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Privilèges masculins

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Une comparaison entre misandrie et misogynie. On pourrait croire à première vue que les deux se valent.

Une comparaison entre misandrie et misogynie

Que toutes les formes de violence sont équivalentes, injustifiées et injustifiables. Et que la misandrie est tout aussi dommageable que la misogynie. (J’ai bien dit « dommageable » et pas « condamnable. ») Or, comme l’explique simplement ce post trouvé sur tumblr, il n’en est rien : motivation behind misogyny :men maintaining power over women results of misogyny :rape, abuse, murder, lower pay, less opportunities, general discrimination and loss of power, restrictive gender roles, and much, much more. motivation behind misandry :men as a group sure do a lot of bad things as a result of their gendered power and male privilege, im not sure that i trust them or even like them. results of misandry :hurt feelings En français : Intention de la misogynie :Faire en sorte que les hommes maintiennent la domination qu’ils exercent sur les femmes.

. « Allo les urgences ? Il faut donc fournir quelques éclaircissements. Le fond du problème. Homme Blanc Hétéro* : Le niveau de difficulté le plus faible qui existe. Une autre traduction sur ce blog…Yeah!

Homme Blanc Hétéro* : Le niveau de difficulté le plus faible qui existe

Je précise que celle-ci a été plutôt rapide, donc elle est sûrement grandement imparfaite. Toute remarque de correction sera donc bienvenue! Sinon, je suis désolée pour les féministes racisées, ça sera encore un mec blanc (et cis hétéro en plus) ! Je le jure que je le fais pas exprès, mais ce texte est utile, et surtout je répugne fortement avec mes propres mots, à faire cette pédagogie-là…De quoi je parle? Attendez, ça vient! Donc qui de mieux au final qu’un homme blanc cis hétéro pour faire cette pédagogie? Je réfléchissais à un moyen d’expliquer aux hommes blancs hétéro comment la vie est pour eux, sans utiliser le mot honni « privilège », face auquel ils réagissent comme des vampires à qui on aurait donné à manger de l’ail à minuit. *Note : On me fait remarquer à juste titre, qu’il n’est pas précisé qu’on parle de l’homme blanc hétéro cis. J'aime : J'aime chargement… Moi, ça va.

"La Fabrique des garçons": "On éduque les garçons à l'agressivité, à la compétition, à ne pas pleurer" Dans les deux volumes de « La Fabrique des garçons », Sylvie Ayral, professeur agrégée et docteur en sciences de l’éducation, et Yves Raibaud, géographe, maître de conférence à l’université Bordeaux III et chargé de mission pour l’égalité hommes-femmes, enquêtent sur la façon dont la société impose la virilité aux garçons dès leur plus jeune âge.

"La Fabrique des garçons": "On éduque les garçons à l'agressivité, à la compétition, à ne pas pleurer"

Entretien. Comment fonctionne la "fabrique des garçons" ? Sylvie Ayral – S’il y a eu beaucoup de travaux sur les femmes dans une approche féministe, il y en a encore trop peu sur les hommes et sur la manière dont se construit leur identité masculine. Dès leur plus jeune âge, on éduque les garçons à l’agressivité, la compétition, à refouler le "je" au profit du "nous" du groupe de pairs, à masquer leurs émotions, à ne pas pleurer. C’est le prix à payer pour pouvoir dominer, plus tard, presque toutes les sphères de la vie publique. Vous décrivez, en définitive, une "fabrique de machos" ? Yves Raibaud – Non, tous les garçons ne sont pas machos.