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Social media

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La curation, suivre le sujet. Les dernières études et enquêtes sur les réseaux sociaux et la réputation. Une utilisation de plus en plus accrue des réseaux sociaux. Le Cabinet Deloitte a prédit qu’en 2011, les réseaux sociaux devraient dépasser la barre du Milliard mais c’est sans compter les réseaux d’entreprises. En février 2011, le Cabinet USEO, démontrait que l’adoption des réseaux sociaux internes s’intensifiait au bénéfice de l’intelligence collective.

Au cœur des réseaux : les conversations et la réputation. Ce qui nécessite plus de « pédagogie, de responsabilité et de discernement ». Les français sont plus sensibles (44%) à la gestion de leurs données privées sur les réseaux sociaux comme Facebook mais le dossier reste en friche dans les entreprises notamment sur la valorisation de l’implication des salariés et le cadre des évaluations de ces dernières. Un tour d’horizon des dernières études et enquêtes TNS Sofres – Février 2011 – Relation internautes & marque L’étude porte sur l’impact des réseaux sociaux sur la réputation des entreprises du CAC 40. Les Français sont de plus en plus accros aux réseaux sociaux. Si Facebook rassemble 600 millions de membres et Twitter près de 200 millions d’utilisateurs, ce n’est pas étonnant que les Français soient accros aux sites communautaires.

Selon une étude du cabinet de mesures d’audience ComScore menée en décembre dernier, les internautes français passent, en moyenne, 4,1 heures par mois à surfer sur les réseaux sociaux. Les Français ont donc changé leur fusil d’épaule : il y a encore à peine deux ans, les réseaux sociaux ne rencontraient qu’un succès mitigé dans l’Hexagone, note ComScore. Le taux de pénétration de ces sites en France s’élève désormais à 84,7%. « […] la traduction du site en français en 2008 a vraisemblablement été un levier conséquent et ses constantes innovations lui permettent de continuer d’afficher un fort taux d’engagement de ses visiteurs », explique Delphine Gatignol, la directrice France des activités Internet pour ComScore.

Livre blanc médias sociaux. Infographie sur l’histoire des médias sociaux. Les enjeux des médias sociaux pour les marques » Article » OWNI, Digital Journalism. L'arrivée des média sociaux bouleverse la communication des marques sur internet. Ils permettent de mieux comprendre les clients et d'améliorer la relation commerciale. Mais comment passer d'une conversation à un acte d'achat ? Titre original : Les Médias Sociaux et les Marques : La Bataille de la Matérialisation. Nouveaux Formats, Nouveaux Enjeux. Jusqu’en 2005 la problématique pour une marque sur Internet était simple. Présenter ma proposition de produits / services de la manière la plus efficace ? Les sites web ont changé Le développement de médias de conversation est un eldorado pour les marques à beaucoup d’égards : la sociologie est observable sans étude terrain, uniquement par l’analyse de données publiques.

Mais l’analyse simple des mécaniques de réseau qui se développent sur les médias de conversations comme Twitter ou Facebook devrait nous confirmer ce que nous savons déjà : Une conversation a pour issue une relation MAIS une conversation n’engendre pas un acte d’achat ! Non. 1. 2. Gladwell, Réseaux sociaux et Slacktivisme » Article » OWNI, Digital Journalism. Les réseaux sociaux ne peuvent entrainer un réel engagement social, un activisme IRL. C'est ce que défend Malcolm Galdwell dans les colonnes du New-Yorker. Analyse et petit rappel sur la structure des réseaux sociaux. Avez-vous lu le dernier papier de Malcolm Gladwell ? Si vous ne l’avez pas fait, c’est un peu comme si vous pensiez que MySpace est à la mode. Pour Gladwell, l’engagement social, l’activisme sur les médias sociaux est une légende. Je vous vois venir, vous allez me rappeler les élections Iraniennes, l’élection de Barack etc.

Gladwell affirme que ces soi-disant révoltes fomentées sur Twitter n’auraient en fait été que des distorsions médiatiques, politiques et technologiques de la réalité vues de l’Occident. Voici le premier paragraphe du dit papier : At four-thirty in the afternoon on Monday, February 1, 1960, four college students sat down at the lunch counter at the Woolworth’s in downtown Greensboro, North Carolina.

Structure des réseaux sociaux Réseau classique Petit-Monde. Des techniques relationnelles aux technologies relationnelles » Article » OWNI, Digital Journalism. Des philosophes grecs aux réseaux sociaux, Christian Fauré clarifie des notions que l'on confond parfois et les replace dans le contexte de la communication à l'ère du numérique. L’évolution du web et le succès des réseaux sociaux ont mis en avant l’importance de ce que nous nommons d’une manière plus large les « technologies relationnelles ».

Celles-ci débordent et diffèrent pourtant de ce que nous appelons les « réseaux sociaux », en nous référant aux grands noms des services en ligne que sont Facebook ou Twitter, pour ne citer que les plus populaires d’entre eux. C’est ce débordement que je souhaiterais décrire, notamment en distinguant les techniques relationnelles des technologies relationnelles. Cette distinction pouvant être appréhendé à partir du prisme des pratiques relationnelles. §1. Les techniques sont des pratiques De plus en plus, le terme de technologie supplante celui de technique.

L’expression de «technologies relationnelles», elle, est encore plus récente. . §2. . §3. . §4. La fabrique des images sur 4chan » Article » OWNI, Digital Journalism. 4chan n'est pas uniquement la poubelle de l'Internet que certains y voient: la preuve par cette analyse en profondeur des modalités de création des mèmes. L’Internet vient de vivre une guerre picrocholine entre le board /b/ de 4chan et la plateforme de micro-blogging tumblr.

Plusieurs channers ont en effet reproché à des utilisateurs de tumblr de mettre en ligne sur leurs blogs des images provenant de 4chan sans mention de leur origine. Ils ont alors organisé une attaque par déni de service contre tumblr. Les observateurs du phénomène étaient un peu consternés de découvrir à cette occasion un réflexe d’appropriation de contenus visuels produits collectivement et anonymement. Les /b/tards de 4chan ont en effet la réputation de créer et de faire circuler de nombreux mèmes visuels. Nous avons montré dans un article précédent que les images qui transitent par 4chan proviennent pour l’essentiel du Web ouvert habituel. The Internet and /b/ (sélection) Image issue du thread "Birds!!! " Collections. Bilan réseaux sociaux 2010. La carte et le réseau social » Article » OWNI, Digital Journalism.

Avec l'apparition des réseaux sociaux, un nouveau type de carte est apparu, le graphe social. Ce nouveau territoire est un enjeu de pouvoir selon Thierry Crouzet. Ce n’est pas tous les jours que nous découvrons une nouvelle carte. Au IIIe siècle avant Jésus-Christ en Alexandrie, Ératosthène dessina le premier planisphère. Cette innovation ne fut digérée que 1800 ans plus tard par Christophe Colomb. Depuis quelques années, nous avons découvert un autre type de carte : le graphe social.

Quand est-ce qu’il révolutionnera le monde ? C’est à ma connaissance l’écrivain hongrois Frigyes Karinthy qui le premier supposa que nous étions tous connectés les uns avec les autres par l’intermédiaire des amis de nos amis. L’expérience de Milgram Cette idée resta d’ordre poétique jusqu’à ce que le sociologue Stanley Milgram se demande combien d’intermédiaires séparaient effectivement deux personnes choisies au hasard. Mais en 1967, Milgram avait une toute autre idée.

La carte géographique est figée. L’internaute social influencé par les comportements collectifs. Les consommateurs sont plus enclins à adopter un produit dès lors que celui-ci dépasse un certain seuil de popularité sur les sites collaboratifs. Sur les médias sociaux comme dans la vie réelle, les comportements individuels peuvent être grandement influencés par les comportements collectifs.

C’est la conclusion principale d’une étude conduite par des chercheurs de l’université d’Oxford. Ceux-ci se sont intéressés aux consommateurs présents sur Facebook, et à la tendance de ces derniers à télécharger ou non telle ou telle application. Il ressort qu’au-delà d’un certain seuil de popularité, un produit a toutes les chances de susciter l’intérêt grandissant des internautes sociaux.

Les analystes ont pris en compte plus de 100 millions d’installations d’applications sur le réseau social, sur une période de deux mois, courant 2007. Un seuil à dépasser Le rôle des indicateurs. Sur les médias sociaux, les liens superficiels ne sont pas de trop. Le web communautaire permet d’entretenir des relations "faibles" avec un grand nombre de contacts. Relations qu'il faut savoir activer ou ré-activer au moment opportun.

Les internautes sociaux tirent des avantages non négligeables des rapports superficiels qu’ils entretiennent sur les réseaux collaboratifs qu’ils fréquentent, affirme dans une étude une équipe du National IT User Center (NITA) de l’université d’Uppsala. Selon les analystes, si les relations réellement proches sont indiscutablement plus riches, elles sont aussi beaucoup plus rares, et les liens dits faibles ou superficiels peuvent jouer un rôle essentiel dans la collaboration. "Le terme d’‘amis’ est souvent décrié sur Facebook, car il s’agit souvent de vagues connaissances, de camaraderie, sur le réseau social", notent les chercheurs. Espace privilégié pour saisir des opportunités Un avantage pour les TPME. Garder contact sur le web n'intensifie pas ses relations dans le réel.

Les médias sociaux donnent l'impression aux internautes d'être davantage connectés à leur entourage. Au dépens des rapports dits dans le monde physique, qui ont tendance à s'espacer. L'intensification des rapports entretenus en ligne avec ses contacts n'améliore pas ceux qu'ont les individus entre eux dans le réel, révèle une étude de Harris Poll. Selon l'institut, près des trois cinquièmes des internautes américains se sentent désormais plus connectés à leurs proches via les réseaux sociaux que précédemment. Et près de 60 % estiment qu'il est ainsi plus facile de rester en contact. Mais cette sociabilité ne se ressent pas dans leurs rapports au quotidien : plus de la moitié des personnes interrogées explique ainsi avoir eu moins de rencontres en face à face avec les amis aussi fréquentés sur les plates-formes sociales.

Les internautes ses sentent plus proches mais se voient moins Une connexion virtuelle qui accentuent le sentiment de solitude. Pour fidéliser, il faut cibler le court terme et la régularité. Les consommateurs sont plus réceptifs à des programmes qui les récompensent de manière fréquente qu'à d'autres qui promettent des gains importants mais plus lointains. Cela, plus particulièrement sur Internet. Dans le cadre de programmes de fidélisation, les consommateurs se révèlent particulièrement attirés par des avantages réguliers et à court terme, que par le mirage d'un gain plus important à long terme, explique dans une étude Rajesh Bagchi, chercheur au Pamplin College of Business.

Pour arriver à cette conclusion, l'auteur a analysé l'impact sur les utilisateurs des deux principaux types de programme de fidélisation : le gain de points de fidélité par dollar dépensé et le cumul d'une importante quantité de points pour pouvoir acquérir une 'récompense'. Résultat : l'adhérent se montre plus enclin à consommer et 'actif' lorsqu'il est proche de la récompense et qu'il peut la visualiser à court terme. Un adhérant devient davantage un client s'il bénéficie d'offres régulières. "Le point faible à améliorer chez les marques est l'humilité et l'écoute réelle" Pour mener une conversation efficace avec les internautes, il ne suffit pas d'être présent sur tous les réseaux.

Il faut dépêcher des professionnels qualifiés et ne pas omettre de véritablement écouter les consommateurs. L'Atelier a interviewé Cyrille de Lasteyrie (@vinvin sur Twitter), producteur de contenu digital et qui participait le 4 novembre à l'Observatoire des marques en conversation, réalisé par l'agence W&Cie. L'Atelier : Les entreprises commencent - même si insuffisamment - à être présentes sur les réseaux sociaux, et à entamer un dialogue avec les internautes. Mais comment ne pas se perdre dans ces multitudes de conversations ?

Cyrille de Lasteyrie : En engageant, en interne ou via un prestataire, des personnes habilitées à prendre position pour la marque. Des professionnels ayant une expérience et une connaissance de la marque elle-même, capables de réagir immédiatement à une remarque, un buzz ou une critique. Ou pêchent-elles pour le moment ? Les commentaires générés, aussi importants que les vidéos virales ? Les réactions publiées sous un contenu mis sur YouTube influencent la perception future des internautes. Un défi pour les marques qui doivent organiser ces réactions pour en tirer du sens. Sur YouTube, les commentaires ajoutés par les internautes pour réagir aux vidéos mises en ligne ont parfois plus d’impact que les vidéos elles-mêmes sur les futurs visiteurs, démontre l’université du Michigan dans une étude. Les chercheurs se sont intéressés à l’effet provoqué par les messages d’ordre public – en l’occurrence, la prévention face aux risques liés à la consommation de cannabis – publiés sous forme de films et postés sur YouTube.

En interrogeant un panel d’étudiants sur ces contenus vidéo, les analystes ont pu observer le rôle que jouaient effectivement les commentaires sur la perception de chacun des participants. Tirer du sens, à partir des réactions Point important : les commentaires ne sont pas à proprement parler une conversation. Des stratégies élaborées en amont. Les internautes sociaux pas si enclins à la critique. Si les individus s'expriment massivement sur les plates-formes sociales, ils ne sont pas encore si nombreux à s'épancher ouvertement sur un produit ou un service, et en particulier pour faire part de leur mécontentement.

Les médias sociaux peuvent être pris en compte par les entreprises pour observer des tendances ou suivre les réactions du public après le lancement d’un produit par exemple. Encore faut-il que les internautes soient prolixes, et disposés à s’exprimer sur ce sujet, nuance dans une étude Valued Opinions. Près d’un quart des internautes (22 %) affirment en effet ne jamais s’être exprimé sur un produit ou un service au travers des médias sociaux – selon les chiffres de l’enquête effectuée par le cabinet dans cinq pays différents. Peu de différences entre les pays Les internautes sociaux sont ainsi moins enclins à critiquer vertement les marques sur Facebook ou Twitter que l’on pouvait le croire de prime abord, selon les analystes. Des études pour se positionner. Les commentaires négatifs peuvent aussi être bénéfiques.

Les avis exprimant une émotion négative encouragent les échanges sur les fora et autres plates-formes de discussion. D'où la nécessité pour les marques de favoriser parfois les avis contradictoires. Sur un forum, les commentaires qui expriment une émotion négative jouent un rôle finalement positif sur les échanges entretenus par les internautes, affirme dans une étude une équipe de chercheurs des université de Varsovie et de Wolverhampton.

Les scientifiques se sont intéressés aux plates-formes de discussion en ligne de la chaîne britannique BBC, en analysant l’émotion collective des participants d’une part, et leur inclination à écrire un post. Résultat : lorsqu’un sentiment négatif est exprimé par l'un d'entre eux, la conversation gagne en interactivité. "Statistiquement, il apparaît clairement que les discussions qui se prolongent le plus sont nourries de sentiments négatifs", développent les chercheurs. Les opinions consensuelles moins stimulantes. L'émotion fédère décidément les communautés. Les dynamiques collaboratives donnent sa cohérence au réseau. Les liens sur les réseaux sociaux pas si faciles à décrypter. Les communautés en ligne servent-elles toujours la marque ?

L'internaute social n'oublie pas la vie communautaire réelle. "Le marketing et le CRM ont tout à fait leur place sur les réseaux sociaux" "Nous sommes passés d'un rapport au consommateur assujetti au discours de marques, à une relation basée sur l'échange" Sur les réseaux en ligne, les communautés s'identifient automatiquement. Le web social entraîne la reconsidération de la valeur d'un client. Quels Médias Sociaux Pour Quels Objectifs Marketing ? – Infographie.