Les liaisons numériques dangereuses » Article » OWNI, Digital Journalism. Serge Soudoplatoff voit trois principaux dangers liés à Internet. Ne vous attendez pas à ce qu'il vous parle des pédophiles et autres néonazis anxiogènes, cela n'intéresse pas cet amoureux du web. Lorsque je suis sollicité pour faire des conférences sur les ruptures induites par Internet, il arrive que l’on me demande de parler des dangers de l’Internet. Cela avait commencé il y a quelques années, lorsque j’avais été demandé sur ce sujet dans une émission de télévision semble-t-il connue, animée par Delarue, « Ça se discute ». J’avais alors répondu que ce sujet n’était pas très intéressant en tant que tel, et que, paraphrasant mon ami André-Yves Portnoff, le seul grand danger de l’Internet est de ne pas y aller. Cette émission fut d’ailleurs bizarre : une collection hétéroclite de « drames » humains. Il faut rappeler un fondamental : Internet est un média neutre.
Donc, Internet transporte indifféremment ce qu’on lui injecte. Alors, quels sont les dangers de l’Internet ? Hors-série : L’enseignement des langues vivantes en France (3/8)Apprendre l’anglais est-il devenu obligatoire ? | VousNousIls. Si apprendre la langue de Shakespeare est obligatoire dans plusieurs pays européens, comme aux Pays-Bas ou au Danemark, ce n'est pas le cas en France. L'idée a pourtant été défendue dans l'Hexagone par la commission Thélot (2003–2004). Dans son rapport, le groupe de travail recommandait de classer l'anglais comme un « savoir-faire » faisant partie du « socle des indispensables ». La maîtrise de l'anglais était considérée « comme une compétence essentielle ».
Jacqueline Quéniart, agrégée d'anglais et ex-membre de la commission, soutient cette position : « Je considère que l'anglais fait partie du bagage du citoyen du XXIème siècle. Selon moi, ne pas maitriser l'anglais de communication est handicapant. C'est la troisième langue en nombre de locuteurs, après le chinois et l'hindi, mais la seule langue internationale. » Une place dominante à l'école Un rôle surestimé ?
Favoriser la diversité linguistique Coralie Bach. Elearningeuropa.info. Quels sont les apports et les limites des TICE en matière d'apprentissage ? The Twitter Experiment - UT Dallas. Mon université 2.0 | Les z'ed. <div class="greet_block wpgb_cornered"><div class="greet_text"><div class="greet_image"><a href=" rel="nofollow"><img src=" alt="WP Greet Box icon"/></a></div>Bienvenue sur <strong>les zed</strong> ! Vous pouvez vous abonner gratuitement aux <a href=" rel="nofollow"><strong>flux RSS</strong></a> pour rester informé des derniers articles. <div style="clear:both"></div><div class="greet_block_powered_by">Powered by <a href=" title="WP Greet Box WordPress Plugin" style="text-decoration:none;">WP Greet Box</a><a href=" title="WordPress Plugin" style="text-decoration:none;">WordPress Plugin</a></div><div style="clear:both"></div></div></div> Surtout que, pour les étudiants, partager est quelque chose de naturel.
Les douze priorités de la cyber-éducation. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Christian Bonrepaux Jean-Michel Fourgous, député (UMP) des Yvelines et maire d'Elancourt, remet, lundi 15 février, un rapport sur la promotion des nouvelles technologies à l'école. Commandé par le premier ministre, François Fillon, en août 2009, ce travail vise à développer la culture numérique dans le système scolaire. Il propose douze priorités et 70 mesures, certaines innovantes, d'autres relevant d'une généralisation de pratiques existantes. Parmi les mesures innovantes, on relève une attention particulière portée à la formation des enseignants et des cadres : "Jusque-là, 80 % des crédits étaient consacrés aux équipements, 20 % à la formation, nous proposons d'arriver à 50/50", conclut M. Fourgous. De façon très pragmatique, il est également proposé de mettre l'accent sur l'apprentissage de l'usage du clavier en primaire.
Même mesure pour les environnements numériques de travail. Pour M. Depuis cinq ans, le maire montre l'exemple. Psy et Geek ;-) Demain, toi aussi improvise-toi prof ! - La Lettrine : le monde. Lundi 3 mai 2010 1 03 /05 /Mai /2010 00:00 Malgré les jours qui passent, je garde une très grande colère en moi, colère que je compte bien partager avec vous. Comme vous le savez, je suis une enseignante insatisfaite mais je me sens très engagée et ne peux me résoudre à cette évolution de l'école… Des réformes sont nécessaires, personne ne peut le nier, mais lorsque l’on regarde de près ce qui se prépare, on est en droit de se demander comment notre cher gouvernement envisage l'avenir.
Les étudiants qui auront leur concours de CAPES ou d'agrégation commenceront à travailler dans un établissement scolaire à temps plein dès la rentrée de septembre… Ce n’est qu’en fin d’année qu’un inspecteur viendra les rencontrer pour donner son verdict. Ce n’était bien sûr pas le cas jusqu’à présent : autrefois, il existait l’école normale des maîtres, formation exemplaire puisque les étudiants étaient encadrés par des enseignants pendant de longs mois et apprenaient réellement la pédagogie.