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Écologie et tourisme à Nantes : un bel exemple à suivre. Récemment, Catherine Choquet, adjointe au Maire de Nantes du quartier centre-ville et Pierre-Yves Le Brun, conseiller municipal délégué à l'éco-tourisme, ont rencontré Madame Nadine Witczak, directrice de l'hôtel Amiral, rue Scribe. Pourquoi cet intérêt ? Parce que cet hôtel a reçu récemment un éco-label européen, récompensant ses efforts de longue durée pour faire de son hôtel un exemple en matière de développement durable.

Madame Witczak a fait l'historique de ses démarches, commencées en 2008. Elle a d'abord rappelé que l'hôtellerie doit faire face à des charges très importantes dans différents domaines : Des déchets « colossaux », dus à l'utilisation exclusive de portions individuelles aux petits déjeuners (beurre, confiture…) et dans les salles de bains (savons, gel douche), entraînant un gaspillage énorme.Des coûts de blanchisserie très importants, dus au changement quotidien des draps et serviettes de toilettes., de l'ordre de 4.200 € par mois.

La Route verte, un circuit touristique? 1 Cet article repose sur les principales conclusions du mémoire de maîtrise en géographie de Maryse (...) 1En Amérique du Nord, il aura fallu près de trois décennies pour confirmer le vélo comme usage récréatif et moyen de transport populaire dans certaines villes. Le Québec a sans aucun doute fait ses classes et assuré une place de choix à l’usage généralisé de la bicyclette. Mais, il n’y a pas si longtemps, l’infrastructure cyclable québécoise était encore très désuète. Les cyclistes et leurs organisations ont milité pendant de nombreuses années pour la mise en place de voies praticables et sécuritaires. Des aménagements ont ainsi été réalisés au cours des années 1970 et 1980 et d’autres voient encore le jour aujourd’hui (Jolicoeur, 2001). Le projet de la Route verte puise ses racines dans cette demande récurrente d’un réseau convenable pour circuler à vélo. 2Qu’est-ce que la Route verte?

7- l’axe 6 se prolonge de Rivière-à-Pierre au nord de Québec jusqu’en Beauce ; COP21 : Il faut rapidement repenser le tourisme pour préserver l’environnement. Rares sont les pays à ne pas s’être penché sur la question des enjeux du réchauffement climatique et la nécessité d’y apporter des réponses rapides. Dès octobre 2007, l’organisation Mondiale du Tourisme faisait sa deuxième Conférence Internationale sur le changement climatique et le tourisme, en demandant dans ses conclusions "un engagement immédiat de l’ensemble du secteur touristique à prendre des mesures pour faire face au changement climatique, un des plus grands défis du XXIe siècle, menaçant le développement durable et les objectifs du Millénaire pour le développement".

Huit ans après et des centaines de rapports, colloques, conventions et déclarations d’intentions, le constat est plus que mitigé. Entre développement du PIB et accord "universel et contraignant" prôné par la Cop 21, beaucoup semblent déjà avoir choisi, ce sera le compromis… 1,5 milliard de touristes franchiront leurs frontières en 2030 Autres articles L’argent ne sent pas le kérosène ! Nous sommes tous Cop21. Tourisme. Tourisme responsable. Un article de Encyclo-ecolo.com. Le tourisme responsable ou éthique Le tourisme responsable ou éthique «c'est une activité de tourisme ou de loisir qui met en place des pratiques respectueuses de l'environnement naturel et culturel et qui participe de manière éthique au développement économique local. Elle favorise ainsi la prise de conscience du touriste vis-à-vis des impacts qu'il peut avoir sur le territoire et le rend acteur de sa consommation. » source charte Eveil Le tourisme responsable regroupe diverses formes de tourisme alternatif au tourisme de masse.

En effet, le tourisme de masse bien que facteur de développement économique pour certains pays ou régions, peut avoir des conséquences désastreuses au niveau économique justement mais aussi social, culturel et environnemental. Les différentes formes de tourisme responsable Il existe différentes formes de tourisme alternatif, chacune s'appuyant sur les piliers économique, social, culturel et environnemental. Le tourisme durable. Acteurs du tourisme. Écolabel européen. Introduction L’ écolabel européen est un signe de reconnaissance d’un produit de consommation respectueux de l’environnement. Il est la garantie l’efficacité du produit et de la réduction de son impact environnemental tout au long du cycle de vie y compris lors des traitements de recyclages ou destruction..

En France, le ministère du Développement durable organise chaque année, en partenariat avec l’ADEME et AFNOR Certification, une campagne de promotion de l’écolabel.Remarque : il existe en France un deuxième label : la marque NF Environnement, une certification nationale. Ces deux écolabels couvrent ensemble une cinquantaine de catégories de produits. On peut en particulier les trouver aujourd’hui sur les détergents et les produits de nettoyage, le linge de maison et les textiles, les peintures et vernis, le mobilier, les sacs-poubelles, les papiers essuie-tout, les enveloppes et les cahiers… etc.

Écolabel européen Législation Ecolabel européen « Services d’hébergement touristique ». Les parcs nationaux sont-ils menacés ? Les parcs nationaux protègent depuis les années 60 les sites les plus remarquables de notre territoire national. Mais plusieurs indices montrent qu'ils traversent une crise majeure. Les signaux d'alerte révélateurs d'une crise des parcs nationaux se font de plus en plus nombreux. Parmi les derniers épisodes en date, la grève des personnels des parcs le 15 novembre dernier, le refus des communes de Tarentaise de signer la future charte du Parc de la Vanoise, la demande de Parcs nationaux de France adressée à la ministre de l'Ecologie afin que soit menée à bien la réforme de 2006 ou encore la conférence de presse du 12 décembre dernier de huit ONG dénonçant les menaces pesant sur ces zones de protection.

Des communes qui craignent un gel de leur territoire Quelles sont les causes de la grogne ? Que prévoit cette loi ? En premier lieu, la création d'une charte dans la zone d'adhésion du parc, qui remplace l'ancienne zone périphérique. L'exemple emblématique de la Vanoise. Économie collaborative et tourisme: panorama des acteurs. De plus en plus d’entreprises surfent sur la vague de l’économie collaborative, phénomène connaissant son apogée ces dernières années.

Le secteur du voyage n’est pas exempt et voit l’arrivée d’un grand nombre de startups basant leur modèle sur le partage et l’entraide. Que ce soit dans le secteur de l’hébergement, du transport, de la restauration ou encore des activités, des dizaines et dizaines de bonnes idées voient le jour. Cosmopolit Home, elle même actrice de l’économie collaborative touristique, a répertorié une liste de 67 de ces entreprises et les a réunies sur une infographie.

Voici ces entreprises, secteur par secteur, qui contribuent au tourisme collaboratif. A LIRE AUSSI: découvrez des dizaines d’interviews de start-up du tourisme et du tourisme collaboratif Dans le secteur de l’hébergement Les plus gros: Airbnb: créé en 2008 par trois étudiants, le site met en relation des voyageurs et des hôtes. Les outsiders: Les originaux: Misterbnb: c’est le Airbnb pour la communauté gay.