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Logement

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Tiny100 : une mini-maison à 100€ par mois dans Berlin. Se loger coûte de plus en plus cher.

Tiny100 : une mini-maison à 100€ par mois dans Berlin

Dans les grandes villes, pour des Français aux revenus moyens, c’est même devenu mission impossible… Heureusement, ici et là, des gens planchent sur des solutions d’avenir. Exemple à Berlin où un architecte a inventé la Tiny House de centre-ville accessible pour 100€ par mois ! Cet architecte, c’est Van Bo Le-Mentzel. Entouré de son collectif, la Tinyhouse university, il a mis au point une mini-maison mobile pratique, économe, confortable… et au volume étonnant !

Pour 100€, le locataire d’un tiny100 dispose d’une surface au sol très réduite (6,4m2) mais d’une hauteur sous plafond qui autorise les agencements les plus audacieux (3,60m). La Relève et La Peste. C’est en 2008 que le gouvernement lance la démarche EcoQuartier avec un grand « E », qui sera concrétisée en décembre 2012 via la création du label national EcoQuartier.

La Relève et La Peste

Aujourd’hui, ce n’est pas moins de 39 EcoQuartiers labellisés qui ont vu le jour entre 2012 et 2015, soit plus de 55 000 logements écolo. Le quartier des Courtils a Hédé-Bazouges près de Rennes a été le premier à voir le jour. Il y a un peu plus de dix ans, le projet innovant et écologique du maire d’Hédé-Bazouges et des architectes Bernard Menguy et Georges Le Garzic est né : le quartier des Courtils prenait vie sous la forme d’éco-lotissement. En Isère, une expérience réussie d’attribution équitable de logements sociaux. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Isabelle Rey-Lefebvre (Grenoble, envoyée spéciale) L’accès équitable aux logements sociaux et la mixité dans le parc HLM sont-ils conciliables ?

En Isère, une expérience réussie d’attribution équitable de logements sociaux

Le projet de loi égalité et citoyenneté, présenté en conseil des ministres le 13 avril, et avant lui, la loi pour un accès au logement et un urbanisme rénové (Alur) de 2014 réforment les processus d’attribution, parfois illégaux. Déjà, des expériences réussies existent. La métropole grenobloise (49 communes), la communauté d’agglomération du Pays voironnais et celle de la Porte de l’Isère (Bourgoin-Jallieu, l’Isle-d’Abeau, Villefontaine…) ont ainsi décidé, dès 2011, d’expérimenter de nouvelles méthodes plus transparentes, à l’échelon intercommunal plutôt que communal. Investir dans le logement pour faire baisser les loyers. Investir dans le logement pour faire baisser les loyers Créer des emplois et baisser les loyers, en investissant massivement dans le logement, notamment en utilisant le Fonds de réserve pour les retraites actuellement placé sur les marchés financiers.

Investir dans le logement pour faire baisser les loyers

La France est le pays d’Europe qui subit les loyers les plus chers. Si nos loyers étaient au même niveau qu’en Allemagne, on ferait en moyenne 250 euros d’économie par mois pour un appartement de 60 ou 70 m2. Pour une approche critique de la mixité sociale. Longtemps considérées comme des lieux de croisement et de mélange, les villes sont aujourd’hui regardées comme les théâtres d’une désagrégation du lien social [1].

Pour une approche critique de la mixité sociale

Les plus aisés mettent de plus en plus explicitement en scène leur volonté de se tenir à l’écart des pauvres, avec notamment le développement des ensembles d’habitation privés et sécurisés (les gated communities). Les quartiers populaires, de plus en plus pauvres, deviennent pour leur part ce que certains sociologues n’hésitent plus à appeler des ghettos [2]. Cette ségrégation soulève de fait de graves problèmes. Les habitants des quartiers les plus pauvres souffrent ainsi d’un accès dégradé aux services et aux équipements urbains. Ils subissent également des inégalités dans l’accès à l’éducation, ce qui met en péril un projet central de nos sociétés, assurer l’égalité des chances. Pour lutter contre la ségrégation, la réaction immédiate consiste à favoriser la mixité dans les quartiers d’habitation.

La mixité sociale : objectif ou résultat des projets de rénovation urbaine. Depuis 2010, Sosten Projets réalise le suivi des relogements de trois projets de rénovation urbaine à Toulouse (Bagatelle, Mirail et Empalot), en lien avec les bailleurs, les associations de locataires et la Direction départementale des territoires.

La mixité sociale : objectif ou résultat des projets de rénovation urbaine

En 2012, ses consultantes ont également participé à l’animation de la démarche de concertation Ville/Associations organisée par la Direction du développement social de Toulouse pour « refonder la politique de la ville ». La complémentarité de ces deux missions permet de croiser les regards entre les exigences de la gestion du projet urbain et les aspects quotidiens de la vie sociale rapportés par les acteurs publics et associatifs présents dans les quartiers. Elle peut contribuer à éclairer la lecture déjà contrastée des enjeux de mixité sociale et de peuplement (Kirzsbaum 2008 ; Charmes 2009) tels que le PNRU les envisage et les met en œuvre. La mixité par l’arrivée de nouveaux habitants : retour sur quelques présupposés Bibliographie. UVED - Habitat et aide internationale. Contexte et points de repères. Présentation La communauté internationale fait preuve de solidarité dès lors qu’un territoire et ses habitants sont victimes d’une catastrophe.

UVED - Habitat et aide internationale. Contexte et points de repères

Confrontés aux difficultés généralement rencontrées, beaucoup d’organismes se posent des questions sur leurs approches méthodologiques et stratégiques – réduction du risque, préparation au désastre, réponses post-catastrophe, projet de développement – à mettre en place de façon à améliorer la qualité de l’aide, ceci dans une perspective de développement durable.

Trop longtemps, il a été oublié que les groupes humains ont toujours su produire, adapter et faire évoluer leur habitat en fonction de leurs réalités. Cette constante adaptation des sociétés humaines et de leurs cultures constructives locales aux évolutions de leurs environnements naturel et technique, dans le respect des valeurs qui leurs sont propres, n’est-elle pas le fondement même du concept de « développement durable » ? Qui sont les 4 millions de mal-logés en France ?