internet tendrait donc à représenter l’Humain sous tous ses aspects, à travers une synthèse des différentes sciences humaines et naturelles. (Il est intéressant de noter que le terme anthropologie vient de deux mots grecs, "anthrôpos" qui signifie homme au sens générique, et "logos" qui signifie « parole », « discours ».)

C’est en tout cas sur ce principe que Pierre Lévy fonde le concept d’intelligence collective, dès 1994, notamment dans son ouvrage L’Intelligence collective : pour une anthropologie du cyberespace. Pierre Lévy, au Brésil, en 2009 Toutefois, il estime que l’intelligence collective n’est en aucun cas un concept nouveau, mais a déjà été pensée par des philosophes du passé, et c’est son cheminement que je vais tenter de vous décrire à présent… La tradition Fârâbienne.