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Web sémantique

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Le web sémantique, futures approches et visions du web pensant. L’évolution du web vers la synthèse et l’intelligence artificielle Le web sémantique : Présent dans la recherche de tous les jours En 1999, Tim Berners-Lee a décrit sa vision de l’avenir d’Internet. Il décrivit les ordinateurs étant capable d’analyser et de comprendre les mêmes informations que nous, et de devenir des assistants virtuels personnalisés. Imaginez l’application de calendrier sur votre appareil mobile observant un conflit d’horaire lorsque vous commencez à réserver un voyage sur Weekendesk. Depuis une dizaine d’années, un mouvement appelé le Web sémantique (hyper-médias) a été adopté pour permettre cette vision.

Mais récemment, cette situation a changé depuis l’apparition de l’HTML5, technologie prenant en charge le marquage sémantique dans tous les navigateurs modernes. Récemment d’autres entreprises utilisent également des balises sémantiques. Alors, comment peut-on mettre en oeuvre une annotation sémantique ? Imaginez le web 4.0. Web sémantique, Web de données : présentation. On désigne généralement par le terme de Web sémantique un ensemble de technologies développé par le W3C (l'un des principaux organismes de normalisation du Web) visant à faciliter l'exploitation des données structurées, notamment en permettant leur interprétation par des machines.

Le Web de données (Linked Data en anglais) combine les technologies du Web sémantique avec les principes fondamentaux du Web (protocole HTTP, identifiants URI), avec pour objectif la construction d'un réseau d'informations structurées, disponibles en ligne et facilement réutilisables dans de nombreux contextes. Le Web sémantique Le terme de Web sémantique a été proposé par Tim Berners Lee en 2001 (« The Semantic Web », Scientific American Magazine , May 17, 2001) pour désigner une évolution du Web qui permettrait aux données disponibles (contenus, liens) d’être plus facilement utilisables et interprétables automatiquement, par des agents logiciels . Le Web de données Autres ressources majeures : Web 3.0. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'expression Web 3.0 est utilisée en futurologie à court terme pour désigner le Web qui suit le Web 2.0 et constitue l'étape à venir du développement du World Wide Web.

Son contenu réel n'est pas défini de manière consensuelle, chacun l'utilisant pour désigner sa propre vision du futur d'internet. Historique[modifier | modifier le code] Historiquement, le Web 3.0 est une expression qui désigne la troisième étape en cours des transformations majeures dont le Web fait l'objet depuis son lancement : Le Web 1.0 est le Web constitué de pages web liées entre elles par des hyperliens qui a été créé au début des années 1990.Le Web 2.0 est le Web social, qui s'est généralisé avec le phénomène des blogs, des forums de discussion agrégeant des communautés autour de sites internet et enfin avec les réseaux sociaux.

Le Web 3.0, lui, n'est pas vraiment défini. Problèmes posés par le terme[modifier | modifier le code] People keep asking what Web 3.0 is. Resource Description Framework. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir RDF. En annotant des documents non structurés et en servant d'interface pour des applications et des documents structurés (par exemple bases de données, GED, etc.)

RDF permet une certaine interopérabilité entre des applications échangeant de l'information non formalisée et non structurée sur le Web. Principes fondamentaux[modifier | modifier le code] Un document structuré en RDF est un ensemble de triplets. Un triplet RDF est une association : (sujet, prédicat, objet) Le sujet, et l'objet dans le cas où c'est une ressource, peuvent être identifiés par une URI ou être des nœuds anonymes. Les documents RDF peuvent être écrits en différentes syntaxes, y compris en XML. Un document RDF ainsi formé correspond à un multigraphe orienté étiqueté.

{sujet, objet, prédicat} ⇔ prédicat(objet, sujet) ce qui est équivalent à : ∃ objet, ∃ sujet tq prédicat(objet, sujet) Vocabulaires RDF[modifier | modifier le code] L'objet est : Dublin Core. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Dublin Core est un schéma de métadonnées générique qui permet de décrire des ressources numériques ou physiques et d’établir des relations avec d'autres ressources. Il comprend officiellement 15 éléments de description formels (titre, créateur, éditeur), thématiques (sujet, description, langue…) et relatifs à la propriété intellectuelle. Le Dublin Core fait l'objet de la norme internationale ISO 15836, disponible en anglais et en français depuis 2003.

Il est employé par l'Organisation mondiale de la santé, ainsi que d'autres organisations intergouvernementales. Le Dublin Core a un statut officiel au sein du W3C et de la norme ISO 23950. Historique[modifier | modifier le code] Le groupe de travail de mars 1995 a été commandité par l'Online Computer Library Center (OCLC) et le National Center for Supercomputing Applications (NCSA).

Y participaient : Organisation[modifier | modifier le code] Description[modifier | modifier le code] Archives ouvertes. Métadonnée. Le catalogue de la bibliothèque universitaire de Graz en Autriche. La carte présentée renvoie à un texte de Schleimer qui a défini les règles de ce catalogue. Historique[modifier | modifier le code] Tous les établissements qui ont à gérer de l'information, bibliothèques, archives ou médiathèques ont déjà une longue pratique dans la codification du signalement ou des contenus des documents qu'ils manipulent.

Avant l'arrivée de l'informatique on utilisait des fiches cartonnées dont la structure a été normalisée en 1954 sous la référence ISBD (International standard bibliographic description). Ces descriptions ont ensuite été informatisées sous la forme de notices bibliographiques et normalisées (voir par exemple les formats MARC en 1964 utilisant la norme ISO 2709 dont la conception a démarré en 1960).

Elles facilitent la gestion interne des ressources documentaires et, côté usagers, permettent d'optimiser la recherche et la localisation des documents. Presse[modifier | modifier le code] World Wide Web Consortium. World Wide Web Consortium Le World Wide Web Consortium, abrégé par le sigle W3C, est un organisme de standardisation à but non lucratif, fondé en octobre 1994 chargé de promouvoir la compatibilité des technologies du World Wide Web telles que HTML5, HTML, XHTML, XML, RDF, SPARQL, CSS, XSL, PNG, SVG et SOAP.

Fonctionnant comme un consortium international, il regroupe, au 14 août 2020, 434 entreprises partenaires[1]. Le leitmotiv du W3C est « Un seul web partout et pour tous »[2]. Historique de l'organisme[modifier | modifier le code] Logo du HTML5, une des technologies standardisées par le W3C Le W3C a été fondé par Tim Berners-Lee après avoir quitté le CERN en octobre 1994. En 2009, Tim Berners-Lee crée une fondation indépendante du W3C, baptisée « World Wide Web Foundation » dans le but d'étendre le Web aux pays en voie de développement et de garantir un Web ouvert, utilisable par tous[3]. Structure et fonctionnement[modifier | modifier le code] Gestion[modifier | modifier le code] World Wide Web Consortium (W3C)