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[dumas-00755962, v1] Utiliser les figures du chevalier et du château fort pour favoriser l'acquisition de compétences en histoire et en littérature. - Memoire_M2_MEEFA_Clement_Marteau. L’incinération : qu’en penser ? 1.

L’incinération : qu’en penser ?

Une pratique qui séduit de plus en plus de nos concitoyens Un changement culturel notable en quête de rituels Parmi les nombreuses coutumes funéraires dont témoigne l’histoire de l’humanité, la crémation ou incinération (du latin cinis « cendre ») n’a pas de profonde racine culturelle dans notre Occident judéo-chrétien... sauf à remonter à l’antiquité romaine ! Continuant la coutume d’Israël, le christianisme a en effet imposé l’inhumation comme unique pratique funéraire pendant de longs siècles : d’abord dans les catacombes, au temps des persécutions, puis, une fois le christianisme devenu religion officielle, dans les églises et les cimetières paroissiaux.

Quelques chiffres ... A ces raisons avouées (sur lesquelles il conviendra de porter un jugement éthique), il faut peut-être en ajouter deux autres, d’autant plus fortes qu’elles fonctionnent souvent de manière inconsciente. 2. 3. Quant à la revendication de laisser la terre aux vivants, elle soulève de bien redoutables questions.

Enquête sur les origines et la spécificité de la littérature pour enfants. De quel côté trouver l'origine de la littérature enfantine?

Enquête sur les origines et la spécificité de la littérature pour enfants

Le lecteur qui s'intéresse à cette question rencontre inévitablement une série de réponses apparemment incompatibles dont quatre au moins méritent d'être retenues. Certains historiens désignent le milieu du XIXe siècle et soulignent le rôle de l'éditeur P. J. Hetzel, créateur du livre pour enfants en tant que produit de consommation au sens moderne. D'autres voient l'origine des livres pour enfants dans la littérature de colportage. Les quatres réponses sont divergentes parce qu'elles présupposent des définitions différentes du concept 'littérature enfantine'. Side 267 Les 'livres pour enfants' sont des textes écrits ou plutôt édités à l'intention d'un public d'enfants.

En ce qui concerne 'la lecture enfantine', les implications historiques sont les mêmes, mais l'approche sociologique est différente. Side 268 Il est aussi lié au succès général du roman pour adultes. Modèle de document - IWASZKO_vol7_no1_2013.pdf. Untitled - 1246442482. [hal-00560541, v1] Littérature de jeunesse - livre_blanc_-_version4-finale. ThèseEmilieSalvat - emilie.salvat_2867. La culture de jeunesse et la transmédiation. « [La culture de jeunesse est] fondée sur une série de signes qui dépassent largement les frontières propres à chaque médias : les œuvres mettent en valeur leur cohésion culturelle, en empruntant constamment aux thèmes et aux stéréotypes des autres médias[1] ». ———- Au XXIème siècle, il devient difficile d’envisager l’album et par extension la littérature de jeunesse sans les inscrire dans un environnement, des valeurs et des références qui leur sont propres. De ce fait, l’intertextualité est en train de devenir une caractéristique majeure de cette littérature.

Mathieu Letourneux va plus loin en évoquant l’idée d’une transmédiation[2]. Le message, c'est le médium. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Le message, c'est le médium

Citation de Marshall McLuhan, «Le message, c'est le médium», telle qu'elle apparaît dans la traduction française de Pour comprendre les médias. Le message, c'est le médium (en anglais, The medium is the message) est une phrase emblématique de la pensée de Marshall McLuhan, philosophe des medias canadien. Elle signifie que la nature d'un media (du canal de transmission d'un message) compte plus que le sens ou le contenu du message.

La phrase provient du livre Understanding Media: The extensions of man (Pour comprendre les médias), publié en 1964 et traduit en français en 1968. « [...] en réalité et en pratique, le vrai message, c'est le médium lui-même, c'est-à-dire, tout simplement, que les effets d'un médium sur l'individu ou sur la société dépendent du changement d'échelle que produit chaque nouvelle technologie, chaque prolongement de nous-mêmes, dans notre vie[1]. » Isabelle Nières-Chevrel, Introduction à la littérature de jeunesse. 1Voici un livre qui fera vite partie des indispensables : non pas la synthèse érudite des recherches menées depuis les années 1970, mais une introduction qui, bien que savante, revendique ses visées modestes : donner des repères, en particulier historiques et comparatifs, dans une langue délestée du jargon des spécialistes.

Isabelle Nières-Chevrel, Introduction à la littérature de jeunesse

Assortie d’un cahier d’illustrations donnant formes et couleurs aux créations graphiques évoquées, d’une très brève bibliographie (17 entrées), elle comporte un précieux index des noms propres cités (plus de 600) et des titres (près de 700), qui permet des consultations commodes. La liste semble longue pour une introduction, mais les auteurs et les livres sur lesquels portent les analyses sont dix fois moins nombreux. Les citations donnent le palmarès de « ceux qui comptent », objectivement et subjectivement, pour Isabelle Nières-Chevrel : la comtesse de Ségur, 31 citations, Jean de Brunhoff, 20, Maurice Sendak 19, Lewis Carroll, 17. La littérature de jeunesse - Nathalie Prince. La littérature de jeunesse - Nathalie Prince. Littérature de jeunesse: Foire aux questions. Voici une sélection des questions les plus fréquentes en littérature de jeunesse.

littérature de jeunesse: Foire aux questions

Cette rubrique étant encore en cours de réalisation, la compréhension du lecteur est sollicitée quant à l'organisation graphique actuelle de la rubrique. Litterature_de_jeunesse.pdf.