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Erreurs et surprises

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Les seniors tout aussi productifs que leurs cadets. Vos dernières recherches seront affichées ici. Les travailleurs plus âgés sont tout autant productifs que leurs collègues plus jeunes. C’est entre autres ce qui ressort d’une nouvelle étude commanditée par l’organisme de bienfaisance britannique Age UK. Les scientifiques de la Essex Business School (Université de l’Essex) sont tombés sur un certain nombre d’opinions collectives qui circulaient sur les travailleurs âgés. Selon l’analyse qu’ils ont menée à partir d’une série d’études déjà publiées sur les caractéristiques des seniors, il semble y avoir peu de preuve que les stéréotypes sur leur productivité, leur santé, leur implication et leur flexibilité soient bien fondés.

Malgré ce que beaucoup d’employeurs croient, les plus de 55 ans semblent tout autant motivés et flexibles que les travailleurs plus jeunes. Les ‘manquements’ physiques auxquels les seniors doivent faire face sont compensés par des compétences spécifiques ainsi que par leur expérience. Deux études allemandes. D’un porno pour marmots | Dans vos têtes.

Le 11 janvier 2013, dans une école maternelle de Seine-Maritime, une enseignante démarre la lecture d’un DVD pour sa classe avant de s’absenter quelques instants. Les enfants, tous âgés de moins de cinq ans se retrouvent seuls face à l’écran sensé diffuser un innocent dessin animé. Mais par erreur, c’est un film pornographique que les petits auront pour spectacle pendant cinq bonnes minutes. Bien évidemment, les parents et les élus sont choqués et le service départemental de l’éducation nationale étudie l’éventuel besoin d’un suivit psychologique pour certains enfants. La double pénétration, une gigantesque partouze ou encore une scène scato, ça vous choque ? Sachez que pour la petite Lou, assise au premier rang les yeux écarquillés, c’est probablement d’autres détails qui attireront son attention.

C’est lorsqu’une de ces dominantes visuelles et/ou sonores particulière renverra pour l’enfant à une connotation aversive, que celui-ci manifestera des réactions émotionnelles désagréables. The challenges of conversational journalism. The most visible journalism these days -- aka the loudest journalism, namely cable news, pop culture blogs, tabloid magazines, TMZ, Buzzfeed, HuffPo, talk radio, etc. -- mostly takes the form of opinionated conversation: professional media people discussing current events much like you and your friends might at a crowded lunch table. A side effect of this way of doing journalism is that you rarely hear from anyone who actually is an expert on the subject of interest at any particular time. That approach doesn't scale; finding and talking to experts is time consuming and experts without axes to grind are boring anyway. So what you get instead are people who are experts at talking about things about which they are inexpert.1 And the challenge for listeners/readers/viewers here is obvious: non-experts can completely miss stuff that's obvious to an expert.

But a little expertise is enlightening. None of the news stories are commenting on the fact that Manti Te'o is Samoan. And Doughty: How to read minds like a wizard. Fans of the Harry Potter books will be familiar with the art of Legilimency. Legilimency is an advanced form of wizardry, the supernatural ability to coax thoughts and feelings and memories from another’s mind. It’s a magical skill encompassing mind reading and lie detection—and it’s black magic in the wrong hands. Dumbledore, headmaster of Hogwarts, is a master Legilimens, as are the evil Snape and Voldemort. Harry never quite masters the difficult craft. Many of us Muggles wouldn’t mind a touch of telepathy from time to time—though for much more ordinary purposes. Colleagues are thinking about that paper you just presented? Well, it may now be possible to do better than that. Tal Eyal of Ben Gurion University in Israel and Nicholas Epley of the University of Chicago started with “construal theory.”

And this is how we construe ourselves and others as well—which is why we have so much trouble reading minds. Here’s how they tested this idea in the laboratory. Savez-vous repérer ces 10 erreurs de raisonnement? En dialectique (l’art de raisonner par le dialogue), il arrive souvent que l’un ou l’autre des deux interlocuteurs essaie de prendre le dessus en utilisant une illusion logique. Le raisonnement semble correct, mais il est faux. Par exemple : “Il est borgne, donc c’est un bandit”. Lorsque cette erreur de raisonnement est utilisée intentionnellement comme un stratagème pour prouver qu’on a raison, on appelle cela un sophisme. Mais on peut aussi le nommer paralogisme si c’est involontaire. Dans la liste qui suit, nous allons voir 10 erreurs de raisonnement parmi les plus courantes. On pourra ainsi plus facilement repérer les incohérences dans les discours politiques, les messages publicitaires ou tout simplement nos discussions quotidiennes : 1.

L’appel à l’autorité est un stratagème où l’on utilise une autorité pour prouver que ce que l’on dit est vrai. On notera cependant que même si toutes ces conditions sont réunies, la parole d’un expert reste toujours soumise à l’erreur humaine. 2. 3. How facts backfire. It’s one of the great assumptions underlying modern democracy that an informed citizenry is preferable to an uninformed one. “Whenever the people are well-informed, they can be trusted with their own government,” Thomas Jefferson wrote in 1789.

This notion, carried down through the years, underlies everything from humble political pamphlets to presidential debates to the very notion of a free press. Mankind may be crooked timber, as Kant put it, uniquely susceptible to ignorance and misinformation, but it’s an article of faith that knowledge is the best remedy. If people are furnished with the facts, they will be clearer thinkers and better citizens. If they are ignorant, facts will enlighten them. If they are mistaken, facts will set them straight. In the end, truth will out. Maybe not. This bodes ill for a democracy, because most voters — the people making decisions about how the country runs — aren’t blank slates.

What’s going on? For the most part, it didn’t.