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TaskRabbit: Running Errands For Fun and Profit. Leah Busque, the founder and chief product officer at TaskRabbit, is a former IBM software engineer who started her company to solve a problem she had one very cold evening in Boston.

TaskRabbit: Running Errands For Fun and Profit

She ran out of dog food at home and wished there was someone she could pay to run the errand. She thought: 'it's a simple problem, there should be a simple solution.' That was February 2008. She went online that evening, registered runmyerrand.com, quit her job at IBM four months later, and spent the next year building the initial service. Nine months into the effort, Leah got an initial round of angel funding from the early investors in Zipcar: Baseline Ventures, First Round Capital, and Maples Investments. We caught up with Leah recently to talk about how she views TaskRabbit in relation to the other emerging sharing services, and how the current economic climate is affecting her business. Leah Busque, the founder and chief product officer at TaskRabbit. Social Food. Latitude Research° Partageux, mais bien marketés.

Auriez-vous l'idée de vous inviter chez un parfait inconnu pour partager son déjeuner?

Partageux, mais bien marketés

D'emprunter la première voiture venue en bas de chez vous pour une course impromptue? De rester dormir sur un canapé autochtone à l'autre bout du monde? Et de laisser le touriste de passage squatter le vôtre? Non? Pourtant ces petits plats finiront peut-être à la poubelle. Rien de bien neuf là dedans: jusqu'à la célébrité de l'adjudant Chanal l'autostop permettait d'utiliser les sièges vides des voitures croisées sur la route (et de partager le prix du plein) sans appeler ça covoiturage.

Rachel Botsman: The case for collaborative consumption © TED Peut-être que le raccourcissement du trajet entre le producteur et le consommateur – démesurément allongé par la mondialisation et l'aplatissement du globe – permet-il à la planète de respirer à nouveau. L'un de ces usages oubliés est le partage des ressources, des équipements, des espaces, du temps privatisés. Plus de renseignements sur: La consommation collaborative. Les préoccupations environnementales, la crise, mais aussi la résurgence du concept de « communauté » et le développement des technologies Peer to Peer sont à la base d’une véritable révolution appelée « Consommation Collaborative ».

La consommation collaborative

Le principe est de promouvoir l’accès plutôt que la propriété pour passer d’un statut de consommateur passif à celui de collaborateur actif. Ainsi recycler, partager, louer, échanger, prêter, donner, sont des concepts remis au gout du jour grâce aux nouvelles technologies mais aussi à l’évolution des comportements. La société est non seulement entrain de réinventer ce qu’elle consomme mais surtout la manière dont elle consomme ! Ce constat, c’est à Rachel Botsman qu’on le doit. Ses recherches l’ont en effet amenée à identifier 3 modèles différents mais complémentaires : – « product service » : payer pour le bénéfice du produit (ce qu’il permet de faire / ce qu’il fait) sans avoir besoin de posséder le produit.

La consommation collaborative - Modes de vie - Consommation. Les 12 tendances de consommation incontournables pour 2012 selon TrendWatching. Consommation ou partage collaboratif? Suite à la lecture de l’article d’Hubert Guillaud sur Internetactu.net qui de façon plus large traite d’usage et de mésusages & suite à la lecture de Vincent Truffy sur son blog médiapart, j’ai voulu expliquer ce qui à mes yeux fait partie de la consommation collaborative, et des valeurs que je voyais naître grâce à ce mouvement.

Consommation ou partage collaboratif?

J’ai été gêné du mélange général que j’ai pu voir entre les différentes formes de pratiques qui existent et les différences qu’elles ont. Ainsi voilà pour moi les deux améliorations, deux formes de valeur ajoutée, qu’apportent la Consommation Collaborative / Economie Collaborative que je mettrai dans cet ordre : 1) Une meilleure allocation des ressources Elle permet de redonner du service à ce qui stagnait.

Elle engendre une réflexion sur l’accès et l’usage plutôt que la possession. C’était l’ère de l’avoir. . - La terre ne pourra pas supporter plus (et si on réfléchit, c’était bien débile d’en arriver là) - Le cool a changé. La montée de la consommation collaborative. « La consommation collaborative correspond au fait de prêter, louer, donner, échanger des objets via les technologies et les communautés de pairs », explique le site éponyme lancé par Rachel Botsman et Roo Rogers, les auteurs de What’s mine is yours, the rise of collaborative consumption (Ce qui est à moi est à toi, la montée de la consommation collaborative).

La montée de la consommation collaborative

Ceux-ci affirment d’ailleurs que cette pratique est en passe de devenir un « mouvement ». Un mouvement qui va des places de marchés mondiales comme eBay ou Craiglist à des secteurs de niches comme le prêt entre particuliers (Zopa) ou les plates-formes de partage de voitures (Zipcar) . « La consommation collaborative modifie les façons de faire des affaires et réinvente non seulement ce que nous consommons, mais également comment nous consommons », affirment ses défenseurs. Vidéo : la vidéo promotionnelle du livre de Rachel Botsman et Roo Rogers. Les fans du partage ont déjà leur magazine : Shareable.net.