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Économie

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L'économie de la mer pèse trois fois celle de l'automobile. Le poids de l'économie bleue s'élève à 270 milliards d'euros et représente 14% du PIB français, selon une étude réalisée par le Boston Consulting Group (BCG). Pourtant, elle est quasi absente des débats à la présidentielle. Explications. La création de valeur passe aussi par les océans: malgré les 820.000 emplois qu'elle représente, l'économie de la mer est la «grande absente» de la campagne présidentielle, a regretté lundi la Fondation de la Mer, qui regroupe des acteurs du secteur.

«Les mers françaises génèrent l'équivalent de 14% du PIB du pays», soit près de «270 milliards d'euros par an», a estimé cette fondation, soutenue par des acteurs comme Armateurs de France, la Marine nationale ou l'institut de recherche public Ifremer, dans son baromètre sur «la maritimisation de l'économie française», réalisé par le cabinet de conseil BCG. Principal secteur de cette économie; les recettes générées par le tourisme de bord de mer, avant le transport maritime et la construction navale.

Les banques françaises victimes d'un malware quasi-indétectable, d'après Kaspersky Lab. Les banques sont sous le coup de cyber-attaques redoublées depuis quelques années, mais l'ampleur du phénomène semble avoir été sous-estimée. D'après Kaspersky Lab, au moins 140 entreprises (banques, opérateurs télécoms, organismes gouvernementaux...) réparties dans 40 pays différents ont été pénétrées par des malfaiteurs ces dernières années. La France et les Etats-Unis seraient parmi les pays les plus touchés. Pas de fichiers, pas de traces Comment le malware a-t-il échappé aux contrôles ?

C'est simple : il n'utilise pas de fichiers. Il réside uniquement dans la mémoire vive des machines qu'il infecte, et s'appuie sur des outils d'administration (PowerShell, Metasploit, Mimikatz, etc.) dont il cache des morceaux dans la base de registre pour se propager sur le réseau. Le crime... paie ? Aucun indice n'a été découvert sur les responsables de ces attaques pour le moment (sont-ils un seul groupe ou plusieurs ?) 1350 milliards de dollars dépensés sur les portefeuilles mobiles en 2017 en hausse de 32% | Viuz. Credits Shutterstock Denys Prykhodov Selon la dernière étude de Juniper Research, les dépenses sur portefeuilles mobiles, concentrées principalement en Asie et dominées par Alipay et Wechat devraient progresser de 32% en 2017 à 1350 milliards de dollars.

La Chine représente actuellement 52% des paiements via portefeuilles mobiles. 43% des paiements par portefeuille proviennent d’achats de biens physiques online et 39% de transferts d’argent, seuls 4% résultent de paiements NFC en magasin (un chiffre qui devrait passer à 12% en 2021) . A terme le déploiement de portefeuilles mobiles de type PayPal et ApplePay autorisant le paiement online et offline en magasin devraient dynamiser les services dans les pays occidentaux. Selon l’étude, les récentes annonces de PayPal en matière d’HCE (Host Card Emulation) couplées aux progrès de sa filiale Venmo dans les paiements sociaux devraient placer la société en pole position parmi les fournisseurs de portefeuilles mobiles dans les années à venir.

Les DSI des banques face aux défis blockchain, cybersécurité et cloud. Une technologie blockchain plus mûre, une cybercrimalité plus puissante et le cloud vont perturber les DSI des banques en 2017. PublicitéLes douze derniers mois ont été une période de changement technologique dans le secteur financier britannique, avec le lancement de concurrents, les banques numériques et le développement de systèmes basés sur des blockchains, l'adoption accrue du cloud et une menace croissante en cybersécurité.

L'intérêt pour le blockchain a continué de croître en 2016, certaines des plus grandes banques du monde dévoilant des projets pilotes comme la Banque Royale d'Écosse, Barclays et Santander. Elles créent actuellement des applications à base de blockchain, par exemple pour les paiements internationaux. Il faudra quand même une bonne décennie avant que les systèmes à base de blockchain soient généralisés et débouchent sur une utilisation dans le grand public. Des attaques dévastatrices La cybercriminalité a été l'autre grand sujet en 2016 pour la finance.

Le marché de la cybersécurité pèsera 1,2 Md€ en France en 2020. IDC estime que la croissance des ventes de solutions de sécurité en mode SaaS sera multipliée par 2,8 d'ici 2020. La complexification de la gestion de la sécurité, des vulnérabilités, des accès ou encore des identités, devrait faire progresser le marché français des appliances et des logiciels dédiés à ces problématiques de 6,5% par an jusqu'en 2020.

Dans l'Hexagone, le marché des solutions de sécurité se porte à merveille. D'après IDC, les ventes d'appliances et de logiciels qui s'y rattachent ont représenté 885 M€ de chiffre d'affaires en 2016. Ce montant devrait croître de 6,5% par an en moyenne dans les prochaines années pour atteindre 1,23 Md$ en 2020. Durant ces quatre ans, les produits d'IBM seront les plus prisés par les entreprises, suivis de ceux de Symantec et de Check Point. Selon IDC, la croissance attendue tient à deux facteurs. De plus en plus de cloud Enfin, le recours aux solutions cloud devrait se démocratiser d'ici à 2020.

Économie du Maroc. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'économie du Maroc est la situation économique conjoncturelle et structurelle du Maroc. Le Maroc est classé comme faisant partie des pays en voie de développement et adhérant à une économie de marché (capitalisme). Le Maroc est le troisième producteur et premier exportateur mondial de phosphates, rentrée importante en devises pour le pays. Il détient, et de loin, les premières réserves mondiales avec 50 000 milliards de tonnes. Les grandes réformes et les grands chantiers entamés par le pays ont donné de bons résultats, notamment avec la hausse continue du PNB, et ceci même durant les mauvaises saisons agricoles dues à des périodes de sécheresse aiguës. L'économie marocaine dispose aujourd'hui d'un cadre macroéconomique sain susceptible de constituer un levier efficace pour la réalisation des objectifs de croissance durable, de résorption du chômage[1] et de réduction de la pauvreté qui est de l'ordre de 10 %[2].

Histoire économique du Maroc. Economie. Economie. La contrefaçon est un phénomène qui a pris une grande ampleur en Algérie. Licences d’importation : «Tous les produits non essentiels» seront concernés Réagissez Le ministre de l'Habitat, de l'Urbanisme et de la Ville et ministre du Commerce par intérim, Abdelmadjid Tebboune, a affirmé, hier à Alger, que tous les produits, excepté ceux revêtant un caractère essentiel pour les citoyens, seront soumis à une licence d'importation dans un souci de réguler le marché.

Des hausses sensibles depuis janvier 2017 Réagissez Les Algériens ont commencé l’année 2017 avec une flambée quasi générale des prix des produits alimentaires. CNMA : A la rencontre des producteurs Réagissez Une centaine d’éleveurs de bovins laitiers, leaders au niveau des wilayas de l’ouest du pays, ont été invités à une journée d’échange et de partage d’expériences au niveau de la Direction des services agricoles (DSA) de Mostaganem, mardi dernier. mercredi 15 mars 2017 Le temps des remises en cause… Réagissez mardi 14 mars 2017. Économie. Zone euro: inflation confirmée à 2% en février - Le Parisien. Bruxelles veut devenir la capitale numérique de l'Europe.

Le gouvernement bruxellois a présenté une nouvelle stratégie numérique unifiée: Digital.Brussels. Trois membres autorisés du gouvernement vont unir leurs forces et créer un comité de coordination axé sur les différents domaines stratégiques: Bianca Debaets (Numérisation), Didier Gosuin (Emploi & Economie) et Fadila Laanan (Recherche scientifique). Toutes les initiatives de numérisation actuelles et futures seront désormais hébergées dans Digital.Brussels. La ville planifie aussi une vaste campagne de promotion au niveau tant national qu'international.

"Nous voulons ainsi faire de Bruxelles la capitale numérique de notre pays et de l'Europe", déclare la secrétaire d'Etat en charge de la numérisation, Bianca Debaets. Smart City Smart City constitue l'épine dorsale de la nouvelle stratégie numérique bruxelloise. Le secteur numérique bruxellois représente en tout 7,6 pour cent du PIB.

Important pour l'économie belge Soutenir les start-ups et les entrepreneurs.