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Virus

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Kaspersky. 5 attaques cauchemardesques qui montrent les risques liés à la sécurité de l'IoT. Lorsqu'il est apparu pour la première fois, l'internet des objets (IoT) ne semblait guère plus qu'une idée sans substance. De quoi s'agissait-il ? Était-ce le nouveau visage de l'informatique (vous vous souvenez) ? Au final, l'internet des objets s'est concrétisé et les consommateurs en redemandent. Thermostats intelligents, grille-pain, verrous, éclairage, Echo, Google Home... la liste est sans fin À l'heure où de plus en plus de particuliers et d'entreprises adoptent ces appareils, vous pouvez imaginer ce qui s'ensuit : des brèches de sécurité. Au cours des dernières années, il s'est produit un certain nombre d'attaques centrées sur l'internet des objets. Revenons sur quelques-unes des pires attaques commises ces dernières années contre des appareils de l'internet des objets et ce que vous pouvez faire pour éviter d'être victime de vulnérabilités. 1.

Les sept types de virus informatiques et comment leur échapper - Les virus informatiques sont de loin le type de logiciels malveillants le plus grave qui peut affecter votre appareil. Les virus sont différents des logiciels espions et des pubiciels. Les pubiciels affichent des pubs agaçantes et les logiciels espions suivent votre activité et vos informations sensibles. Mais les virus vont encore plus loin, car souvent ils modifient les fichiers système et effectuent des activités malveillantes, comme envoyer des courriels à d’autres personnes, se répliquer dans d’autres applications et appareils, et causer de sérieux dommages à la base de registre.

Ci-dessous se trouve une liste des sept types de virus informatiques les plus importants, suivie des solutions adaptées. #1 – Hijacker Ce virus modifie les requêtes de recherche dans votre navigateur afin que votre recherche soit redirigée plusieurs fois avant d’atteindre sa destination. . #2 – File Infector Certains virus sont spécifiques à des fichiers, s’attachant à des fichiers utilisés fréquemment. Bad Rabbit : une nouvelle épidémie de ransomware progresse. Cet article est mis à jour au fur et à mesure que nos experts trouvent de nouvelles données sur le malware.

Bad Rabbit : une nouvelle épidémie de ransomware progresse

Nous avons déjà vu deux grandes attaques de ransomwares à grande échelle cette année : le tristement célèbre WannaCry et ExPetr (également connu comme Petya et NotPetya). Il semblerait qu’une nouvelle attaque soit en cours : le nouveau malware s’appelle Bad Rabbit – c’est tout du moins le nom indiqué sur le site internet du darknet mentionné sur le message de rançon. Ce que nous savons pour le moment, c’est que le ransomware Bad Rabbit a infecté plusieurs grands organes de presse russes dont l’agence d’information Interfax et Fontanka.ru. L’aéroport international d’Odessa a signalé une cyberattaque sur son système d’information, mais nous ne savons pas encore s’il s’agit de la même attaque. Les criminels qui se cachent derrière Bad Rabbit demandent 0,05 bitcoin en rançon, ce qui revient à 280 dollars au taux de change actuel.

Pour éviter d’être victime de Bad Rabbit : Attaqué par le virus Wannacry, Boeing se montre rassurant. Cyberattaque : un an après, le virus Wannacry refait parler de lui. L'année dernière WannaCry a affecté plus de 200.000 utilisateurs dans plus de 150 pays, en cryptant les fichiers des utilisateurs et exigeant des rançons à leurs propriétaires pour les récupérer. TSMC, fournisseur important du géant Apple, a indiqué que certains de ses systèmes et équipements électroniques dans ses usines de Taïwan avaient été infectés le 3 août lors de l'installation de logiciels, ce qui devrait entraîner des retards de livraison et une baisse de 2% du chiffre d'affaires au troisième trimestre.

Cet événement intervient alors que Apple s'apprête à sortir de nouveaux modèles Iphone cette année. TSMC a refusé de dévoiler les identités des clients touchés, mais il a souligné qu'aucune information confidentielle n'avait été dévoilée. Le directeur général de TSMC Wei a indiqué lundi aux journalistes et analystes que le virus avait été éradiqué et que toute la production était de nouveau normale. M. (avec agences)