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Culture libre et ESS

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Démocratie participative et production pair-à-pair : que peuvent les nouvelles technologies ? | Innovations sociales : le blog de l'ANSA. Et si les modèles de l’économie numérique préfiguraient l’avenir de nos sociétés ? C’est, en substance, le message délivré à travers les quelques pages d’un rapport publié sous le titre « Towards Peer production in Public Services : cases from Finland ».

Détours au pays des fjords donc pour en apprendre davantage sur ces nouvelles façons de gouverner, inspirées par les modèles de la co-production et du pair-à-pair. Popularisé par les utilisateurs de l’Internet, ce type de production suppose la réunion d’individus en communauté afin d’atteindre un objectif commun (par exemple, la production de biens et de services), sans le concours des experts et autres professionnels.

Un changement de paradigme au fondement de la redéfinition du rôle de « citoyen », désormais appelé à être « responsable », « proactif » et « acteur » plus que simple usager. La bibliothèque en ligne Wikipedia est directement alimentée par les contributions des internautes. Le symbole même d'une production pair-à-pair. Le Tissu et la Toile : ce qui se trame pour la démocratie - Démocratie en réseaux. Un article de Démocratie en réseaux. On dépeint parfois le web et la vie associative comme deux mondes étrangers l'un à l'autre. Le monde associatif serait-il bousculé par les nouveaux outils et les nouvelles formes d'expression et d'action que le web permet à chacun ?

Tout est-il pour le mieux si l’on dit que dans un monde devenu franchement individualiste, l'internet permettrait au moins aux individus de reconstruire du collectif quand ils le souhaitent ? Aujourd’hui, force est de reconnaître qu’il y a une faible proportion de sites associatifs parmi les sites web de référence, thématiques ou territoriaux, certains responsables associatifs s’interrogent d’ailleurs eux-mêmes sur ces phénomènes… Le web associatif n'est pas observé. En bref, il se passe quelque chose entre les associations et l'internet, en ce moment ! "Open innovation": Le brainstorming mondial au service du bien commun.

Pourquoi se limiter aux cerveaux de son entreprise pour innover, quand on peut en faire participer des milliers d’autres ? C’est le principe de l’open innovation, conceptualisée en 2003 par Henry Chesbrough, chercheur à Berkeley : “l’innovation ouverte est un paradigme qui considère que les entreprises peuvent et doivent aussi bien utiliser des idées internes qu’externes”. Depuis quelques années, des entreprises travaillent donc en collaboration avec des centres de recherche, des associations, des collectivités, de simples citoyens et même parfois leurs concurrentes pour inventer autrement.

Les nouvelles technologies facilitent grandement ce processus, en mettant à disposition des outils pour échanger efficacement. Des plateformes collaboratives permettent notamment de partager du savoir, de l’améliorer et de l’enrichir en temps réel… et ce, à une échelle quasiment infinie. Placer le grand public au coeur de la réflexion se révèle gagnant pour les entreprises. Il faut enseigner le logiciel libre en France. Selon Patrice Bertrand, Roberto Di Cosmo et Stéfane Fermigier, il est urgent que le système éducatif apprenne aux futurs ingénieurs à manipuler cette nouvelle matière première de l'informatique.

LE MONDE SCIENCE ET TECHNO | • Mis à jour le | Par Patrice Bertrand, Roberto Di Cosmo et Stéfane Fermigier Presque tous les aspects de notre vie dépendent directement ou indirectement d'une multitude de logiciels, et une grande partie de ces logiciels sont aujourd'hui des logiciels libres. Alors que, par une circulaire du premier ministre Jean-Marc Ayrault, le gouvernement vient d'affirmer l'importance du logiciel libre dans les systèmes d'information de l'Etat et affiche une politique volontariste pour en accompagner l'utilisation, nous croyons indispensable d'intégrer l'étude des logiciels libres dans la formation des futurs ingénieurs.

Le centre de gravité de l'informatique s'est déplacé au cours des dix dernières années. Code source de nos innovations sociales - Réunions à Brest. Un projet anim-fr Ce projet de recettes libres, "code source" de nos innovations sociales s'inscrit dans la dynamique anim-fr du réseau francophone des animateur-ice-s de projet collaboratifs. "Pour inventer l'avenir et de nouvelles façons de vivre ensemble, pour mettre en oeuvre les valeurs de coopération, de bien commun et de durabilité, nous proposons des pratiques collaboratives de groupes qui : relient de façon constructive leurs efforts développent les pouvoirs d'agir partagent publiquement leurs productions" à propos Nous proposons de décrire en recettes libres nos innovations sociale ouverte inspiré des 4 libertés du logiciel libre.

Les recettes libres, "code source" de nos innovations sociales sont une mise en oeuvre de l'envie de partager, mutualiser, diffuser et améliorer le "comment faire" de nos initiatives. A l'image de recettes, nous essayons de décrire le comment-faire, les ingrédients, les ustensiles (outils) et ce que cela produit. Recette de projet libre 2 Comment faire ? Quelle gouvernance pour le territoire créatif ? Les deux articles publiés par ZM en juin dernier autour de la notion de territoire créatif ( reposent sur l’hypothèse que nous assistons à une modification structurelle du rôle du territoire dans le développement socioéconomique et donc à l’émergence d’une nouvelle forme de territoire. Ce saut qualitatif nous amène logiquement à nous interroger sur la nature et la forme de la gouvernance adaptée à cette nouvelle donne. Les paradoxes de la nouvelle gouvernance Les pratiques de gouvernance en cours d’émergence peuvent paraître paradoxales.

En premier lieu, on constate que la gouvernance réelle est le fait de groupes plus ou moins informels associant des élus, des techniciens du développement économiques, des chefs d’entreprises, des universitaires, etc. (1). Quelle légitimité et quelles méthodes ? Notes zp8497586rq Send an Email. Du logiciel libre aux théories de l’intelligence collective. 1Depuis une quinzaine d’années, le mouvement du logiciel libre a connu un développement fulgurant, mettant fortement en question la prééminence des logiciels propriétaires développés par les grandes entreprises du secteur informatique. Dans le même temps, certains intellectuels ont érigé ces bouleversements en symboles de transformations sociales plus générales, attendues ou espérées. En témoignent les occurrences nombreuses des références à la « démocratie open source », à « l’économie open source », voire à la « société open source ».

Cette tendance à faire du mouvement du logiciel libre un des laboratoires où se préparerait la société du futur semble devoir nous interpeller à plus d’un titre. Elle incite d’une part à s’interroger sur le bien-fondé d’une démarche intellectuelle prenant appui sur une pratique spécifique, pour fonder un discours théorique à valeur générale et/ou prospective. 1.1. Une brève histoire du libre 4La situation évolue au début des années 1980. 1.2. 2.1. Le manifeste de SavoirsCom1. L’approche par les communs s’inscrit dans la continuité de l’appel pour la constitution d’un réseau francophone autour des Biens Communs : Par Biens Communs, nous entendons plusieurs choses : il s’agit d’abord de ressources que nous voulons partager et promouvoir, que celles-ci soient naturelles – une forêt, une rivière, la biosphère -, matérielles – une machine-outil, une imprimante – ou immatérielles – une connaissance, un logiciel, l’ADN d’une plante ou d’un animal –.

Il s’agit aussi des formes de gouvernance associées à ces ressources, qui vont permettre leur partage, le cas échéant leur circulation, leur valorisation sans destruction, leur protection contre ceux qui pourraient atteindre à leur intégrité. Les Biens Communs sont donc à la fois une approche alternative de la gestion de biens et de services, qui bouscule le modèle économique dominant basé sur la propriété, et un imaginaire politique renouvelé.

Les communs de la connaissance représentent un nouveau paradigme. 1. 2. 3. Fabrique de biens communs. Logiciels libres : l'informatique au service du développement durable et social. Quel lien entre les logiciels d'ordinateur libres et le développement durable, ou encore l'économie sociale et solidaire ? De prime abord, associer ces termes semble étonnant. Pourtant, détrompez-vous ! Chtinux a vu le jour il y a dix ans à l'université Lille 1. L'association rassemble aujourd'hui plus d'une cinquantaine de membres. Une fois par mois, elle tient une permanence au café citoyen de Lille (Nord). Et organise des "Install party". Chacun peut venir faire installer ces fameux logiciels informatiques sur sa machine, demander conseil, voire simplement discuter.

Alors, qu'est-ce qu'un logiciel libre ? Chtinux est membre de la MRES, la Maison Régionale de l'Environnement et de la Solidarité dans le Nord-Pas-de-Calais. Enfin, si vous voulez découvrir le petit guide réalisé par la MRES, cliquez ici. Economie Sociale – Logiciels Libres, le temps de l’alliance. ****** La première version de ce texte ayant suscité de nombreuses réactions, en voici une seconde version. ****** Deux mondes co-existent qui dressent des remparts contre la tentation hégémonique du capitalisme : l’un est ancien et puise ses racines dans le XIXe siècle industriel – le monde de l’économie sociale (coopératives, mutuelles, associations…) ; l’autre est plus jeune et tisse ses réseaux dans le XXIe siècle informatique – le monde du logiciel libre. Si les communautés du libre et les entreprises d’économie sociale se connaissent et se côtoient depuis plus d’une décennie, elles ne voient pas souvent combien leurs luttes sont proches.

Le temps est venu de dire la proximité de ces luttes et l’urgence de leur alliance. Raisons de l’alliance Depuis une vingtaine d’années des communautés d’informaticiens, puis des entreprises informatiques, ont développé ce qu’on appelle des « logiciels libres ». Urgence de l’alliance Une alliance est nécessairement un mouvement à au moins deux sens. Produire des biens communs immatériels | TALA | Services logiciels pour la gouvernance des entreprises, associations, mutuelles, coopératives, fondations. Bastien Sibille Nous appelons les organisations d'économie sociale à s'emparer de la question de la production de biens communs immatériels.

La note qui suit est une synthèse des enjeux qui la traversent. Le propos est orienté vers la discussion et l'action à travers la formulation de propositions concrètes. Nous invitons toutes les personnes intéressées à entrer en contact avec nous via cette interface, ou à commenter le texte grâce au forum qui lui est lié. Rôle des structures d'économie sociale dans la production de biens communs immatériels Ce que sont les biens communs immatériels Quel est le point commun entre le navigateur Firefox, l'encyclopédie Wikipedia et l'iniative Traditional Knowledge Commons ?

Firefox, Wikipedia et Traditional Knowledge Commons sont trois biens communs immatériels : ils sont faits d'informations et appartiennent à la communauté de leurs usagers et de leur producteurs. Quelques exemples de biens communs immatériels Liens avec les structures d'économie sociale. Economie sociale et solidaire : « Biens collectifs, auto-organisation et gouvernance » | Carnet de Transition(s)

Le jeudi 23 juin à Paris, à partir de 14h30, acteurs et chercheurs, défenseurs d’une autre économie se retrouvent autour du prix Nobel d’Economie 2009 Elinor Ostrom. L’essentiel des travaux de cette scientifique porte sur la notion de « biens communs » (Common Pool Resources), formulant scientifiquement la notion de gouvernance collective des ressources naturelles, au Nord comme au Sud, face aux grands enjeux que sont le changement global, le développement durable et l’économie de la connaissance. Il s’agira de mutualiser les savoirs et les réflexions et de faire émerger de nouvelles pratiques en management et ressources humaines en redonnant à l’Humain sa véritable place au cœur des organisations. « Working together » est en effet un des leimotiv d’Elinor Ostrom Tous les détails dans ce document : Did you enjoy this post?

Logiciel Libre et Entrepreneuriat Social. "La coopération porte en elle les gènes d’une réelle alternative" Les associations entre mutations et crise économique - Etat des difficultés. Les associations ont principalement pointé les difficultés tenant à la raréfaction de leurs ressources, soulignant l’impact de la baisse des subventions publiques et la généralisation des appels d’offres. Cette rareté des ressources complique la maîtrise de la gestion, rendant les problèmes de trésorerie plus importants et plus récurrents. Ce constat ne m’a pas surpris. En ma qualité de professionnel du chiffre, fortement impliqué sur ce secteur d’activité, je retrouve effectivement l’ensemble de ces difficultés sur le terrain. Les problèmes de trésorerie ou de fonds de roulement évoqués se recoupent avec une augmentation des états de cessation de paiement et des procédures d’alerte mises en œuvre ces derniers mois.

Faut-il rappeler que la montée de la judiciarisation des affaires conduit le secteur associatif à rejeter tout amateurisme et maintenir un professionnalisme total dans tous les domaines ! Et les premières pistes d’action pour faire face à ces difficultés ne manquent pas :