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Community manager

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Fabrice Feugas, PriceMinister - Community managers des grandes entreprises. Son parcours Le poste de community manager n'existe chez PriceMinister que depuis 2011. C'est Fabrice Feugas, qui, après 4 années passées au poste de chef de projet, en charge notamment de l'animation du communautaire via la gestion des outils "avis" et "questions-réponses" du site, a été nommé. Ce diplômé d'un DUT en services et réseaux de communication a complété son cursus par un Master au sein de l'ESIEE Management (anciennement ISTM), une business school orientée technologie à l'issue de laquelle il rejoint le PriceMinister.

Il dépend directement de la direction marketing. Ses responsabilités Son objectif est de "réussir à créer de la chaleur autour des produits commercialisés et à convaincre, de fil en aiguille, les internautes de venir 'shopper' chez PriceMinister". Créer de la "chaleur" autour des produits commercialisés par PriceMinister "Notre meilleur ambassadeur aujourd'hui était, lors de mon arrivée, notre plus gros détracteur, explique-t-il.

Les évolutions qu'il prévoit. Le calendrier du community manager. Les Community Managers sont-ils tous « Ego » ? 1inShare Question : L’égo nous rend-ils tous égaux sur le web ? Réponse : Non. C’est promis, cet article ne comportera pas d’alexandrins ou de blagues potages style OSS 117. Réflexion faite, oubliez ma promesse pour les jeux de mot, c’est peine perdue. Dans ce billet, vous trouverez plutôt une analyse autour de l’influence de notre égo sur nos désirs et nos actions sur la toile. Un réquisitoire sur la nature des internautes et sur le besoin d’accomplissement. Je ne m’intéresserai pas aux concepts de vanité ou de narcissisme qui sont liés à l’Ego, mais plus à l’égocentrisme. Mais en vrai, l’égo, késako ? Définition : Here we go ! Non, l’Ego n’est pas une marque de jouets de construction pour enfant. . « La représentation et la conscience que l’on a de soi-même. Chose intéressante, la culture dissocie l’aspect cognitif et social.

Toute notre vie est régie par notre égo. Ce «je» cartésien est donc à la base de toutes nos actions car il désigne la conscience que l’on a de notre personne. ! !! Comment devient-on community manager ? Cet article a été publié il y a 2 ans 26 jours, il est possible qu’il ne soit plus à jour. Les informations proposées sont donc peut-être expirées. Les métiers du digital font rêver plus d’un jeune diplômé. Le mythe de l’ambiance start-up joue forcément, celui du Community manager qui passe ses journées sur Facebook aussi. Si ces deux aspects sont des mirages que la plupart ne verront jamais, le web reste avant tout un des plus gros réservoirs d’embauches pour les mois à venir. A tel point que même le Pôle Emploi s’intéresse de près à ce marché, à ses 400 000 emplois et à ses 42 milliards de chiffre d’affaire.

Comment ? En formant des jeunes et des personnes ayant du mal à s’insérer professionnellement. Si c’est vrai pour la plupart des métiers du web, cela l’est encore plus pour le community management. Une fois les compétences de base apprises via une formation, qu’elle soit initiale ou pas, il vous faudra vous attaquer au plus important dans la gestion de votre employabilité. Community Management : L'engagement est facteur de succès. 304 Community Managers ont été interrogés entre le 5 et le 20 janvier. 1-. Chiffres sur le métier de community manager Ci-dessous, le rapport de l’étude et une infographie mais avant quelques chiffres qui ont attiré mon attention : Le genre, le métier serait-il sexué ? Près de 2/3 des community managers interrogés sont des femmes. La proportion est-elle la même en France et en Belgique, à voir … ? Enfin le salaire, en moyenne 50.400 $ pour les hommes et 54.880$ pour les femmes… là aussi il y a discrimination. 2-. 3-. Source.

Buffer… Cliquez… C’est planifié !! Claquez des doigts et c’est fait … C’est souvent ce qu’ont essayé les enfants pour avoir le jouet de leur rêve et nous les adultes pour que notre maison se transforme en Château ! Faire quelque chose en un claquement de doigts c’est ce que permet Buffer => partager, planifier et poster des articles intéressants en 2 clics ! Oui c’est possible ! Quand on sait combien de temps on peux passer à gérer notre présence sur les réseaux sociaux un outil comme celui ci devient vite un incontournable. Ne tardez plus à connaître ce merveilleux outil qu’est BUFFER ! Si vous avez lu mon dernier article sur Cotweet, vous savez que je suis en berne d’un outil que j’utilisais au quotidien pour planifier le contenu que j’affiche chaque jour sur mes réseaux sociaux. Donc je me suis mise à la recherche du meilleur outil pour moi mais aussi celui le plus simple et pratique d’utilisation pour former mes clients à son utilisation.

Buffer, votre outil de poche pour partager, planifier et poster ! Allez Zou. Plus tard je veux faire Community Manager ! Être payé pour surfer sur internet, tweeter la photo du moment, poser une question décalée sur Facebook, être le porte parole des marques sur le web, le tout en jean/baskets dans une agence jeune et cool, ou mieux, chez soi tout en buvant une bière et en écoutant Spotify à fond les pieds sur la table…ça fait rêver non ? Quoi de plus cool comme métier ? C'est un peu la vision qu'en ont beaucoup de jeunes geeks aujourd'hui, étudiants en com ou lettres, qui pensent que Community Manager (ou CM pour les initiés) c'est un peu la bonne planque, correctement payé, sympa au quotidien et surtout facile.

Facile, la bonne blague. Pour détruire les clichés qu'ont les gens sur ce métier, commençons par celui ci. Être Community Manager est tout sauf facile. Le CM ne vit pas sur Facebook On ne le répétera jamais assez mais le Community Management ne se résume pas à poster des statuts et répondre à des fans sur les réseaux sociaux. Qu’est-ce vraiment un Community Manager ? Un esprit analytique. E-marketing: les outils ne font pas les Stratégies. Cet article a été publié il y a 2 ans 1 mois 17 jours, il est possible qu’il ne soit plus à jour. Les informations proposées sont donc peut-être expirées. T’y connais rien au rock! Moi: “tu n’y connais rien au e-marketing” – Lui, plus tard: “visiblement, toi tu n’y connais rien au rock!”. C’est la grosse claque que j’ai pris dans la tronche il y a quelques jours lors d’une discussion avec un décideur dont le talent et la pertinence des questionnements sont pour moi un modèle à suivre. Les concepts de “E-marketing” et de “Rock” partagent en commun des dérives de compréhension qui se construisent autour des succès et tubes qu’on entend ou lit dans les médias à longueur de pages ou d’ondes.

En effet, la crème des experts du marketing digital a déjà publié une pléthore de billets sur ce sujet, participant ainsi à créer certains référentiels incontournables, et structurer une « culture métier » où l’excellence se mesure en popularité, en « like », ou en RT. Notre métier… ? Sources: Les 3 étapes de l’évolution digitale de votre entreprise. On lit sans cesse que nous sommes en train de vivre une révolution digitale, sociale et mobile. De nouveaux acronymes comme le SOLOMO (SOcial LOcal MObile) apparaissent pour définir cette interconnexion entre la géolocalisation, les interactions digitales au sein de lieux physiques (magasins, restaurants, musées, …), les usages sociaux et participatifs, les nouveaux services que sont les médias sociaux et les terminaux mobiles.

Sauf que Facebook n’est pas la révolution, la vraie révolution est celle qui doit, et qui en train d’avoir lieux au sein des entreprises, comme je l’avais précédemment écrit (La révolution, ce n’est pas Facebook : c’est la digitalisation de l’entreprise). Digitalisation et social business Cette révolution digitale est ce passage des entreprises vers le monde digital. Certaines n’ont déjà pas survécu, faute d’avoir su faire leur mutation à temps, face à des nouveaux entrants ou des usages qui ont bouleversé leur univers. Savoir se tenir prêt. SoShake Ou Comment Améliorer Vos Taux De Conversion Grâce A L’engagement Social.

Vous avez un site web et vous souhaitez augmenter vos taux de conversion ? Alors continuez à lire ce billet et découvrez SoShake, la plateforme qui s’appuie sur l’engagement social et la viralité des médias sociaux pour transformer vos visites en ventes et en leads. SoShake, tout juste sortie de bêta, est une solution proposée par l’agence « social media » Up2Social. SoShake : comment ça marche ? Up2Social part du constat suivant : c’est au moment où les visiteurs partagent le contenu d’un site web auprès de leur réseau qu’ils sont les plus réceptifs, soit par exemple lorsqu’ils cliquent sur le bouton « J’aime ». Avec SoShake, les internautes vont au-delà des simples actions de partage social. SoShake : démonstration en vidéos. A. B. 1. 2. 3. SoShake : quelles caractéristiques ? SoShake présente les caractéristiques suivantes : Installation simple et rapide en quelques clics.

SoShake : combien ça coûte ? WebDoc. Un outil de curation complet et ludique. Comme tout bon outil de curation qui se respecte, Webdoc permet de créer des histoires ou des “conversations” en mixant le web et les réseaux sociaux sur une table montage virtuelle ou l’on va déposer et organiser les différents éléments de l’histoire. Webdoc c’est découvrir, créer, et partager du contenu riche et interactif. On utilise webdoc lorsque qu’un message Facebook ou Twitter n’est pas suffisant pour raconter son histoire, mais qu’on ne veut pas créer et maintenir un blog. Il peut aussi servir à partager une veille bien sûr. Une fois inscrit sur le service, la création de votre premier webdoc est trés simple. Les suivants aussi. Cet outil de curation vous propose à gauche de l’écran une feuille blanche dans laquelle vous allez pouvoir créer votre histoire en y insérant du texte, du dessin, des vidéos ou des photos.

A droite vont venir s’installer les sources disponibles. Car un des points forts de Webdoc, c’est l’interactivité. Like Loading...