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Audiovisuel

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Au royaume des Box, celle de Roku peut-elle devenir reine ? La Box la plus vendue aux Etats-Unis Quatre box OTT se sont partagées 86% du marché américain en 2014 : Amazon, Apple, Google et Roku. Les prévisions font état de 86 millions d’unités vendues en 2019 dans le monde. Le quatuor est dominé par Roku qui détient 34 % de part de marché en 2014. Google Chromecast arrive en deuxième position avec 23% de part de marché. Amazon et son Fire TV et Fire Stick ont même dépassé Apple TV. En 2014, Roku a diffusé plus de 3 milliards d'heures de contenus, en hausse de 72% par rapport à l'année précédente, et a terminé l'année avec près de 7 millions de comptes mensuels actifs. Selon les observateurs, Roku aurait du réaliser son introduction en Bourse cette année, ce sera probablement pour 2016, mais cela justifie parfaitement son expansion internationale.

La France, marché simplement encombré ou totalement saturé ? En s’installant en France, Roku ne choisit pas la facilité. Les 5 défis de Roku. Loi numérique : protéger les communs, mais pas en trompe-l’oeil. La semaine dernière, on a appris que la justice américaine, au terme d’une longue procédure, avait finalement donné tort à la société Warner qui revendiquait un droit d’auteur sur la chanson « Happy Birthday ». Son titre de propriété était en réalité sans valeur, alors qu’il fut utilisé depuis les années 80 pour empocher chaque année plusieurs millions de dollars en royalties et entraver la libre réutilisation de cet air datant de la fin du XIXe siècle ! Ce type d’abus choquants dans la revendication de droits de propriété intellectuelle n’est hélas pas un cas isolé.

Apple a ainsi marqué les esprits en cherchant à déposer un brevet sur la forme rectangulaire avec des coins arrondis de ses iPhone et iPad, comme s’il s’agissait d’une « invention ». De son côté, Amazon a déposé l’an dernier un brevet couvrant la photographie d’objets sur fond blanc, en tant que « méthode commerciale ». Making of Retours des communs dans le droit français. La télévision toujours très regardée, mais son mode de « consommation » se diversifie. Social TV et 2nd écran : quels sont les appareils les plus populaires en France ? Télévision - Global TV : TV de rattrapage, presque 2 fois plus de catch-uppers en 6 mois.

La TV de rattrapage - appelée également replay ou catch-up TV - attire chaque jour 4,2 millions de 15 ans et plus qui s’adonnent à cette pratique en moyenne plus d’1h30 quotidiennement. Cet usage en forte progression est porté par les jeunes, les CSP+ ou encore les femmes de moins de 50 ans. De plus en plus d’adeptes du replay sur tous les écrans Chaque jour 4,2 millions de 15 ans et plus, soit 8,1% de personnes, regardent la TV en replay quel que soit l’écran. En 6 mois, le nombre de catch-uppers a pratiquement doublé démontrant un attrait croissant pour cette pratique qui permet de voir ou de revoir un programme TV à l’envi après sa diffusion sur les chaînes. Les individus qui pratiquent le replay y consacrent en moyenne 1h33 chaque jour. Les jeunes au cœur de la pratique du replay Les jeunes de 15-24 ans ont été les premiers à adopter la catch-up et ils sont encore aujourd’hui les plus gros consommateurs du genre. La TV, l’écran préféré pour le replay Le replay, quand et pourquoi faire ?

VoD : le web de demain sera-t-il ouvert ou fermé. Un bouillonnement croissant apparaît autour des diverses offres « over the top » (OTT), diffusées via le web et gérées en direct par un terminal connecté, sans contrôle ni rémunération de l’opérateur de réseau. L’enthousiasme des acteurs est stimulé par l’espoir de répéter autour du téléviseur la désintermédiation des opérateurs qu’Apple a réussie avec l’iPhone.

En quelques années, la marque de Cupertino est ainsi passée du stade de géant de l’électronique grand public (EGP) à celui d’acteur central de la distribution des contenus numériques à la demande, allant jusqu’à imposer le partage de revenus aux opérateurs téléphoniques. Le plus intéressant dans cette success story est qu’elle est fondée sur une stratégie absolument non conventionnelle, qui est passée par une redéfinition complète de la chaîne de valeur. Une recomposition de la concurrence décrite par l’ancien ministre de la Culture, Frédéric Mitterrand, comme un véritable « tsunami ».

Les grands producteurs français s'allient pour promouvoir un big bang audiovisuel - Les Echos. Nouveau dispositif d'aide automatique aux éditeurs vidéo à la demande (VàD) 1er décembre 2014 A l’issue de plusieurs années de discussions avec la Commission européenne, le Conseil d’administration du CNC a adopté le 27 novembre dernier, dans le cadre du « Règlement général des aides financières », un dispositif d’aide financière automatique aux éditeurs de vidéo à la demande (VàD) générée par la diffusion en VàD d’œuvres cinématographique agréées de moins de huit ans.

Cette nouvelle aide, qui complète le soutien sélectif à la VàD mis en place depuis 2008 et récemment renforcé, constitue un soutien majeur et structurant en faveur du développement de l’offre légale de VàD en France. Les éditeurs de VàD éligibles peuvent désormais adhérer en ligne à ce dispositif sur le site du CNC Une fois cette adhésion effectuée, les éditeurs de VàD pourront effectuer en ligne leurs déclarations mensuelles de chiffre d’affaires, sur la base desquelles sera calculée la génération de leur compte de soutien automatique, et ce de manière rétroactive à compter du 1er janvier 2014.

Le gouvernement juge « injuste » de conditionner la redevance à la seule détention d’une TV. Évoquée depuis des années, l’extension de la redevance TV aux ordinateurs, tablettes ou autres appareils connectés sera-t-elle mise en place à partir de l’année prochaine ? C’est en tout cas ce sur quoi travaille actuellement le gouvernement, en vue des discussions à venir sur le projet de loi finances pour 2016. Le problème est loin d’être nouveau. Actuellement, la redevance est due dès qu’un foyer détient un ou plusieurs appareils « clairement identifiables comme des téléviseurs » ou comme des « dispositifs assimilés permettant la réception de la télévision » (un écran plat associé à un lecteur DVD avec tuner, par exemple).

Cela signifie que tout contribuable qui dispose d’un téléviseur mais ne s’en sert que pour regarder des VHS doit malgré tout s’acquitter de cet impôt. Vers une extension de la redevance TV Une réforme « au plus tôt en 2016 » Les chiffres clés de l'audiovisuel français - Edition du 2nd semestre 2014 / Les chiffres clés.