background preloader

Economie

Facebook Twitter

La mise à mort du CDI décidé par les banques. Panama Papers (2016) Les Dollars de la Fed: une Arnaque inédite ! Conférence de Jacque Fresco à Londres (Conférence partie 1) VostFR. La guerre des classes.

Histoire

Comprendre évasion fiscale et paradis fiscaux. #FREDERIC LORDON. Bankster. Pierre Bourdieu, La Sociologie est un sport de combat, 2002, de Pierre Carles. Travailler moins pour travailler tous? Roosevelt 2012 - un collectif et 15 réformes pour changer la donne. Économie Sociétale. Infos économies.

Le nouvel esprit du capitalisme Luc Boltanski et Eve Chiapello. Résumé Ou comment le capitalisme est en train de tourner la page du fordisme au profit d'une organisation en réseau, génératrice pour certains d'une plus grande liberté au travail, pour d'autres d'une plus grande précarité, et pour tous d'un asservissement accru à l'entreprise. Un livre épais, mais important. Commentaire critique Depuis une dizaine d'années, Luc Boltanski élabore une "sociologie morale" de l'action, qui étudie les valeurs et la construction des arguments mobilisés par les acteurs au cours d'épreuves ou de conflits, qu'ils soient professionnels ou politiques.

Les auteurs rappellent les deux formes de critique du capitalisme, depuis ses origines: la critique "sociale" lutte contre la misère et les inégalités dues à l'égoïsme des intérêts particuliers; la critique "artiste" dénonce, quant à elle, l'inauthenticité de la société marchande et l'étouffement des capacités créatives de l'individu. Niveau de lecture. Jérémy Rifkin: Comment le pouvoir latéral va transformer l’énergie, l’économie et le monde.

Jérémy Rifkin était l'invité de Frédéric Bonnaud sur la radio "Le Mouv" le 29 février dernier. On peut écouter cette émission ci-dessous. Rifkin-Bonneau-LeMouv-29-1-2012 Le Magasine Plein Soleil a consacré un article au au dernier ouvrage de Jérémy Rifkin, "la troisième révolution industrielle" que nous reproduisons ci-dessous. La Troisième Révolution industrielle - Comment le pouvoir latéral va transformer l’énergie, l’économie et le monde Ce livre développe la thèse d’une troisième révolution industrielle –que l’auteur appelle de ses vœux-, un nouveau paradigme économique qui va ouvrir l’ère post-carbone, basée notamment sur l’observation que les grandes révolutions économiques ont lieu lorsque de nouvelles technologies de communication apparaissent en même temps que des nouveaux systèmes énergétiques (hier imprimerie/charbon ou ordinateur/ ; aujourd’hui Internet & les énergies renouvelables).

La Seconde Révolution Industrielle se meurt donc. 1) Passer aux énergies renouvelables. Le revenu de base - une impulsion culturelle. Du Capitalisme. Rémunérations | Salaires. Joseph Stiglitz torpille la mondialisation. (Joseph Stiglitz, 2012 - Richard Drew/AP/SIPA) Son expérience au FMI a rendu le prix Nobel d’économie conscient des dangers de la mondialisation financière. Mais jusqu’à présent, il soutenait mordicus le libre-échange et dénonçait le protectionnisme. Ce livre marque un virage avec une critique des conséquences du libre-échange. Pour lui, tout s’est accéléré dans les années 2000 avec «les politiques de déréglementation des marchés financiers de l’administration Clinton et la baisse des impôts sur les revenus du capital (…) qui ont mis de l’huile sur le feu».

Il dénonce le démantèlement du Glass Steagall Act, qui a libéré la spéculation. Une critique de la mondialisation Stiglitz constate «la destruction de millions d’emplois dans l’industrie» du fait de l’évolution des avantages compétitifs avec la montée en puissance de la Chine. Moins-disant social et salarial Les Etats désarmés Du même auteur Retrouvez d'autres articles de Laurent Pinsolle sur son blog. La part des salaires dans la valeur ajoutée baisse depuis 30 ans. L'Organisation internationale du Travail (OIT) a publié début décembre son "Rapport mondial sur les salaires 2012/13". Un des points clés mis en avant dans cette édition est que "la part des salariés dans le revenu national s’est rétrécie dans la plupart des pays".

En d'autres termes, "davantage du gâteau national est allé aux profits, et moins aux salariés". "Des preuves récentes montrent que cette tendance se poursuit depuis des décennies, contrairement aux hypothèses formulées précédemment.Dans 16 économies développées, la part moyenne du travail est tombée de 75% du revenu national au milieu des années 1970 à 65% dans les années qui ont précédé la crise. Elle a ensuite quelque peu rebondi pour décliner à nouveau après 2009.Dans un groupe de 16 pays émergents ou en développement, cette part a diminué, passant de 62% du PIB au début des années 1990 à 58% juste avant la crise.

En bleu, les pays développés (moyenne pondérée). Pour l'OIT, cela pose un problème de fond. Frédéric Lordon - Et si on fermait la bourse ? Thomas Piketty.