background preloader

Indicateurs DD

Facebook Twitter

Notre dette écologique expliquée en trois cartes. Toute la difficulté des négociations internationales sur le climat repose en partie sur la façon dont on regarde l’impact de chaque pays sur le changement climatique mondial. Mais au-delà du climat se pose aussi la question de la raréfaction des ressources naturelles et de la capacité de chaque pays à assurer ses propres besoins. Autant de paramètres qui rendent difficile la compréhension globale du dérèglement planétaire. Heureusement, certaines cartes et infographies nous aident à mieux nous y retrouver.

L’impact de chaque pays sur le changement climatique Le site internet Miller-McCune a réalisé une jolie infographie comparant les émissions totales de CO2 par pays avec les émissions de CO2 par habitant de chaque pays (cliquez sur l’image pour l’agrandir.) La dette écologique : biocapacité – empreinte écologique <0 Les deux cartes interactives ci-dessous peuvent vous aider à comprendre quelle est la situation de chaque pays dans le monde en terme de dette écologique.

L'ONU appelle à introduire le bonheur comme indicateur économique. 19 juillet 2011 – L'Assemblée générale de l'ONU a adopté, sans vote, mardi une résolution sur le bonheur comme une approche globale du développement afin de saluer le Bhoutan, ardent défenseur du « Bonheur national brut (BNB) », d'organiser, à sa prochaine session, une table ronde sur le sujet. Dans sa résolution, l'Assemblée invite les États Membres « à élaborer de nouvelles mesures qui tiennent mieux compte de l'importance de la recherche du bonheur et du bien-être afin d'orienter leurs politiques de développement ». L'organe invite les Etats « qui ont élaboré de nouveaux indicateurs ou adopté d'autres initiatives à en faire part au Secrétaire général afin de contribuer aux activités de l'Organisation des Nations Unies dans le domaine du développement, y compris à la réalisation des objectifs du Millénaire pour le développement ».

SAFE, un nouvel indicateur de soutenabilité. Une bonne surprise s’est glissée au cours de ma veille scientifique en matière d’indicateurs cette semaine… Dans un article publié dans « Ecological Economics », Phillis, Grigoroudis et Kouikoglou [1] nous proposent un nouvel indicateur de soutenabilité. Ils ont ainsi donné naissance à SAFE, pour « Sustainability Assessment by Fuzzy Evaluation », ou lui ont plutôt donné un écho, puisqu’un premier jet de cet indicateur était apparu en 2001 [2], avant d’être progressivement développé [3] . Les caractéristiques du modèle SAFE sont les suivantes : Il utilise une logique « fuzzy » qui combine de manière cohérente des informations qualitatives et quantitatives (constituant les indicateurs de base).

On obtient alors des évaluations du genre « la consommation de pesticides du pays 1 est d’environ 6 kgs par hectare » ou « le pays B a un très haut niveau de corruption ». Il prend en compte les performances passées par une méthode de lissage. Les auteurs procèdent de la façon suivante : Global Footprint Network :: HOME - Ecological Footprint - Ecological Sustainability.