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Montreal

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Les Fermes Lufa. Épluche ta ville - Équiterre. Carte. Dorval Forme de culture : sol Superficie allouée à la culture : 200 m2 Il s'agit d'un jardin majoritairement de fleurs en grande variété dans la cour avant, incluant un prunier, un poirier et un bananier, de grands cactus, des hibiscus, des roses entourées d'un tapis d'alyssum blanc, de la lavande, des salpiglossis violettes, des pavots, des coquelicots, des chrysanthèmes, des nigelles, des lanternes chinoises, des tournesols, des aconits, des roses trémières, trois variétés d'iris, des pivoines, du muguet, trois variétés d'anémones, une pour le printemps, une pour l'été et une pour l'automne, des herbes culinaires et des piments de cayenne.

Montréal aura son comité permanent sur l'agriculture urbaine | Karim Benessaieh. Après une consultation demandée par 30 000 personnes et qui a mobilisé plus d'un millier de participants, l'agriculture urbaine aura droit à son comité de travail. Formé d'une vingtaine de personnes, dont des fonctionnaires, des producteurs et des représentants des groupes actifs dans ce domaine, ce comité aura la tâche de définir les meilleures pratiques. Il se réunira «trois ou quatre fois par année» à compter de ce printemps, a annoncé cet après-midi Josée Duplessis, responsable du développement durable. «L'agriculture urbaine, ce n'est pas qu'un chapeau porté par la Ville de Montréal, ça n'avancerait pas. On veut mettre en place une structure en partenariat avec la collectivité.»

Le financement des jardins communautaires, le verdissement et l'harmonisation des règlements entre les arrondissements figurent à l'ordre du jour de ce «comité de travail de la collectivité sur l'agriculture urbaine». Mme Duplessis souhaite que ce comité permette la démocratisation de cette pratique. Agriculture urbaine Montréal. L’agriculture urbaine, une image de marque pour Montréal. L’Office de consultation publique de Montréal a déposé, le 17 octobre dernier, un rapport fort intéressant sur l’état de l’agriculture urbaine à Montréal, une activité qui a le potentiel de devenir un projet stratégique et structurant. Et qui pourrait, de plus, améliorer le cadre et la qualité de vie des Montréalais. Il ressort du portrait dressé par cette commission que l’agriculture urbaine dans la métropole est un phénomène d’une ampleur sous-estimée, qui implique un très grand nombre de personnes et répond à des besoins multiples de santé, d’intégration sociale, de lutte contre la pauvreté et de développement durable.

Aussi, il est intéressant de souligner que la zone agricole permanente de la Communauté métropolitaine de Montréal, comprenant d’excellentes terres, couvre 58 % du territoire métropolitain et 3 % de celui de la ville de Montréal. Les attentes et les propositions Mise en application Un projet porteur Le premier woonerf à Montréal D’abord, qu’est-ce qu’un woonerf ?