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Santé

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Ce que nous transmettons à nos enfants sans le savoir. Tout ce que nous respirons, mangeons et buvons, notre activité physique et notre stress non seulement ont un impact sur notre santé, mais peuvent également se répercuter sur la santé de nos futurs enfants, voire de nos petits-enfants. Cette transmission d'informations concerne la mère comme le père. Elle passe en particulier par un étonnant mécanisme de contrôle de l'expression des gènes, l'épigénétique. Un sujet largement abordé au cours du premier colloque de la Société francophone pour la recherche et l'éducation sur les origines développementales, environnementales et épigénétiques de la santé et des maladies, SF-DOHaD, créée en janvier dernier. Dès le lycée, les enfants apprennent les lois de la génétique, qui expliquent comment les parents transmettent à leurs enfants un ensemble de caractères "innés", allant de la couleur de la peau et des yeux à certaines maladies dites "de famille".

Stop au cancer. Chimio orale : la nécessaire vigilance des patients. Venir à bout de son cancer grâce à la prise à domicile d’un médicament, c’est désormais possible grâce aux chimiothérapies orales. Alors que la recherche se concentre sur le développement de ce traitement beaucoup moins lourd pour les patients, retour sur ses avantages et ses inconvénients. Les chimiothérapies orales font partie des belles avancées scientifiques de la dernière décennie. Elles répondent en effet à une triple exigence : améliorer la qualité de vie des patients, leur donner une plus grande autonomie, tout en garantissant une efficacité au moins égale ou supérieure à une chimiothérapie classique. Cependant, ce type de traitement n’est pas à prendre à la légère. . « L’avantage principal de la prise orale est que cela évite les interminables allers-retours à l’hôpital, souligne le Dr Francoise May-Levin, cancérologue à la Ligue contre le cancer.

«Il ne faut absolument pas banaliser la chimio orale», ajoute Dr Francoise May-Levin. Cécile Cailliez. Comment aider le mourant à conserver sa dignité. Toute personne dont la vie tire à sa fin souhaite partir dans la dignité. Certains arrivent à le faire grâce à des gestes précis, par exemple en laissant un message d'adieu sur bande vidéo ou audio, ou en rédigeant un journal à l'intention de leurs enfants ou petits-enfants. D'autres encore trouvent un sentiment de dignité au quotidien, dans leurs contacts avec leurs proches, leurs amis et les personnes qui les soignent. « Le soignant qui s'occupe de mourants doit comprendre le sens de la dignité », dit le Dr Harvey Chochinov, professeur au département de psychiatrie de l'Université du Manitoba. « Mais qu'est-ce que la dignité exactement, et comment peut-on la préserver?

» Pour répondre à ces questions, le Dr Chochinov, qui dirige également le département d'oncologie psychosociale d’Action Cancer Manitoba, a interrogé 50 patients approchant le terme de leur vie. Le premier domaine, appelé « préoccupations liées à la maladie » vise les besoins physiques du malade. Pesticides. Fruits et légumes les plus et moins pollués.

Rédigé par Consoglobe, le 16 sept 2015, à 16 h 32 min Manger des fruits et légumes non pollués par des pesticides devient difficile. On les appelle « les 12 salopards », en référence aux Douze Salopards, ce film évoquant un commando anti-nazis. Chaque année, un think-tank des Etats-Unis répertorie les fruits et légumes les plus contaminés par les pesticides. Voici donc le pense-bête de l’année 2015. Qu’il s’agisse de l’Inserm, de l’EWG, ou de l’association Pesticide Action Network PanEurope – fondée sur les données de l’Autorité européenne de sécurité sanitaire -, les études vont toutes dans le même sens : on trouve des pesticides partout !

A la suite des analyses menées par ces organismes, le classement des fruits et légumes les plus contaminés est dressé. Article mis à jour en septembre 2015 Des pesticides dans nos assiettes Des études concordantes Pas de chance, ce sont parmi les légumes les plus consommés ! Le classement des fruits et légumes contaminés Les moins traités Références : Accepting chronic pain. How willing are you to have persistent pain? Can you accept pain without fighting against it? If you were told your pain was going to be there forever, would you avoid important activities or would you start to get back into life again? Recently I reviewed about 200 questionnaires completed by people attending the Pain Management Centre where I work. I was looking especially at what they’d written down as goals for coming to the Centre, and unsurprisingly, most of them were to ‘reduce my pain’ – to tolerable levels, to manageable levels, or so the person could begin ‘living a normal life’.

I hate to break it to you – even the most effective medication seems to only reduce pain by about 30%, and most people wanting pain reduction are after at least a 60% reduction. What this means is there is quite a gap between what people expect – and what they get. I haven’t asked people those questions at the top of this post. It’s not easy to think about accepting chronic pain. Like this: Pas de lien avéré entre téléphone portable et cancer, en dépit des soupçons.