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The wire

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The Wire - Season Four Trailer.

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Sur écoute (2002) - Série - la série

The Wire sur écoute. Dossier : La ville des séries télé La série The Wire, produite par HBO au début des années 2000, vous est apparue complexe, parfois obscure, mystérieuse et sibylline ?

The Wire sur écoute

Ce livre collectif, sous la direction d’Emmanuel Burdeau et de Nicolas Vieillescazes, vous fera le même effet. Tant mieux. « The Wire » : le fil d’Ariane sociologique de la complexité urbaine américaine. 1 Manuel Gárate, « Battlestar Galactica (2004) », Nuevo Mundo Mundos Nuevos, Imágenes en movimiento, (...) 2 Que l’on peut définir comme une production télévisuelle découpée en épisodes, eux-mêmes regroupés (...) 1En avril 2008, Manuel Gárate justifiait, dans ces mêmes pages1, son analyse de la série télévisée « Battlestar Galactica » par le caractère culturel de cette forme de production médiatique.

« The Wire » : le fil d’Ariane sociologique de la complexité urbaine américaine

Autrement dit, le genre « série »2 représente selon lui une manifestation historiquement représentative du contexte socioculturel d’une société donnée. En ce sens, la « série télévisée » est singularisée par son caractère médiatique (du fait de l’utilisation du support « image » et de sa diffusion télévisuelle), par sa durée (plusieurs saisons, en général) et par sa construction séquencée et suivie (le format de l’épisode, dont la production et la diffusion « en série » ont donné son nom même à cette forme spécifique).

The Wire: une série TV comme terrain d’étude. 1La série The Wire, diffusée entre 2002 et 2008 sur HBO, laisse rarement indifférent.

The Wire: une série TV comme terrain d’étude

Les adeptes deviennent rapidement fanatiques, alors que les autres, désarçonnés par la complexité et le rythme particulier de cette production à part dans le paysage audiovisuel nord-américain, abandonnent rapidement. Disons le franchement : pour celui ou celle qui se laisse séduire, The Wire est proprement exceptionnel. Sérierama #12 : La “question raciale” dans les séries américaines - Sérierama, le blog séries TV de Pierre Langlais. Invités cette semaine du podcast 100 % séries de “Télérama”, Sébastien Lefait, co-auteur de “La Question raciale dans les séries américaines”, essai publié aux Presses de Sciences-Po.

Sérierama #12 : La “question raciale” dans les séries américaines - Sérierama, le blog séries TV de Pierre Langlais

“The Wire”, la série qui a conquis les banlieues. Et si la meilleure peinture des banlieues françaises était une série américaine ?

“The Wire”, la série qui a conquis les banlieues

Peu connue du grand public mais louée par les critiques, “The Wire” est devenue la référence culturelle d'une jeunesse en quête d'identification. Dans certaines cités de la banlieue parisienne, des canapés trônent au milieu des parkings et des immeubles. Exposés au vent et au soleil. « Les jeunes les ont mis là pour imiter les dealers de The Wire », explique Rachid Santaki, auteur originaire de Seine-Saint-Denis. Dans son quartier de Haute­pierre, à Strasbourg, le boxeur Ludovic Groguhé a lui aussi vu des jeunes sortir des bancs de musculation sur le trottoir. “The Wire” vu par deux philosophes : extraits commentés. La série “The Wire” a bâti son succès sur son extrême réalisme sociologique.

“The Wire” vu par deux philosophes : extraits commentés

La série “The Wire” plus forte que les sociologues ? La série américaine “The Wire” capte mieux la réalité que bien des études sociologiques.

La série “The Wire” plus forte que les sociologues ?

Peut-on s'en servir pour remédier à nos propres dysfonctionnements sociaux ? Le point de vue de deux philosophes. Plus de trois ans après son arrêt sur la chaîne HBO, la série américaine The Wire (Sur écoute en VF) est toujours considérée comme la plus ambitieuse fiction télé jamais réalisée. En soixante épisodes, ses enquêtes captivantes dans les quartiers de Baltimore ravagés par la drogue ont dévoilé la réalité urbaine de l'Amérique de Bush et ses terribles désillusions, à la manière d'une minutieuse étude sociologique.

Quoi de plus normal, donc, qu'un petit groupe de philosophes, d'historiens et de critiques aient eu envie de porter leur regard d'amateurs éclairés sur cette fresque balzacienne ? En quoi une série télé peut-elle devenir un objet philosophique ? Ces épisodes étudient en particulier la gestion policière du trafic de drogue. Quelles sont les leçons d'une telle expérience ? “The Wire” : deux scènes décryptées par David Simon, créateur de la série. Rencontre avec le showrunner David Simon, qui commente deux scènes de sa série “The Wire” (“Sur écoute”).

“The Wire” : deux scènes décryptées par David Simon, créateur de la série

Auteur hors pair, David Simon, créateur de The Wire (Sur écoute) et Treme, est aussi un showrunner amené à se prononcer sur les choix de réalisation de ses séries. Il nous en explique les principes, puis illustre son propos en commentant deux scènes de son œuvre majeure. « Je n’ai jamais pris de cours de réalisation, je ne sais pas faire la différence entre un objectif et l’autre, et je n’ai aucune idée de là où il faut placer les lumières.

Je me fie essentiellement à ce que je vois à l’image. Si la scène doit se dérouler de nuit et qu’il y a trop de lumière, ça ne me va pas. J’essaye toujours de dire au réalisateur ce que je pense être bien, et ce qui ne marche pas pour moi, mais je veux lui laisser un maximum de liberté. Online. Résultats Google Recherche d'images correspondant à. The Wire ou les frontières invisibles de Baltimore. West Baltimore.

The Wire ou les frontières invisibles de Baltimore

Au printemps, à l'angle de McAllister Street et de Guilford Avenue, l'herbe pousse entre les dalles disjointes du trottoir. Du chiendent ronge le pied des maisons de briques rouges, et court dans les allées qui mènent à des arrière-cours faméliques. Des rectangles de verdure maigre et sale, abandonnés et hésitants, côtoient des grillages éventrés, des barils dévorés par la rouille, une carcasse de voiture sans roues, des détritus. Des panneaux de contreplaqué cloués à la hâte cachent des portes ou ornent des fenêtres borgnes.

Les maisons alignées comme des rangées de fantômes font penser aux logements ouvriers du Nord de la France. Avec les premiers rayons du soleil, les petits dealers se mettent à éclore en nombre à l'angle de la rue. Dans ce quartier pauvre, comme dans le reste de la ville, la seule loi qui vaille est celle du marché. Baltimore a vu sa population décliner de manière constante, passant de 733 000 habitants en 1993 à 621 000 en 2010.