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Ce n'est pas la bombe atomique qui a poussé le Japon à capituler. Temps de lecture: 26 min L'utilisation de l’arme nucléaire par les Etats-Unis contre le Japon à la fin de la Seconde Guerre mondiale fait depuis toujours l’objet d’un débat vif en émotions.

Ce n'est pas la bombe atomique qui a poussé le Japon à capituler

Au départ, rares étaient ceux qui remettaient en cause la décision prise par le président Truman de larguer deux bombes atomiques sur Hiroshima et Nagasaki. Mais dès 1965, l’historien Gal Alperowitz affirmait que si les deux bombes avaient certes provoqué la fin immédiate de la Seconde Guerre mondiale, les dirigeants japonais avaient l’intention de capituler et l’auraient probablement fait avant la date de l’invasion prévue par les Etats-Unis, le 1er novembre 1945. Larguer deux bombes atomiques n’était donc pas nécessaire pour gagner la guerre. Depuis 48 ans, d’autres historiens sont entrés dans l’arène: certains rejoignant Alperowitz et dénonçant les bombardements et d’autres affirmant avec véhémence que les bombardements étaient moraux, nécessaires et qu’ils ont contribué à sauver des vies humaines.

J'avais six ans à hiroshima. Keiji Nakazawa. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Keiji Nakazawa

Keiji Nakazawa (中沢 啓治, Nakazawa Keiji? , né le à Hiroshima et mort le dans la même ville) est un auteur de bande dessinée japonais. Il est principalement connu pour Gen d'Hiroshima, œuvre publiée de 1973 à 1985 évoquant le bombardement d'Hiroshima de 1945 et ses conséquences sur le long terme. Liste de livres ayant pour thèmes " Japon Seconde Guerre Mondiale " Mort de l'auteur du manga "Gen d'Hiroshima" Dans "Gen d'Hiroshima", le dessinateur japonais Keiji Nakazawa raconte comment il a vécu la guerre, la bombe et leurs conséquences.

Mort de l'auteur du manga "Gen d'Hiroshima"

Le dessinateur japonais Keiji Nakazawa, auteur du manga autobiographique sur la guerre et la bombe atomique Gen d'Hiroshima, est mort le 19 décembre d'un cancer à l'âge de 73 ans, ont annoncé mardi 25 décembre les médias nippons. Né à Hiroshima, Nakazawa avait 6 ans en août 1945 lorsque les Américains ont largué la première bombe atomique sur cette ville de l'ouest du Japon, faisant quelque 140 000 morts, dont son père, son frère et ses sœurs. Keiji Nakazawa fut irradié, tout comme sa mère, qui mourut une vingtaine d'années plus tard. S'initier à la littérature japonaise en 3 romans.

Publié initialement le 21 juillet 2014 Soyons honnêtes : il est très difficile de ne pas tomber amoureu-x-se de la littérature japonaise une fois que l’on s’y est mis-e. Elle possède plusieurs avantages : premièrement, le dépaysement est certain. La plupart des auteurs japonais basent en effet leur histoire au Japon (logique), et le font avec un souci d’authenticité qui permet de s’immerger totalement. Les traductions sont généralement bonnes, même si bien sûr elles ne retransmettent pas toute les nuances de la langue japonaise, riche en concepts difficilement traduisibles… Ensuite, les personnages envoient du lourd et l’action est au rendez-vous : les romans japonais ont un don pour vous faire partir à l’aventure et savent donner de la consistance à leurs personnages les plus communs, en tirant parti du quotidien pour en dévoiler les saveurs cachées.

La sélection des éditeurs français nous permet de n’avoir que la crème de la crème. Seventeen d’Ôé Kenzaburô. Histoire du manga. Le Manga et les Éditions Glénat, c'est une idylle qui commence dès 1988.

Histoire du manga

À cette époque, Jacques Glénat, lors d'un voyage au Japon, a le coup de foudre pour une BD en cinq lettres qui résonneront bientôt dans tout l'hexagone : AKIRA, devient, en 1990, le premier manga publié en France. Suit trois ans plus tard la sortie de Dragon Ball, le manga le plus vendu au monde : il s'en écoule plus de 17 millions d'exemplaires rien qu'en France. Ces manga seront les premiers d'une longue série de titres toujours plus audacieux. Aujourd'hui, avec plus de 120 titres à son catalogue, Glénat est un éditeur de manga incontournable en France avec 25% de parts de marché. Envolez-vous avec Astro Boy, le petit robot emblématique qui a marqué l’univers des mangas. Restez curieux.

Envolez-vous avec Astro Boy, le petit robot emblématique qui a marqué l’univers des mangas

Suivez nous ! Si on ne devait retenir qu’une seule figure emblématique du manga, ce serait sans doute Astro Boy, le personnage créé par le « Dieu du Manga » Osamu Tezuka. Apparu en 1951 en manga et en 1963 sur les écrans, le petit robot n’a jamais perdu en popularité, et cela fait maintenant plus de 60 ans qu’il constitue toujours l’un des membres fondateurs de la culture pop japonaise contemporaine.

3 - L’après seconde guerre mondiale : la naissance du manga moderne - Histoire du manga et de l'animation japonaise. 1853 est une date importante pour le Japon.

3 - L’après seconde guerre mondiale : la naissance du manga moderne - Histoire du manga et de l'animation japonaise

Au delà de sa défaite psychologique face aux occidentaux, elle marque la première défaite du Japon face aux technologies avec l’arrivée des "bateaux noirs" du commodore Perry. La restauration de Meiji succède à la période d’Edo et les japonais accèdent aux connaissances scientifiques et à la culture occidentale. Les premiers quotidiens font leur apparition, tout d’abord en anglais (Nagasaki Shipping list and advisor) puis en japonais (Kanpan Batavia Shinbun) avec de grands quotidiens comme le Yokohama Mainichi Shinbun en 1871.

L’ensemble des articles retraçant l’histoire du manga cite deux noms d’importance à cette époque : celui du français Georges Bigot (1860-1927), et de l’anglais Charles Wirgman (1832-1891), proposant the Japan punch pour Wirgman et, Toba-e pour Bigot. Ces deux auteurs proposent des caricatures relatives à la société ou à la politique japonaise. 1901 est une autre date essentielle.