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Rumeur fin

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Aperçu de l'amendement. Après l'article 4 ter I. - Insérer un article additionnel ainsi rédigé : Le code monétaire et financier est ainsi modifié : 1° Après la première phrase du second alinéa du I de l'article L. 621-9, il est inséré une phrase ainsi rédigée : « Elle veille également à la régularité des opérations effectuées sur des contrats commerciaux relatifs à des marchandises liés à un ou plusieurs instruments financiers. » 2° Les c et d du II de l’article L. 621-15 sont complétés par un alinéa ainsi rédigé : « – un contrat commercial relatif à des marchandises et lié à un ou plusieurs instruments mentionnés aux alinéas précédents, dans les conditions déterminées par le règlement général de l’Autorité des marchés financiers ; » II. - En conséquence, faire précéder cet article d'une division additionnelle et son intitulé ainsi rédigés : Chapitre II Régulation du marché des matières premières.

Mail on Sunday may face legal action from SocGen | Media. One of Europe's largest banks, Société Générale, is reportedly planning to take legal action against the Mail on Sunday for defamation after it claimed the bank was in a "perilous" state and on the "brink of disaster". Shares in the French bank plummeted more than 20% in the week after the Mail on Sunday story was published on 7 August. The newspaper quickly retracted the article and published an apology on its website accepting that the claim "was not true". According to an internal memo seen by Reuters, Société Générale is now planning to sue the Mail on Sunday publisher, Associated Newspapers, for undisclosed damages over what it called "unfounded rumours".

The memo reportedly said: "Legal action against the Daily Mail is pending and similarly legal action will be taken against anybody who spreads unfounded rumours about our company. " Société Générale declined to comment. . • To contact the MediaGuardian news desk email editor@mediaguardian.co.uk or phone 020 3353 3857. Les jeunes, premières victimes de la flambée du chômage. En France, une fausse information est passible d'une amende de 100 millions. French Downgrade Rumors Rattle Markets...For a Few Minutes - MarketBeat.

Associated Press Welcome back, sovereign downgrade rumors. It’s been quite some time. We’ve missed you. Global markets were briefly jostled early this morning as wild-eyed rumors of France’s credit rating getting downgraded spread rapidly. Chatter quickly hit trading desks, prompting, the euro, European stocks and U.S. stock futures to briefly dip. French bond yields jumped before recovering as French government officials immediately squashed the downgrade talk. From WSJ: “There is absolutely nothing new,” said one official, who spoke on condition of anonymity. The rumor mongering this morning brought back memories of what occurred on a regular basis in 2011. As we noted last year, while rumors about downgrades should be taken with a grain of salt, they have had a disturbing propensity of eventually coming true. Traders and investors somehow twisted and contorted those words into thinking that a downgrade was imminent.

So there you have it. Today’s action could be a telling sign. France Dispels Downgrade Talk. Le Cac 40 affecté par les rumeurs de dégradation de la France. La Bourse de Paris a totalement effacé ses gains de la matinée à la suite de rumeurs de dégradation de la note de la France. Signe de la nervosité ambiante, l’écart de rendement entre l’obligation française à 10 ans et le Bund allemand de même échéance a atteint 139 points de base, niveau le plus élevé depuis le 11 janvier. Des traders indiquent cependant qu’un abaissement de la note de la France avant l’élection présidentielle constituerait une véritable surprise.

Dans ce contexte, le repli des inscriptions hebdomadaires au chômage aux Etats-Unis n’a guère d’impact sur la tendance. Ces dernières ont diminué de 2.000 à 386.000, contre 370.000 demandes attendues. Les investisseurs avaient salué en fin de matinée la forte demande pour les émissions de dette française et espagnole. A 15h05, le Cac 40 perd 0,83% à 3.213,26 points dans un volume d’affaires relativement étoffé de 1,33 milliard d’euros traités. Après avoir progressé à mi-séance, les banques repartent à la baisse. Nouvelle rumeur de dégradation de la France. Dessin de Delucq La rumeur d’une dégradation possible de la note crédit de la France s’est propagée hier, née d’une interprétation hâtive d’une note de Citigroup jugeant possible une telle décision d’ici quelques mois.

Pourtant démentie très rapidement, le mal est resté. Sensibles à toute mauvaise nouvelle, les marchés ont continué de perdre du terrain, le CAC40 allant jusqu’à effacer presque tous ses gains de l’année. Le point de cristallisation des inquiétudes reste le marché obligataire. Bien que le taux d’emprunt de l’Espagne à 10 ans soit resté sous la barre symbolique des 6%, sa dernière adjudication obligataire reflète un rendement en hausse de plus 30pb depuis le mois de janvier à 5,743%. Ce regain de tension montre une décorrélation croissante au sein même de la zone euro entre la valeur refuge qu’est l’Allemagne et… les autres. Autre facteur de stress, le FMI a pressé dans son rapport semestriel les banques européennes d'assainir leurs bilans.

La rumeur de dégradation de la France est infondée. PARIS (Reuters) - Une source officielle française a jugé infondée la rumeur d'une dégradation de la note souveraine française qui a provoqué, selon des opérateurs, une forte réaction sur les marchés financiers. Cette rumeur intervient à quelques jours du premier tour de l'élection présidentielle française, pour laquelle François Hollande est donné favori face au président sortant Nicolas Sarkozy, qui a menacé d'une attaque des marchés en cas de victoire du candidat socialiste le 6 mai.

La note française, qui a été abaissée de AAA à AA+ en janvier par Standard and Poor's est assortie d'une perspective négative auprès des trois grandes agences, ce signifie que d'autres dégradations sont possibles. "Des gens essayent de gagner de l'argent avec ces rumeurs", a dit la source à Reuters, en réfutant la rumeur. L'agence Moody's a répondu lundi à une déclaration de François Hollande qui avait déclaré qu'elle prendrait une décision sur la note souveraine de la France le 12 mai. L'action Coach grimpe, la presse évoque des rumeurs de cession. 27 février (Reuters) - Le titre Coach grimpe à Wall Street mercredi à la suite d'un article de DealReporter rapportant des rumeurs dans le milieu des banquiers d'affaires selon lesquelles le maroquinier de luxe étudiait l'éventualité d'une cession de la société.

Une porte-parole de Coach a indiqué que la société ne commentait pas les spéculations de marché. L'action perd 3,76% à 48,22 dollars vers 15h20 GMT, ce qui donne une capitalisation de plus de 13,5 milliards de dollars (10,3 milliards d'euros) pour l'entreprise. DealReporter cite deux banquiers déclarant que la société étudie l'éventualité d'une cession et un troisième banquier rapportant une rumeur selon laquelle Coach explore différentes options stratégiques, sans plus de précision. Le mois dernier, Coach a publié des résultats trimestriels décevants, confronté à la concurrence accrue de sociétés comme Michael Kors. Bourse-France Télécom en forte hausse, dopée par Morgan Stanley. France Télécom: double relèvement de Morgan Stanley.

Morgan Stanley passe de 'sous-pondérer' à 'surpondérer' sur France Télécom et relève l'objectif de cours à 9,60 euros, contre 8,90 euros précédemment, arguant notamment d'une valorisation attractive. Le bureau d'études estime par ailleurs que les attentes du marché s'avèrent raisonnables. En outre, il prend en compte une politique plus rigoureuse de contrôle des coûts ainsi que de possibles subventions de l'Etat pour le déploiement de la fibre. 'La feuille de route du gouvernement français suggère 6,5 milliards d'euros de subventions sur 10 ans', précise Morgan Stanley. Au vu de tous ces éléments, l'analyste table ainsi sur un rebond du titre, entre 20 et 50%. Enfin, il révise en baisse ses estimations d'EBITDA pour 2014, passant de 12,8 à 12,1 milliards d'euros, considérant que la valorisation reflète déjà ces prévisions. Copyright (c) 2013 CercleFinance.com.

La rumeur est consubstantielle au marché. "On ne fera jamais taire une rumeur et si elle n'existait pas, il faudrait l'inventer", se plaisent à répéter les traders. De fait, la rumeur a toujours fait partie du marché : elle est consubstantielle au marché. Pourtant, elle est une nouvelle fois la cible de toutes les critiques après le mercredi noir de la Société Générale et des banques européennes. La banque française a saisi l'Autorité des marchés financiers (AMF) pour enquête "sur toutes les rumeurs de marché totalement infondées" et l'AMF rappelle que la diffusion "d'informations infondées" est susceptible de sanction.

Par nature, il est extrêmement difficile de combattre la rumeur, même de la définir. Comment, en effet, distinguer une rumeur d'une opinion ? A ce jeu, le secteur bancaire est particulièrement exposé et les périodes de crises sont également propices aux rumeurs lorsque les investisseurs déboussolés ne savent plus très bien où placer leurs liquidités. Le profil public de 'univ' David Bourghelle Enseignant chercheur en finance, IAE, Université de Lille 1 Thèmes de recherche Microstructure des marchés financiers, finance cognitive Publications 1.

Revue de la Régulation, Capitalisme, Institutions, Pouvoir, N°8, décembre 2010 (avec Pauline Hyme) 2. -Finance and Sustainability: Towards a New Paradigm? 3. -Soumis à la revue "Finance" 4. -Ouvrage collectif « Conventions et institutions ; approfondissements théoriques et débat politique », Eymard-Duvernay Ed, La Découverte, Paris, 2006. 5. 7. Bourse : Rationalité individuelle et irrationalité collective. Jeudi 25 août, La Bourse de Francfort a connu une séance très agitée suite à la diffusion de rumeurs d’une dégradation possible de la note de la dette souveraine allemande et d’une interdiction par les autorités de marché des ventes à découvert des titres cotés outre Rhin. L’impact sur les cours boursiers a été considérable : une chute brutale de l’indice Dax (jusqu’à 4% en séance en quelques minutes, avec des volumes considérables), une clôture en repli de 1,71% et une poursuite de la baisse le lendemain.

De l’avis général, ces bruits ne reposaient sur aucun fondement (ils ont été vigoureusement démentis par la suite). La suspension des ventes à découvert n’est absolument pas d’actualité en Allemagne. Quant à la dégradation de la note par les agences, sa probabilité d’occurrence est aujourd’hui quasiment nulle, sauf à soupçonner Standard & Poors, Fitch ou Moodys de chercher délibérément à déstabiliser les marchés. Pourtant, cette explication n’est pas satisfaisante. Bourse en ligne : Information boursiere, Economie, Finance, Bourse de paris - Cerclefinance.

Toutes les rumeurs des marchés financiers. Crédit Agricole: chute sur une rumeur de “warning”. Crédit agricole : opération vérité en vue sur les comptes. C’est un conseil d’adminis­tration sous tension qui va se réunir ce jeudi chez Crédit agricole SA. De sources concordantes, la banque envisage en effet une opération vérité sur ses comptes, dont l’arrêté définitif est prévu le 20 février.

Mais elle devrait avertir très rapidement le ­marché qu’il faudra compter avec de ­nouvelles provisions. Crédit agricole SA se refusait mercredi à tout commentaire. Sur les neuf premiers mois de 2012, Crédit agricole SA, la structure cotée du groupe bancaire mutualiste, était déjà dans le rouge, avec une perte nette de 2,49 milliards d’euros, particulièrement due au tribut de 3,2 milliards payé à la Grèce.

Une facture pour solde de tout compte sur ce dossier, puisque le Crédit agricole a enfin vendu sa filiale grecque Emporiki à l’automne. Des «goodwills» trop élevés «Le Crédit agricole a pu refermer le dossier grec. » Encore des mauvaises surprises pour Crédit agricole » Le Crédit agricole en passe de sortir du guêpier grec. Yves Chaput, Arbitre et consultant en droit des affaires, professeur Paris I Sorbonne - Yves Chaput, Arbitre et consultant en droit des affaires. Rumeurs : BNP Paribas demande à l'AMF d'ouvrir une enquête.

Voilà une rumeur qui a bien failli faire du mal à BNP Paribas . Avant de clôturer en nette hausse (+7,20%), le titre de la banque a perdu en fin de matinée jusqu'à 8%. La cause: une note d'opinion publiée dans le Wall Street Journal dans laquelle un cadre anonyme de la banque française fait état d'une incapacité celle-ci à trouver des liquidités en dollars. Précisément, il est écrit: "nous ne pouvons plus nous financer en dollars. Les fonds monétaires américains ne nous prêtent plus". BNP Paribas a formellement démenti ces propos et assuré qu'il se finançait tout à fait normalement en dollars. Un mois des tensions sur le marché de la liquidité en dollars à court terme Les banques européennes ont connu depuis un mois des tensions sur le marché de la liquidité en dollars à court terme, la plupart des fonds monétaires américains (fonds de placement investis dans des titres à courts termes) réduisant brutalement leur concours au financement des établissements européens.

Rumeurs sur la Société Générale: Le Mail On Sunday épargné par l'AMF. L'Autorité des marchés financiers (AMF) a interpellé mardi le journal dominical britannique Mail on Sunday, lui rappelant les règles de l'information sur des sociétés cotées après avoir bouclé une enquête ouverte en 2011 concernant un article disant la Société générale au bord de la faillite. >>> Société Générale réclame 1 million d'euros au Mail on Sunday Le gendarme boursier français précise dans un communiqué avoir renoncé à sanctionner la maison mère du Mail on Sunday, Associated Newspapers, part of Daily Mail & General Trust , notant que le journal avait rapidement rectifié ses informations et publié un démenti de la SocGen. "A l'issue de son enquête ouverte en août 2011, l'AMF a décidé de ne pas notifier de griefs au journal britannique mais de lui rappeler publiquement les règles à respecter en matière de publication d'information sur les sociétés cotées", précise l'Autorité.

Avec Reuters. Societe Generale to receive damages from Mail on Sunday. 26 March 2012Last updated at 17:22 ET The article falsely alleged that SocGen faced difficulties because of its exposure to Greek debt Societe Generale is to receive undisclosed damages from UK newspaper the Mail on Sunday over an article that falsely alleged the French bank was close to bankruptcy. On 7 August 2011 the newspaper reported that SocGen was in a "perilous" state and on the "brink of disaster".

The bank's shares fell 8.4% the day after the article was published. Neither SocGen nor the Mail on Sunday revealed the amount of damages, which the bank is to donate to charity. A bank spokesman said: "The disagreement has been resolved. "The Mail on Sunday has again apologised for publishing false information and Societe Generale has decided to give the entire sum to a charitable association. " The article appeared in both the print edition and online version of the Mail on Sunday, which is owned by Associated Newspapers.

Conjoncture : Le PDG de la Société Générale réagit aux rumeurs. Conjoncture : Le trajet fou de la rumeur qui a secoué la Société Générale. France and Italy stand by to bail out biggest banks as euro crisis worsens - All Invest News. Boursorama : flambe sur des rumeurs de cession de la SG. The Mail on Sunday indemnise Société Générale. Conjoncture : Les banques françaises dans la spirale de la peur. AMF - Autorité des marchés financiers. L'AMF a peu de moyens pour contrer les rumeurs. L'AMF épingle un internaute pour fausses rumeurs. L'AMF oblige les boursicoteurs à dévoiler leur patrimoine sur les forums. Standard & Poor's : erreurs et tremblements. Crisis: the banks will double to 1,000 billion for requests maxi-lending by the ECB - L'economia della trasparenza. La dernière tradeuse du marché des métaux quitte le "ring" Banks set to double crisis loans from ECB.

Global Financial Strategy - ECB to loan €1tn to help EU banks. Notes dissonantes pour S&P, Fitch et Moody’s. Forecast demand for ECB loans scaled back.