Pourtant, au fil de l'évolution de l'organisation administrative des territoires, et à mesure de la mobilisation des citoyens en faveur de la solidarité internationales, certaines prérogatives touchant aux relations internationales ont été prises en charge par des instances sub-étatiques en lien avec la société civile organisée.
Dans le cadre des politiques de coopération décentralisées, liant les collectivités locales de différents pays entre elles sur des projets d'intéret commun, la question de la sécurité humaine se pose avec d'autant plus d'insistance que certains territoires de coopération connaissent des tensions qui parfois évoluent en crise ouverte.
Le cas malien, pris ici comme cas d'étude, a questionné la capacité des institutions locales et les groupements de la société civile avec lesquels elles coopèrent, quant à l'impact qu'elles peuvent avoir face à ces crises.
Si les Etats continuent, bien entendu, de jouer un role primordial par la mobilisation de leurs diplomatie mais aussi de leurs forces militaires, les colectivités locales et leurs sociétés civiles, peuvent, c'est ici l'argument défendu, s'impliquer dans la réflexion sur la prévention des crises.
Le projet développé ici met en scène une réflexion sur l'identification des facteurs de tensions et le renforcement de liens de territoires à territoires mais plus encore de populations à populations pour mieux informer et renforcer les échanges entre institutions et groupements de citoyens agissant pour la paix et la sécurité humaine.
Il s'agit, ici, d'un projet en cours d'évolution, soumis aux suggestions d'amélioration et de contribution de différents acteurs.
Mali. Buts du projet. Www.iom.int/files/live/sites/iom/files/Country/docs/Mali-Migration-Crisis_June-2013_FR_MAP.pdf. AFD CIEDEL: décentralisation et lutte contre la pauvreté (2009) Comment les technologies ont changé la préparation aux situations d’urgence | Monde | Alerte précoce | Politique. Inondations au Tchad. Les technologies sont de plus en plus utilisées pour prévenir les populations des catastrophes DAKAR, 20 août 2013 (IRIN) - Les téléphones mobiles, les systèmes d’information géographique (SIG), Twitter et d’autres technologies sont de plus en plus utilisés pour informer les communautés d’un risque potentiel de crise, pour les renseigner sur la manière de se préparer et pour aider les gouvernements et les agences d’aide humanitaire à prévoir le déroulement des situations d’urgence.
IRIN examine la manière dont ces innovations contribuent à faire évoluer les systèmes d’alerte précoce et de préparation aux catastrophes. Surveillance du marché Les agences d’aide humanitaire utilisent de plus en plus les téléphones mobiles pour surveiller et analyser les données de marché des régions isolées. Ces programmes sont utilisés dans le monde entier, y compris au Kenya, dans le nord du Mali, au Niger, en Somalie et en Tanzanie. Messages d’alerte précoce concernant la santé. LE BLOG DU PULAAGU » Senegal: Initiative Jokko de L’ONG TOSTAN.
Can our parents collect reliable and timely price data? | Open Data. During the past few years, interest in high-frequency price data has grown steadily. Recent major economic events - including the food crisis and the energy price surge – have increased the need for timely high-frequency data, openly available to all users. Standard survey methods lag behind in meeting this demand, due to the high cost of collecting detailed sub-national data, the time delay usually associated with publishing the results, and the limitations to publishing detailed data. For example, although national consumer price indices (CPIs) are published on a monthly basis in most countries, national statistical offices do not release the underlying price data. Crowd sourced price data * This map was produced by Staff of the World Bank. The boundaries, colors, denominations and any other information shown on this map do not imply, on the part of The World Bank Group, any judgment on the legal status of any territory, or any endorsement or acceptance of such boundaries.
RONGEAD. Introducing the Participatory Aid Marketplace. My cohort Matt Stempeck at the Center for Civic Media at MIT’s Media Lab recently finished his graduate thesis on participatory aid. We were also on a panel together at the MIT-Knight Civic Media Conference. Here’s a blog he posted on the Civic Blog about his work – it’s reposted here with his permission. Unlike my thesis readers, who may or may not have made it through all 244 pages, you get to experience the condensed version. The full PDF is here, if you’re into reading and citations. Participatory Aid People are using information and communication technologies (like the internet) to help each other in times of crisis (natural or man-made). The practice of mutual aid has been greatly accelerated and extended by the internet’s global reach.
Formal aid groups like the UN and Red Cross are facing disintermediation not entirely unlike we’ve seen in the music, travel, and news industries. You are more than your bank account How to Help Using Tech A Case Library of New Ways to Help Framework. Crise malienne: les camps de réfugiés comme territoires de paix?Territoires de paix. Par Charlotte Arnaud, stagiaire à l’Ecole de la Paix[1]. La crise politique que connait le Mali depuis 2011 a provoqué un déplacement massif de plus de 500 000 personnes, dont 174 129 ont choisi de chercher refuge et protection à l’extérieur des frontières. Au Burkina Faso, au Niger et en Mauritanie, la vie se réorganise, les réfugiés se regroupent, les ONG, organisations internationales et autorités locales coopèrent afin de leur apporter aide et protection. Le camp, loin d’être un lieu de réclusion et d’exclusion, permet au contraire la renaissance d’une société nouvelle, dans sa pluralité et sa complexité, et aide beaucoup de Maliens à penser la reconstruction du vivre-ensemble.
La crise malienne est une crise politique et sécuritaire, doublée d’une crise alimentaire qui en accentue les effets. Etat des lieux ; réfugiés et déplacés internes Les camps de réfugiés : approche sémantique La sécurité au prix de la liberté ? La cohabitation, un enjeu majeur de la vie dans les camps. L'éducation au Mali 2013. Une infographie pour comprendre la crise malienne en 2013Territoires de paix. Déplacements internes au Mali (IOM)
Relations inter-ethniques (Afrobaromètre 2013) Sécurité alimentaire (Sahel février 2012) (MapAction) Afrobarometre 2013 - insécurité alimentaire et criminalité. Après la crise: qui est pointé du doigt? (afrobaromètre 2013) Après la crise de qui se méfie-t-on (Afrobarometre 2013) Graph 1 - indicateurs de tension politique (source TheEconomist - Transparency Int - RSF) Graph 2: Attitudes face a l'armee - afrobarometre 2013. Graph 3: Attitudes face a la democratie - afrobarometre 2013. MANQUES IDENTIFIES. Diplomatie non gouvernementale : L’intervention des ONG dans un système international en crise. L’Association brésilienne des ONG (ABONG) et Coordination SUD ont organisé à São Paulo les 4 et 5 décembre 2006 un séminaire international sur la diplomatie non gouvernementale, avec la participation d’universitaires et de représentants des plates-formes nationales et européennes d’ONG telles que ACCION (Association chilienne des ONG) et CONCORD (Confédération européenne des ONG d’urgence et de développement), des ONG Greenpeace et Oxfam International, du syndicat brésilien CUT et de mouvements sociaux ou de réseaux (MST/Via Campesina, REBRIP).
De nombreuses ONG membres de l’ABONG ont également participé au débat (FASE, SOS Corpo, ESPLAR, etc.). Ce séminaire, qui s’inscrivait dans les activités du volet international du programme de coopération entre Coordination SUD et l’Abong, cherchait à répondre aux nouveaux défis auxquels sont confrontés les acteurs de la diplomatie non gouvernementale dans un contexte mondial d’aggravation des conflits et de crises du système international. Chercheurs locaux. GREAT - Bamako. SMS et réseaux de relais locaux d'information. Ushahidi. Ushaidi - carto mali crowdsourced 2013.
Open data, gestion de crise et action humanitaire, Le « web humanitaire » est déjà une réalité. La forte médiatisation des récentes crises majeures a mis en exergue de nouvelles pratiques dans la gestion et le traitement de l’information de ce type d’événements. Internet est devenu un carrefour où sinistrés et leurs proches, gouvernements, ONG, services de sécurité civile se retrouvent pour échanger et gérer la crise. Conçu à l’origine pour résister à des attaques sur le sol américain, décentralisé sur la planète entière, Internet est aujourd’hui un atout majeur de la gestion de crise. La baisse des coûts d’équipement en terminaux connectés à Internet, la démocratisation des téléphones cellulaires et l’émergence fulgurante des réseaux sociaux catalysent la diffusion de l’information de crise sur le réseau des réseaux.
Les derniers grands bouleversements ont mis en valeur et éprouvé de nombreux outils en ligne permettant la remontée, la gestion et la diffusion de l’information. Ces plates-formes sont basées majoritairement sur des logiciels libres. Groupements citoyens. Cartographie des acteurs RA + questionnaire. Emergency and Disaster Information Service.