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Ni cours, ni programme: bienvenue dans les écoles démocratiques. Temps de lecture: 13 min Imaginez une école où il n’y a pas de cours de maths imposé.

Ni cours, ni programme: bienvenue dans les écoles démocratiques

Ni de cours de français, de sciences physiques ou de géographie. Une école où il n’y a tout simplement pas de cours. Ni de programme à suivre. Où les enfants sont libres de jouer, de discuter, ou même de ne rien faire. De telles écoles se développent actuellement en France, sous le nom d’«écoles démocratiques». Mathilda, 5 ans, va à La Croisée des Chemins depuis quelques mois. Dans ces écoles démocratiques, les élèves sont libres d’occuper leurs journées comme ils l’entendent.

Multitudes d’activités L’idée est donc de ne rien imposer. C’est pourquoi à Lyon, à l’école Nikola Tesla, qui devrait ouvrir ses portes en septembre, ces derniers espèrent qu’une multitude d’activités seront proposées. Mon fils de 8 ans se sent prisonnier à l’école. Élodie, maman Les élèves restent rarement cloîtrés entre quatre murs. Les invités du mercredi : Didier Jean et Zad / Blog La mare aux mots.

Didier Jean et Zad sont à la fois auteurs, illustrateurs et responsables d’Utopique, maison d’édition qui s’appelait 2 Vives Voix encore récemment (pour tout comprendre sur ce changement de nom suivez le guide).

Les invités du mercredi : Didier Jean et Zad / Blog La mare aux mots

Triple casquette pour un duo donc ! J’avais envie d’en savoir plus et ils ont accepté de répondre à mes questions. A la suite de l’interview, vous pourrez tenter de gagner le très bel album de Sandrine Kao, Les larmes de Lisette, qui est le premier ouvrage qu’ils ont édité sans prendre part ni au texte ni aux illustrations. Ensuite, pour notre rubrique Parlez-moi de…, on revient sur Charlie, avec son auteur François David, et le directeur de la collection Place du marché aux éditions Le Muscadier, Eric Denniel.

Bonne journée ! Les invités du mercredi : Didier Jean et Zad Quel a été votre parcours ? Quelles étaient vos lectures d’enfants, d’adolescents ? Nous avons tous les deux aimé lire très jeunes. Dans ces différents domaines, comment s’organise le travail à quatre mains ? Archives Dada. Marcel Duchamp, Bottlerack, 1961 (replica of 1914 original), Galvanized iron, 19 5/8 x 16 1/8 inches (49.8 x 41 cm), © Artists Rights Society (ARS), New York / ADAGP, Paris / Estate of Marcel Duchamp Hannah Höch, Kleine Sonne (Little Sun), 1969, Collage, 41.4 × 61.5 cm © Hannah Höch / Artists Rights Society (ARS), NYWhitechapel Gallery.

Archives Dada

Lettre de Boris Vian à Jean Linard : « Ne me faites pas chier avec ces histoires de pognon et gardez ledit pognon pour bouffer. 7 avril 1951 Mon cher ami, Ah certes, le tour est beau, et vous paraissait sans doute bien combiné.

Lettre de Boris Vian à Jean Linard : « Ne me faites pas chier avec ces histoires de pognon et gardez ledit pognon pour bouffer.

Vous me délivrez, un jour, de façon anodine et peut-être même furtive, d’un exécrable et rebutant objet pendu au mur à seule fin de décoration (?) ; puis je respire, mon thorax velu s’épanche enfin en des épanouissements avides ; je regarde mes doigts de gauche et je vois les trace infâmes de cordes-scies céder à une nouvelle et lisse et jeune pesa striée de remplacement marquée à mes empreintes personnelles.

Vous m’écrivez, sans m’en parler. Je reçois ces lettres, je les lis avec intérêt, j’y réponds d’un coeur sincère et brusquement, comme une bombe, voici que vous venez me faire chier (et en écriture pseudo-phonétique encore) avec une guitare que je vous aurais remise à des fins de vente ; mais je vous vois venir, mon petit, je vous vois venir. Marvin Minsky, pionnier de l’intelligence artificielle, est mort. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Hervé Morin Le test de Turing, qui consiste à voir si une machine peut se faire passer de façon crédible pour un humain ?

Marvin Minsky, pionnier de l’intelligence artificielle, est mort

« Une blague ! » Dans un entretien vidéo mis en ligne en 2013, Marvin Minsky, lui-même prix Turing (1969), qualifiait de plaisanterie ce qui passe souvent pour l’épreuve définitive qui permettrait de qualifier d’intelligent un artefact créé par l’homme. Telle n’était pas l’intention d’Alan Turing, poursuivait le chercheur américain, dans ce blog consacré à la « singularité », ce point où les machines prendront définitivement l’ascendant sur Homo sapiens. L’intelligence, artificielle ou non, ne se laisserait pas enfermer dans un simple test, suggérait Minsky, après avoir passé l’essentiel de sa carrière à tenter d’en saisir l’essence pour la transmettre aux automates – et à constater qu’elle se dérobait en partie à ses efforts. « Concevoir une discipline nouvelle » Outre ses lectures d’enfance de Jules Verne, de H.G.