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Pédagogie

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La classe inversée : la classe dans le bon sens… Depuis quelques années, les enquêtes sur l’école sont de plus en plus inquiétantes tout particulièrement sur le cycle du collège. Les professeurs constatent de plus en plus d’élèves démotivés, manquants d’implication et une certaine passivité en classe. C’est face à ce problème qu’une méthode venue des Etats-Unis se développe : la classe inversée. Celle-ci est née aux Etats-Unis avec les expériences d’Eric Mazur, Professeur à Harvard et de Salman Kahn. Pratiquée aussi au Canada, peu d’enseignants se sont lancés en France. La classe inversée comprend trois phases. L’élève est mis tout au long du parcours d’apprentissage en situation d’autonomie c’est à dire en situation de faire des choix pour lui-même ou son groupe : ainsi, il choisit le type d'activité ou bien le niveau d’autonomie de l’activité qu’il veut réaliser.

Le cœur de tout cela est le plan de travail sur le site internet du professeur qui établit le travail personnel à faire et les activités en classe. Sciences Po. Concevoir des simulations en formation - 1ère partie : éléments généraux. La scénarisation pédagogique ne cesse de s’enrichir d’approches diversifiées et novatrices. Ces innovations sont rendues possibles grâce au formidable essor des solutions et des applications informatiques et numériques qui élargissent l’éventail des démarches pédagogiques autant qu’elles les complexifient.

Images, sons, vidéos, animations, liens réseaux sociaux, … offrent d’infinies possibilités pédagogiques lors du travail de scénarisation. Ces ressources sont autant de facilitateurs d’apprentissage car elles offrent une interface favorisant l’attention et la mobilisation des apprenants. Mais il ne s’agit pas de saupoudrer à l’envie une formation à distance de ces médias pour que l’engagement des apprenants soit assuré.

En effet, il ne peut être efficient que si le choix des ressources est cohérent et s’inscrit de façon logique dans le scénario pédagogique. La simulation place l’apprenant en situation quasi-réelle La simulation propose une palette d’actions d’une formidable richesse. Apprendre à retenir, à mieux mémoriser. Repères pour aider les élèves à retenir A. Pour bien retenir une leçon, s’assurer de ce qu’on comprend. 1. Repérer pour quoi on apprend : Pour exprimer des informations sur des notions : leur définition, leur réseau de signification, des exemples, des notations, … Pour exprimer des informations sur les situations et évènements : faits, contexte, chronologie, causes et conséquences.

B. A. D. A. E. A. F. A. G. A. H. Eléments caractérisant la sphère. Remarque : Il existe divers logiciels chacun performant pour réaliser des cartes mentales avec les élèves. Quelle place pour le groupe dans le triangle pédagogique. Faerber a présenté un tétraèdre pédagogique en ajoutant un nouveau pôle au triangle didactique : le groupe.

Ce modèle très riche a nourri ma réflexion. Je propose ici quelques ajustements et une lecture de ses différentes faces. Je cherchais à confronter la vision pédagogique présentée dans ce blog au triangle pédagogique de Houssaye et je suis tombé sur un article pertinent de Richard FAERBER présentant l’outil ACOLAD – Apprentissage COLlaboratif A Distance (on n’est pas très loin des PROjets péDAgogiques GEOdistribués qui ont initiés ce blog…) Faerber y présente un tétraèdre pédagogique représenté ci-dessous intégrant un nouveau sommet : le groupe ! Tétraèdre pédagogique de Faerber Cette figure me porte à réfléchir (et ça, c’est bien !). 1 – Certains aspects me semblent très riches Le groupe est un facteur important de l’apprentissage. 2 – D’autres aspects me satisfont moins L’implication de l’apprenant dans le groupe doit être plus forte qu’une simple participation.

J'aime : IFSI 2013 - Les processus traumatiques : 01 - La traumatologie des membres - Centre d'Enseignement Multimédia Universitaire (C.E.M.U.) Université de Caen Basse-Normandie. Veille documentaire | S'informer et s'auto-former (info-doc-bib, éducat°, apprentissage-format° & numérique, recherche, culture & numérique, environnement) Distinguer collaboration et participation. On dit du web2.0 [1] que c'est le web participatif, car les internautes n'y sont pas simples consommateurs passifs de sites et services mais, par leurs contributions, alimentent ces derniers.

YouTube ne serait rien sans les millions de vidéos déposées par les utilisateurs. Le modèle est simple et ingénieux : le site offre un service (pouvoir visionner en ligne des documents, les publier) qui attire des utilisateurs, et les publications de ces derniers en attirent d'autres. Est-ce à dire que l'on fait du « collaboratif » lorsqu'on dépose une vidéo en ligne ? En déposant des contenus sur les sites qui le permettent, on participe à la constitution de leur offre.

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