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Marketing via reseaux sociaux

Facebook Twitter

Les deux images du jour: Monsieur Bonhomme et Madame Carla. Calculer le ROI des médias sociaux est une perte de temps. Les semaines se suivent et se ressemblent : pas une conversation sans que l’on me parle du ROI des médias sociaux. Je veux bien comprendre que les directions générales ou autres donneurs d’ordre ont besoin de données chiffrées avant de prendre de lourdes décisions, mais n’avions-nous pas dit qu’une présence sur les médias sociaux se construit dans la durée et ne nécessite pas de gros budgets mais une implication ? Avant de me lancer dans mon argumentation, laissez-moi vous rappeler plusieurs choses : Les médias sociaux sont des territoires d’expression et d’interaction formidables qui offrent d’innombrables possibilités. Booster votre audience ou votre C.A. sont des objectifs louables, mais il existe d’autres outils qui le font bien mieux (respectivement les AdWords et les promotions).Le ROI est un indicateur chiffré qui se nourrit et produit des données numériques.

Ceci étant dit, intéressons-nous maintenant aux effets pervers du ROI : Je vous laisse méditer là-dessus… 10 conseils pour optimiser sa transfo. 63% des professionnels IT à l'écart des médias sociaux - Journal du Net Solutions. Médias et réseaux sociaux sont encore loin d'attirer en masse les professionnels de l'informatique. Seulement 12% d'entre eux y ont recours plus de 4 heures par semaine. La dernière étude consacrée à la perception des médias sociaux (Facebook, LinkdIn, Twitter...) par les professionnels informatiques européen de NetMediaEurope fait ressortir que 63% d'entre eux n'utilisent pas ou n'accordent aucune importance à l'utilisation des médias sociaux. Alors qu'ils sont 12% à déclarer les utiliser plus de 4 heures par semaine, 21% y recourent entre 1 et 4 heures par semaine. Par ailleurs, ils sont 51% à considérer les médias sociaux comme un outil de réseautage contre 47% à le penser avant tout comme un outil utile d'information et 46% comme un outil de marketing. 12% des professionnels IT estiment que les médias sociaux sont utiles pour l'achat de produits.

Votre trafic est inutile ! Derrière ce titre un peu provocateur, se cache une vérité que je rencontre souvent dans mon métier de consulting aux entreprises. Une véritable obsession pour le trafic, et tous les moyens d’en obtenir (référencement, Adwords, réseaux sociaux…). Derrière ce titre un peu provocateur, se cache une vérité que je rencontre souvent dans mon métier de consultant marketing aux entreprises.Une véritable obsession pour le trafic, et tous les moyens d’en obtenir (référencement, Adwords, réseaux sociaux…).

Beaucoup d’entrepreneurs se battent pour avoir plus de trafic. Une fois que ce trafic arrive sur leur site ou leur boutique, ils ne s’en préoccupent plus. Que le visiteur devienne client ou prospect dans 1 ou 20 % des cas, on ne sait pas et on s’en moque, belle erreur ! Posons-nous une question simple : Est-il plus simple de passer de 100 à 500 visiteurs uniques ou d’augmenter son taux de conversion de 1 à 5% ? Comment faire pour que votre trafic ne soit plus inutile ? 3/ Rassurez vos prospects. Conseils du Lundi (55) : Comment capter l'attention. Tirer partie des témoignages positifs sur les médias sociaux. Et si l'on parlait Marketing. Paru aux Ed. Kawa, ce livre de Valérie Jeanne-Perrier arrive juste au moment de la "fashion Week" et explique comment Internet a aussi changé la mode : Quand Facebook, Twitter, Instagram, Snapchat, Pinterest, YouTube, Vine, Periscope, Tumbl’r & Cie s’affichent sur le devant des podiums.

Les appropriations des réseaux sociaux et de l’internet amènent à des mutations des pratiques de l’information et de la communication dans tous les milieux : politique, éducation, marketing, information... Voici le mot du Directeur que j'ai écrit à cette occasion : L’univers de la mode est vu traditionnellement comme un univers sophistiqué, élitiste, secret, raffiné. Un univers où le savoir-faire est jalousement gardé depuis des générations, un univers dans lequel seuls quelques privilégiés ont un droit d’accès. Cette image est devenue surannée, presque par hasard. Ces outils sont entrés subrepticement dans les coulisses de la mode, aux mains des acteurs de la mode. Technologies, blog informatique - L'importance de son e-réputation. Qu'est ce que l'e-réputation ? Être présent sur internet, rien de plus facile. On a vite fait le tour de la planète virtuellement, volontairement ou non, qu’on soit très célèbre ou pas.

Il est donc important de surveiller attentivement ce qui se dit pour ne pas laisser véhiculer une mauvaise image et se préparer à contre-attaquer. Mais accorder de l’importance à son e-réputation ne signifie pas traquer essentiellement ses détracteurs, il faut s’intéresser de même aux critiques positives afin de les encourager. L’intérêt est aussi de dresser un constat complet de son activité ou desa communication, utile à toute analyse de retour d’expérience. Exemple : Groupon Prenons comme exemple extrême le site Groupon, plateforme d’achats groupés.

Utile en marketing... La veille permet aussi d’évaluer une bonne e-réputation et d’en relever les aspects positifs. "Un jour chaque société aura son responsable Facebook" Arrivé chez Facebook il y a quelques semaines en provenance de Microsoft, Julien Cordorniou est en charge des partenariats. Il précise son rôle et explique ses objectifs.

JDN. Vous avez rejoint Facebook il y a quelques semaines en provenance de Microsoft. S'agit-il d'un choc culturel ? Julien Codorniou. Non, les cultures d'entreprises ne sont finalement pas si éloignées. Facebook et Microsoft sont deux sociétés qui ont l'ambition de développer des plateformes. Pourquoi avoir quitté Microsoft ? Cela faisait six ans que j'étais chez Microsoft, d'abord en France puis aux Etats-Unis, avant de revenir en France pour m'occuper des partenariats dans la division Plateforme et écosystème. Quel est votre rôle au sein du réseau social ? Je ne viens pas pour diriger la filiale française. En quoi consiste ce poste de directeur des partenariats ? Il s'agit d'aider d'un côté les grandes entreprises à embrasser le phénomène social, et de l'autre d'aider les petites start-up déjà "sociales" à grossir.

Conseils du Lundi (54) : Halte au perfectionnisme malsain. Les Sentiers de la Conversation. 15inShareinShare15 Une conversation n’est pas un média. J’ai le sentiment que l’on confond souvent plusieurs constituants des nouveaux médias qui n’ont rien à voir. Le web est rempli de conversations qui ne concernent pas les marques, dans lesquelles elles n’ont rien à faire. Ce n’est pas parce que des médias qui exploitent des conversations ont réussi la prouesse de se rendre assez addictifs que les marques doivent les exploiter selon un nouveau mode, avec une nouvelle attitude. Il me semble tout à fait adapté d’utiliser facebook ou d’autres médias sociaux avec un modèle publicitaire simple : Message-Bénéfice-Conversion. La conversation est-elle un bon business ?

Ne pas confondre Conversation et Conversion Il y a quelques semaines j’assistais à une réunion de préparation de lancement d’un nouveau produit d’un groupe international. La marque concernée dispose d’une page facebook administrée par l’agence digitale du groupe et pilotée par le service marketing de la marque. 234 commentaires. Pourquoi Malabar a raison de ne pas s'intéresser aux avis sur Facebook. Les Français rejettent en bloc la pub ciblée ou géolocalisée. Le cas Air France | Consulting et réseaux sociaux - Conseil en Community Management.

Il me tardait de revenir sur cet évènement du Week-End après les catastrophes qui se sont déroulées au Japon. Pour résumer rapidement la situation, après le tremblement de terre, la France a vivement recommandé à tous ses ressortissants étrangers de revenir le plus rapidement possible, de craintes de nouveaux séismes. Naturellement, les français se sont mis à rechercher un billet d’avion pour rentrer. Stupeur ! Le billet est de l’ordre de 14 000 euros ! Les premières réactions des internautes ne se sont pas fait attendre… Des milliers messages comme ceux montrés ci-dessus ont envahi Twitter en quelques heures, le dimanche 13 Mars 2011.

Lundi matin, Air France annonce la réduction de ses tarifs à des niveaux beaucoup plus abordables pour les citoyens français. On peut alors se poser les questions suivantes : Quels impacts ont eu les milliers de messages Twittés à l’encontre d’Air France ? Est-ce à cause de cela que la firme ait dû revoir sa stratégie commerciale ? Quels Médias Sociaux Pour Quels Objectifs Marketing ? – Infographie. La Community Manager d’Air France décrypte le bad buzz du week-end dernier. Des milliers de tweets et de très nombreux posts sur des blogs se sont répandus dimanche, créant ce qu’il faut appeler par son nom: un bad buzz pour Air France. A l’origine de l’emballement, des français à Tokyo cherchent le week-end dernier un billet d’avion pour rentrer en urgence en France et tombent sur des tarifs exorbitants sur la ligne Air France. Ils essaient alors de sensibiliser la compagnie ou de transmettre leur colère via Twitter.

Sans réponse via le site de micro-blogging, la situation dégénère. La compagnie est accusée d’avoir augmenté ses tarifs pour profiter de la situation et le community management d’Air France d’être au tennis en pleine crise au lieu de répondre à ses clients. Décryptage vu du côté d’Air France avec Marina Tymen. . « Le samedi, dimanche et le soir nous surveillons nos médias sociaux. J’ai certainement commis l’erreur de ne pas avoir tweeté pour dire que les messages avaient bien été lus ou pris en considération. E-réputation, respect et transparence : un cas d’école. Le titre aurait tout aussi pu s’écrire : Comment dégrader la réputation en se faisant passer pour quelqu’un d’autre. Les éléments de l’histoire Le lieu : The Web World, le blog des extraternets Le sujet : le dictionnaire Hachette version 2011 Les acteurs concernés : - Virginie Guinand, éditrice du blog The Web Blog - Un usurpateur d’identité, - Emilie, Community Manager chez Hachette L’histoire Virginie rédige un billet sur son blog pour parler de la sortie du dictionnaire illustré 2011 édité par Hachette.

Dans son billet, elle fait « Juste une petite parenthèse qui pourrait vous faire sourire, [elle a] trouvé le mot “Drunch” qui en fait est “Brunch” dans notre jargon, [elle] espère que les gens d’Hachette corrigeront cela… » Bien vu me dis-je, c’est vrai que « Drunch », je ne connais pas comme mot. Pourtant, le terme existe depuis 2008. Une rapide recherche sur Google m’amène à un article sur Cityvox : « Le drunch est le petit frère du brunch. En fin d’article, je vois 4 commentaires. Du social analytics au social CRM. Cette semaine a été riche en nouveautés concernant les outils de mesure et de gestion des communautés. À commencer par Facebook qui a annoncé la disponibilité d’outils de tracking pour ses social widgets : Real-Time Analytics For Social Plugins. Le côté “temps réel” est certainement un gadget, mais les données précises d’activité sont indispensables pour mesurer efficacement ce que font les internautes avec ces widgets.

Des statistiques sur le nouveau système de commentaires sont également disponibles dans la nouvelle interface Insights. Une très bonne chose, non pas pour flatter l’égo de ceux qui éditent la page, mais pour fournir des données quantitatives et statistiques sur la présence de votre page (sur Facebook ou de façon déportée avec les widgets). Hootsuite vient également de lancer un nouvel outil de reporting : HootSuite Reinvents Social Analytics – Custom Reports to Measure Success. L’idée est de fournir une interface simple pour pouvoir créer des rapports d’activité.