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Civils

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Charlie Chaplin on Wall Street: The tale behind the 1918 photo - The Bowery Boys: New York City History. The comedy legend Charlie Chaplin was born 125 years ago today in London, so I thought I’d use the opportunity to re-post one of my favorite photographs of Wall Street.

Charlie Chaplin on Wall Street: The tale behind the 1918 photo - The Bowery Boys: New York City History

In the 1918 photo above, Charlie Chaplin and Douglas Fairbanks draw tens of thousands to Wall Street and the foot of the United States Sub Treasury building (i.e. today’s Federal Hall) to drum up support for World War I war bonds (or, more precisely, Liberty Bonds). The United States had entered the conflict the prior year, on April 6, 1917, and began selling bonds to raise funds for the war effort. Although many Americans were caught up in a patriot fervor, war bond sales were initially quite weak. Most Americans in the late 1910s had never bought a bond of any kind. To promote sales, the government began enlisting celebrities from several fields of entertainment, most notably motion pictures. New York doughnut history: From Washington Irving’s olykoeks to doughnut huts in Union Square - The Bowery Boys: New York City History.

Today is National Doughnut Day which is not a real holiday although that shouldn’t stop you from celebrating in whatever powdered, glazed, creme-filled way you see fit.

New York doughnut history: From Washington Irving’s olykoeks to doughnut huts in Union Square - The Bowery Boys: New York City History

However you will be surprised to learn that this day traces its roots to the Salvation Army and World War I. To provide for the American troops fighting in France in 1917-18, Salvation Army workers set up small tents or ‘huts’, providing the comforts of home, with nourishing meals, a quiet place to write letters or to get clothing mended.

Génocide arménien

L'enseignement de la Grande Guerre de 1914 à nos jours. Entretien avec Benoit Falaize. Cahier d’élève, 20 mai 1916 © Musée national de l’éducation.

L'enseignement de la Grande Guerre de 1914 à nos jours. Entretien avec Benoit Falaize

Depuis 2013, les commémorations du Centenaire de la Première Guerre mondiale ont suscité à tous les niveaux d’enseignement une riche mobilisation de la communauté éducative. De multiples projets pédagogiques pluridisciplinaires portant sur ce conflit majeur et ses effets à long terme sur la société française et le monde ont été proposés sur l’ensemble du territoire. L’École s’est ainsi emparée d’un sujet dont des traces profondes se retrouvent encore dans les histoires familiales comme dans la vie locale. « Journal de la guerre 14-18 » d’Yves Congar Alexandre Lafon. – Nous avons souhaité évoquer avec vous la question de l’enseignement de la Grande Guerre, de l’événement à aujourd’hui, et comprendre comment ce conflit a été présenté à l’École pendant la guerre elle-même et jusqu’à nos jours.

Benoit Falaize On en a un très beau témoignage avec Yves Congar. G. Comment les enfants ont-ils vécu la Première Guerre mondiale ? Quand on parle de la Première Guerre mondiale, on pense souvent aux soldats, les fameux « poilus » qui étaient dans les tranchées.

Comment les enfants ont-ils vécu la Première Guerre mondiale ?

Mais la guerre a aussi touché leurs familles, et bien sûr les enfants. Pour en savoir plus, les p’tits journalistes de franceinfo junior, partenaire d’1jour1actu, ont posé leurs questions à un historien. Cette photo prise en 1915 montre des enfants équipés d’un masque à gaz pour se protéger des attaques chimiques. (© Rue des Archives / Tallandier – P’tits journalistes : © franceinfo junior) Les régions dévastées dans les Archives de la Planète. Chaque mois, retrouvez sur Centenaire.org un portfolio d'autochromes des années 14-18 issus des Archives de la planète d'Albert Kahn, conservés par le Musée départemental Albert-Kahn des Hauts-de-Seine.

Les régions dévastées dans les Archives de la Planète

Plus que des opérations militaires elles-mêmes, les images réalisées par les opérateurs d’Albert Kahn témoignent de l’état des « villes-cadavres » des régions bombardées et des conditions de vie qui y règnent. C’est tout d’abord dans les départements de l’Est de la France directement touchés par le conflit que des missions photographiques vont s’organiser afin de garder une trace des « actes les plus caractérisés de la barbarie allemande » qui laissent pour champs de ruines les panoramas urbains et réduisent les terres agricoles à néant. Toutes ces modifications profondes du territoire sont essentielles pour le géographe qu’est Jean Brunhes, le directeur scientifique des Archives de la Planète. Les déplacements de civils - Sur les chemins de la Grande Guerre. Lors du premier conflit mondial, alors que les frontières nationales s’effacent et que s’installe le front, plus de 12 millions d'Européens se trouvent à un moment donné amenés à fuir la guerre, à devenir des « réfugiés ».

Les déplacements de civils - Sur les chemins de la Grande Guerre

Ceux qui quittent la zone des combats, les évacués par les autorités militaires, les internés, les rapatriés en France non occupée, au-delà d’itinéraires très divers, ont en commun des départs plus ou moins forcés et un exil durable. En 1918, en France, ce sont encore 2 millions de réfugiés, essentiellement originaires du Nord et de l’Est, qui vivent loin de chez eux. En 1914-1918, le déplacé de guerre devient un acteur central de ce conflit d’un genre nouveau et est un enjeu pour tous les belligérants qui doivent organiser, orienter et contrôler ces mouvements de population.