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Virtualisation. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Principe[modifier | modifier le code] Il peut sembler a priori étrange de simuler plusieurs machines sur une seule : un système d'exploitation est conçu pour utiliser au mieux un matériel qui est entièrement sous son contrôle. La juxtaposition de plusieurs systèmes non conçus pour communiquer entre eux peut faire craindre des inefficiences auxquelles s'ajoute le fait que le processus de virtualisation lui-même va consommer des ressources. Le tableau n'est pas aussi sombre. D'une part, on évite une grande partie de ces inefficiences juste en disposant de disques différents pour chaque système lorsque c'est possible, et d'autre part les coûts de la mémoire permettent à chacun de ces systèmes de rester résident, et parfois même avec de larges sections de code partagées[3].

Par ailleurs le microcode des mainframes comme des microprocesseurs inclut de plus en plus de fonctionnalités rendant la virtualisation plus efficace[4]. Les intérêts sont : Les avantages de la virtualisation. La virtualisation est quelque chose que nous entendons parler de plus en plus. La grande stabilité des produits disponibles sur le marché ainsi que les avantages inhérent de cette technologie ont rapidement été implanté dans nos centres de données. Plusieurs personnes ont rapidement compris que les produits comme VMware, Virtual PC et Xen proposent des solutions qui peuvent répondre parfaitement à des besoins de centralisation et d'exploitation du matériel disponible. Qu'est-ce que la virtualisation? En mots simples, la virtualisation est le fait de faire fonctionner plusieurs OS sur le même système physique.

De nos jours, chaque application demande un serveur dédié qui est souvent beaucoup trop puissant pour les besoins de l'application telle quelle (Je ne vois pas pourquoi nous devrions installer un controlleur de domaine sur un Xeon Dual Core 3GHz avec 2 Gigs de RAM lorsque ce serveur sera utilisé à peut-être au maximum 3%). Avantages associés à la virtualisation Monitoring Portabilité. Découvrez Cisco UCS.

Le serveur Cisco Unified Computing System (UCS), équipé du processeur Intel ® Xeon ® , a battu pas moins de 63 records mondiaux de performances en seulement 3 ans. Parmi ces records, citons les benchmark d'acteurs reconnus sur le marché : Benchmark VMmark de VMware Benchmark Oracle Benchmark SPEC (Standard Performance Evaluation Corporation) En seulement 3 ans, grâce à son architecture unifiée unique, le serveur Cisco UCS est parvenu à se positionner en tête de 63 indicateurs clés de performance. Cette prouesse témoigne de l'efficacité de l'approche unifiée.

> En savoir plus Le modèle de serveur Cisco UCS se démarque des systèmes HP par sa rapidité (47 % plus rapide) et par sa simplicité d'exploitation (67 % d'étapes en moins lors de l'ajout d'un serveur). Le principe même du serveur UCS est de rendre l'IT plus simple, plus rapide et plus efficace et repose sur la simplification de l'installation et des évolutions. > Lire le rapport (PDF en anglais - 773 Ko) > Accéder à l'outil. Les Réseaux Privés Virtuels - Vpn.

1 – Introduction au réseau privé virtuel VPN Les applications et les systèmes distribués font de plus en plus partie intégrante du paysage d’un grand nombre d’entreprises. Ces technologies ont pu se développer grâce aux performances toujours plus importantes des réseaux locaux. Mais le succès de ces applications a fait aussi apparaître un de leur écueil. En effet si les applications distribuées deviennent le principal outil du système d’information de l’entreprise, comment assurer leur accès sécurisé au sein de structures parfois réparties sur de grandes distances géographiques ?

Concrètement comment une succursale d’une entreprise peut-elle accéder aux données situées sur un serveur de la maison mère distant de plusieurs milliers de kilomètres ? Les VPN ont commencé à être mis en place pour répondre à ce type de problématique. 2 – Principe de fonctionnement du VPN 2.1 – Principe général Un réseau VPN repose sur un protocole appelé « protocole de tunneling ». 2.2 – Fonctionnalités des VPN. Virtualisation VMware - Optimisation des ressources informatiques grâce à la technologie virtuelle.

Cloud computing. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le cloud computing[1], ou l’informatique en nuage ou nuagique ou encore l’infonuagique (au Québec), est l'exploitation de la puissance de calcul ou de stockage de serveurs informatiques distants par l'intermédiaire d'un réseau, généralement Internet. Ces serveurs sont loués à la demande, le plus souvent par tranche d'utilisation selon des critères techniques (puissance, bande passante, etc.) mais également au forfait. Le cloud computing se caractérise par sa grande souplesse : selon le niveau de compétence de l'utilisateur client, il est possible de gérer soi-même son serveur ou de se contenter d'utiliser des applicatifs distants en mode SaaS[2],[3],[4].

Selon la définition du National Institute of Standards and Technology (NIST), le cloud computing est l'accès via un réseau de télécommunications, à la demande et en libre-service, à des ressources informatiques partagées configurables[5]. Terminologie[modifier | modifier le code] Le Cloud ? Pour qui ? Pour quoi ? > www.linformaticien.com : Actualités informatique, Réseau, Sécurité, Technologie, Développement. Par Bertrand Garé - Dossier publié par le magazine L'Informaticien le 01/04/2012 Toute l’industrie informatique s’esbaudit du nuage en nous promettant des lendemains ensoleillés. Si l’adoption se fera dans la durée, il faut bien constater que, en France, ce n’est pas le raz-de-marée escompté, si l’on s’en tient à une défi nition stricte du Cloud. Mais aujourd’hui tout ce qui est en ligne est Cloud.

Cette confusion largement entretenue n’éclaircit pas la réalité du Cloud. Désormais, il s’agit plutôt de savoir pour quelles applications et pour quels besoins les entreprises vont dans le Cloud. Dossier réalisé par Bertrand Garé. Avantages et inconvénients de l’informatique dans les nuages. Le « cloud computing » (ou informatique dans les nuages, ou informatique dématérialisée) est de plus en plus populaire et il semble que cette popularité ne soit pas une mode passagère.

Déjà, en 2006, Gartner prévoyait que plus de 25% des logiciels qui utilisés en 2011 seraient des applications d’informatique dématérialisée. J’examinerai aujourd’hui ce qu’est l’informatique dématérialisée et quels en sont les avantages et les inconvénients. Cette réflexion me permettra de proposer des facteurs à considérer pour choisir (ou non) d’utiliser le « cloud computing » dans son organisation. Comme nous le verrons, la gestion du risque relié à l’utilisation de l’informatique dans les nuages ne doit pas être prise à la légère. Qu’est-ce que le « cloud computing » ? Du point de vue technique, l’informatique dématérialisée est essentiellement l’utilisation du réseau Internet afin de combler des besoins en informatique. Cloud Computing Explained | Source: Youtube Les avantages du « cloud computing » DOSSIER "Cloud computing" : évolution ou révolution ? Depuis trois ans environ, un concept fait fureur dans le monde du high-tech : celui de Cloud Computing ou, pour reprendre la traduction française, « d'informatique dans le nuage ».

Pas un salon spécialisé, pas une revue informatique, pas une nouvelle offre logicielle qui ne fasse référence au « Cloud ». Même Apple s'est converti à cette terminologie en lançant son nouveau service de stockage des données personnelles, « iCloud ». Selon le cabinet Pierre Audoin Consultants (PAC), en 2011, le marché du Cloud devrait atteindre plus d'1 milliard d'euros en France avec une progression de près de 30 % en un an. Mais si le terme est de plus en plus utilisé, sa véritable signification reste floue, voire brumeuse, pour bon nombre d'entreprises. Le principe du Cloud est pourtant assez simple. Il repose sur deux piliers : d'une part la mutualisation de serveurs informatiques et d'autre part la location de ressources. Intérêt multiple En revanche, l'usage du SaaS monte en flèche.

La sécurité du Cloud, un défi aux multiples facettes ::Sécurité. Que l’on parle infrastructure en mode service (IaaS), plateforme (PaaS) ou encore applications (SaaS), le Cloud amène les divisions IT sur des terres inconnues. Il induit une division des tâches que connaissent beaucoup d’industries mais dont seules les entreprises déjà largement ouvertes à l’externalisation sont finalement familières.

Les questions soulevées leurs paraîtront bien connue : qui est responsable de quoi ? Pour quels aspects de la sécurité des données et des applications ? Des points qui méritent d’être examinés de près et contractualisés. Mais se pose aussi la question de savoir qui peut accéder aux données de l’entreprise, comme Microsoft l’a si bien illustré cet été en précisant ses obligations par rapport au Patriot Act américain.

Bref, comme le résumerait Michael Pauly, consultant chez T-Systems, «les clouds ne naissent pas égaux.» Un point toujours délicat mais sur lequel la Cloud Security Alliance travaille activement. Le cloud privé, souvent le premier pas Shawn P. Cloud Computing SaaS, PaaS, IaaS. Cloud computing, SaaS, PaaS, IaaS ... En termes plus simples, Infrastructure as a Service (IaaS), c’est un service de cloud computing qui libère l’entreprise de la nécessité de posséder (gérer, maintenir et contrôler, …) ses propres serveurs et autres infrastructures de traitement de données. Il suffira d’un ordinateur ou un portable connecté à Internet pour lui garantir sa fonctionnalité commerciale.

Cet accès est une forme d’abonnement auprès d’entités qui commercialisent ces services de virtualisation des matériels. La réduction des coûts d’acquisition, de maintenance et de recyclage des équipements est importante pour les entreprises. Le risque des pannes et de l’interruption d’activité est aussi minimisé, vu la très haute fiabilité de ce genre de services enligne. Au final, c’est un gain de temps et d’argent considérable pour les clients de cette forme de cloud computing. Windows Azure, le Cloud… de quoi parle-t-on exactement ? Une définition du Cloud > www.linformaticien.com : Actualités informatique, Réseau, Sécurité, Technologie, Développement.

Le "cloud computing" à la française a du plomb dans l'aile. Publié le 22/12/2011 • Par avec l'AFP • dans : France Le grand projet d'un "cloud computing" à la française, censé gérer en toute sécurité les données informatiques des administrations et entreprises nationales, est confronté à un revers avec le retrait surprise du consortium d'une entreprise clé, Dassault Systèmes. « Le projet Andromède reste d’actualité.

Dassault Systèmes a fait part de son souhait de sortir de ce consortium mais d’autres entreprises ont, elles, fait part de leur souhait d’entrer dans ce consortium », a déclaré le ministre de l’Industrie Eric Besson. Il a annoncé la tenue d’une réunion le 20 janvier pour « un point d’étape » avec « les entreprises concernées ». Trois grandes entreprises alliées à l’Etat - « Le cloud est absolument stratégique pour l’économie française. L’Etat devait injecter 135 millions d’euros dans ce projet via la Caisse des dépôts, tandis qu’Orange et Dassault Systèmes devaient mettre chacun 60 millions d’euros et Thales 30 millions. Haut de page. Virtualisation : toutes les news et analyses.