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Société de l'imposture

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Société de violence, du culte de la personnalité. Le football « est un simulacre de guerre » : l'esprit sportif selon George Orwell. Maintenant que l’équipe de football du Dynamo est rentrée dans son pays, il est enfin possible de déclarer publiquement ce que beaucoup de gens raisonnables déclaraient en privé avant même son arrivée. À savoir que le sport est une source inépuisable d’animosité et que si une telle visite avait eu un effet quelconque sur les relations anglo-soviétiques, ce ne pouvait être que de les rendre un peu plus mauvaises. La presse elle-même n’a pu dissimuler le fait qu’au moins deux des quatre matchs disputés avaient suscité beaucoup d’animosité. Au cours du match contre Arsenal, d’après ce que m’a dit un spectateur, deux joueurs, un Britannique et un Russe, en sont venus aux mains et la foule a hué l’arbitre.

On m’a également rapporté que le match de Glasgow n’avait été, du début à la fin qu’une mêlée. Et comment pouvait-il en être autrement ? Presque tous les sports pratiqués à notre époque sont des sports de compétition. Pasolini théorise le Football Pier Paolo Pasolini, Les Terrains.

Le principe de Peter - incompétence au travail

Corruption à foison: Regards sur un phénomène tentaculaire - Rudy Aernoudt. Principe de Pareto. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette page d’homonymie répertorie les différents sujets et articles partageant un même nom. Sur les autres projets Wikimedia : Pareto, sur Wikisource Patronyme[modifier | modifier le code] Pareto est un nom de famille notamment porté par : Graziella Pareto (1889-1973), soprano espagnole.Lorenzo Pareto (1800-1865), géologue et ministre italienRaphaël Pareto (ou Raffaele) (1812-1882), père de Vilfredo Pareto et ingénieur italien.Vilfredo Pareto (1848-1923), sociologue et économiste italien, voir aussi Optimum de Pareto. Autres[modifier | modifier le code] Comment les imposteurs ont pris le pouvoir. La tête dans le guidon (pervers narcissique) Esclavage moderne : TRAVAIL = tripalium. TV, médias de masses | ANALYSE.

Comment les blockbusters ont troqué les codes de l’action pour le chaos | Rue89 Culture. Le genre change pour mieux nous dominer : caméra secouée, cassures... Le spectateur n’a plus qu’à se raccrocher à la bande-son. C’est le « cinéma du chaos ». La bande-annonce de « Pacific Rim », le nouveau film de Guillermo del Toro qui sortira mercredi, promet beaucoup du bonheur à l’amateur de « blockbusters » qui sommeille en moi. Et pourtant, depuis « Man of Steel », la perspective d’une avalanche d’effets spéciaux sans interruption pendant plus de deux heures m’inquiète. Trop d’action, des scènes trop longues, un son trop puissant, une immersion qui relève plus de la lobotomie façon « Orange mécanique » que du plaisir coupable d’un « happy end » épique...

La réponse à mon malaise se trouve depuis deux ans sur Internet, sous la forme d’un essai cinématographique : « Cinéma du chaos : le déclin du film d’action ». Caméra secouée, coupes et plans serrés Son auteur, Matthias Stork, est un jeune réalisateur allemand et étudiant à l’université de Los Angeles. . « Chaos Cinema »