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Edwige2005

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La violence en baisse dans les écoles du Québec, selon une étude. Un texte d'Alexandre Duval Les insultes, les bousculades, les menaces sur le chemin de l'école et les propos à caractère homophobes étaient moins fréquents chez les élèves du primaire en 2015 qu'ils ne l'étaient deux ans auparavant, explique Claire Beaumont, directrice de la Chaire de recherche de l'Université Laval sur la sécurité et la violence en milieu éducatif. « En moyenne, dans une école, les comportements ne se détériorent pas depuis les deux dernières années.

La violence en baisse dans les écoles du Québec, selon une étude

Ça ne vaut pas du tout dire que les adultes ne sont pas agressés ou qu'il n'y a pas d'élève au comportement violent, mais les enfants nous disent qu'au niveau des insultes, menaces et tout ça, il n'y a pas de de détérioration. » Une différence selon le sexe est toutefois observée. Agir contre la violence et l'intimidation à l'école. Dans la Loi sur l'instruction publique et la Loi sur l'enseignement privé , on entend par «violence» : toute manifestation de force, de forme verbale, écrite, physique, psychologique ou sexuelle, exercée intentionnellement contre une personne, ayant pour effet d'engendrer des sentiments de détresse, de la léser, de la blesser ou de l'opprimer en s'attaquant à son intégrité ou à son bien-être psychologique ou physique, à ses droits ou à ses biens.

Agir contre la violence et l'intimidation à l'école

Les formes de violence peuvent varier, mais celle-ci est présente dans tous les contextes sociaux, culturels et économiques. La violence est une manifestation intentionnelle de force qui blesse une autre personne. Plus d’un élève du secondaire sur trois dit avoir été victime d’intimidation à l’école ou sur le chemin de l’école ou de cyberintimidation. Montréal, le 23 mai 2013 – Les résultats du deuxième volet de l’Enquête québécoise sur la santé des jeunes du secondaire 2010-2011, dévoilés aujourd’hui par l’Institut de la statistique du Québec, révèlent que la majorité des élèves du secondaire peuvent compter sur un soutien social élevé dans leur environnement familial (75 %) ou de la part de leurs amis (69 %), tandis que le tiers d’entre eux (34 %) estiment bénéficier d’un niveau élevé de soutien dans l’environnement scolaire.

Plus d’un élève du secondaire sur trois dit avoir été victime d’intimidation à l’école ou sur le chemin de l’école ou de cyberintimidation

D’autre part, près du quart des garçons (24 %) ont un niveau élevé d’estime de soi, comparativement à 15 % des filles. KiVa Koulu. Un programme finlandais contre le harcèlement à l’école. KiVa Koulu Le programme finlandais KiVa Koulu de prévention du harcèlement à l’école a été mis au point entre 2006 et 2009 par l’Université de Turku .

KiVa Koulu. Un programme finlandais contre le harcèlement à l’école

Le département de psychologie et le Centre de recherche sur l’apprentissage de cette Université ont collaboré dans cette entreprise. En 1998 déjà, l’Acte sur l’Education fondamentale avait proclamé (section 29) le droit à un environnement d’apprentissage sûr. Prévention de la violence en milieu scolaire. Violence scolaire : des causes multiples. Bien sûr, les enseignants de Vitry-sur-Seine qui font valoir leur droit de retrait ont leurs raisons : 11 surveillants pour 1 500 élèves, 1 pour 136 (un surveillant face à douze équipes de football, et qui ne respectent pas l'arbitre), c'est dérisoire.

Violence scolaire : des causes multiples

Mais le problème ne relève pas de la seule responsabilité de l'actuel gouvernement : en 2002, le Forum des associations de résistance pour l'école affirmait que «le ratio de personnel de surveillance dans les collèges et lycées est passé de 1 surveillant pour 125 élèves en 1962 à 1 surveillant pour 300 élèves aujourd'hui» ; soit beaucoup moins qu'à Vitry. Lutte contre la violence scolaire. Marion, harcelée à en mourir Insultée, menacée, au collège, par SMS et sur Facebook, l'ado s'est suicidée il y a trois ans.

Lutte contre la violence scolaire

L'enquête pointe les brimades dont elle a été la cible. Plongée glaçante dans un établissement de l'Essonne réputé tranquille. Harcèlement à l'école: le numéro vert submergé d'appels. Climat scolaire et prévention des violences. Climat scolaire et réussite : le climat scolaire pour et par les apprentissages La recherche scientifique prouve qu’un climat scolaire serein fait diminuer les problèmes de violence, l’absentéisme et le décrochage.

Climat scolaire et prévention des violences

Il contribue également, à côté de la qualité des pratiques pédagogiques, aux résultats et à la réussite des élèves : favorisant le bien-être de tous, il permet la disponibilité des enfants et des adolescents pour les apprentissages et celle des professeurs pour l’enseignement et l’accompagnement des élèves. Mais la relation est à double sens : si un bon climat scolaire est une condition des apprentissages, il est essentiel de considérer que les apprentissages contribuent aussi à la qualité du climat scolaire. Il s’agit des apprentissages disciplinaires, mais aussi des compétences transversales, aussi bien à l’école, au collège et au lycée (professionnel, général et technologique). Tout cela aide les élèves à donner du sens à ce qu’ils étudient.

Le climat scolaire : définitions. Violences à l'école : tendances internationales de la recherche en sociologie. Violences juvéniles, violences scolaires En privilégiant l’explication de la violence scolaire en se saisissant de l’analyse de la déviance primaire, l’émergence du phénomène va alors pouvoir se comprendre comme corollaire à la montée de la violence juvénile : L’augmentation de la violence juvénile dans les années 1990 n’est pas propre à l’école.Entre 1984 et 1994, le taux d’homicides d’adolescents a doublé et le nombre de victimations violentes non mortelles a augmenté de près de 20%.

Violences à l'école : tendances internationales de la recherche en sociologie

Un jour caractéristique de 1992, sept jeunes ont été assassinés. Cette dramatique augmentation des homicides juvéniles a eu lieu à un moment où les taux d’homicides pour la plupart des groupes plus âgés déclinaient [6][6] The increased youth violence in the 1990s is not unique.... C’est l’accroissement des processus de socialisation défaillants qui est considéré (Funk, 2001; Lösel, Bliesener 1995; Döpfner et al., 1996).

C’est le développement d’une culture de la violence parmi les jeunes qui est pointé.