Coquelicot ou pavot : fleur, graines, plantation et culture. Le coquelicot, très présent dans les champs et au bord des chemins, est une plante annuelle ou bisannuelle, à la tige simple et velue de 50 à 80 cm, formant une touffe de feuilles basales découpées velues.
Les fleurs, solitaires et éphémères, ont quatre pétales très fins et sont en coupe creuse. Elles se distinguent par leur couleur rouge et le fait qu’elles forment, à l'état sauvage, souvent de grand tapis colorés visibles de loin qui ont beaucoup inspiré les peintres impressionnistes. Le fruit forme une capsule arrondie : son suc laiteux contient des narcotiques, il est donc toxique.
Le coquelicot doit son nom à une métaphore entre sa couleur et celle de la crête du coq désigné par onomatopée en ancien français "coquerico". Famille : Papavéracées Type : annuelle Origine : Asie mineure Couleur : rouge ou rose Semis : oui Bouture : non Plantation : printemps Floraison : avril à septembre Hauteur: 50 à 80 cm Sol et exposition idéale pour planter du coquelicot au jardin.
Précis de Magie Végétale - Aubépine. Crataegus oxyacanthaEpine blanche, Epine de mai, Noble épine, Valériane du coeurRosacées Les aubépines, malgré l’âge avancé qu’elles peuvent atteindre – parfois 500 ans – malgré leurs aiguillons rébarbatifs, et leur bois dur comme le fer, restent pour tous le symbole de la délicatesse et de la plus fraîche beauté.
Et pourtant c’est dans leur bois que l’on taillait autrefois le billot des supplices. Alimentaires pour les hommes de la préhistoire, comme le prouvent les noyaux trouvés dans les vestiges des cités lacustres, les fruits rouges des aubépines sont depuis longtemps employés pour leur effet diurétique et astringent, mais ce n’est que depuis la fin du siècle dernier que les médecins et pharmacologues ont mis en évidence les vertus régulatrices du muscle cardiaque de cette plante.
Le docteur Leclerc, célèbre phytothérapeute, la conseillait également contre les bouffées de chaleur et l’irritabilité due à la ménopause. Parties utilisées. Saponaire officinale. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
La saponaire officinale (Saponaria officinalis) est une plante herbacée vivace de la famille des Caryophyllaceae. On l'appelle aussi savonnaire, savonnière, saponière, herbe à savon, herbe à foulon, savon des fossés ou savon de fosse. Description[modifier | modifier le code] Saponaire à fleurs doubles. C'est une plante glabre à tige robuste cylindrique et dure de 40 à 80 cm, foisonnante voire envahissante grâce au développement de ses rhizomes, facile à cultiver. Ses feuilles ovales opposées, vert tendre, pointues sont sillonnées par 3 nervures longitudinales, les inférieures pétiolées[1]. Le nombre de chromosomes est de n = 8. Caractéristiques[modifier | modifier le code] Données d'après : Julve, Ph., 1998 ff. - Baseflor. Utilisation[modifier | modifier le code] Gentiane acaule. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Gentiana acaulis, la Gentiane acaule, est une plante calcicole souvent confondue (considérée comme synonyme par beaucoup d'auteurs) avec la Gentiane de Koch (Gentiana kochiana), calcifuge. La gentiane acaule est une plante herbacée vivace de la famille des Gentianacées ; il s'agit d'une gentiane alpine bien connue. De grandes fleurs bleu foncé apparaissent de mai à juin. Cette espèce n'est pas facile à entretenir. Elle exige un emplacement ensoleillé et un sol perméable, argilo-tourbeux et calcaire. Portail de la botanique. Romarin. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Le Romarin ou Romarin officinal (Rosmarinus officinalis), est un arbrisseau de la famille des Lamiacées (ou labiées), poussant à l’état sauvage sur le pourtour méditerranéen, en particulier dans les garrigues arides et rocailleuses, sur terrains calcaires[1]. Fraîche ou séchée, cette herbe condimentaire se retrouve dans la cuisine méditerranéenne, et une variété améliorée se cultive dans les jardins[1]. C'est une plante mellifère ; le miel de romarin, ou « miel de Narbonne » est réputé[1]. C'est également un produit fréquemment utilisé en parfumerie. Enfin, on lui attribue de nombreuses vertus phytothérapeutiques ou philogénétique.
Le nom « romarin » viendrait du latin « ros marinus » (rosée de mer)[2], ou bien du grec « rhops myrinos » (buisson aromatique)[3], ou encore du latin « rhus marinus » (sumac de mer)[1].