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Des mots sur l'indicible... (spiritualité)

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Indicible. Définition, traduction, prononciation, anagramme et synonyme sur le dictionnaire libre Wiktionnaire. Français[modifier | modifier le wikicode] Étymologie[modifier | modifier le wikicode] Composé de in- et dicible, issu du latin dicibilis (« qui peut être dit »). Adjectif[modifier | modifier le wikicode] indicible /ɛ̃.di.sibl/ masculin et féminin identiques Qu’on ne peut exprimer par des mots ; indescriptible. Synonymes[modifier | modifier le wikicode] ineffable Traductions[modifier | modifier le wikicode] Nom commun[modifier | modifier le wikicode] indicible /ɛ̃.di.sibl/ masculin Ce qui ne peut pas s'exprimer, ce qui est innommable. Antonymes[modifier | modifier le wikicode] dicible Traductions[modifier | modifier le wikicode] Homophones[modifier | modifier le wikicode] indicibles Références[modifier | modifier le wikicode] Tout ou partie de cet article est extrait du Dictionnaire de l’Académie française, huitième édition, 1932-1935 (indicible), mais l’article a pu être modifié depuis.

Science sans conscience... Le mental intuitif et mental rationnel. Notice : La vérité est multiple, multi-facettes, Esprit critique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Critique. L'esprit critique (du grec κριτικός : qui discerne) est la disposition d'une personne à examiner attentivement une donnée avant d'établir la validité de celle-ci. Définition et origines[modifier | modifier le code] Développement[modifier | modifier le code] Avoir l’esprit critique, c'est être capable de s'interroger avec exigence et rationalité sur la réalité ou la probabilité de faits et de relations prétendus, puis sur leurs interprétations. En particulier, le fait a-t-il l'importance décisive qu'on lui accorde ? — Pierre Bayle, Pensées diverses écrites à un docteur de Sorbonne à l'occasion de la Comète qui parut au mois de décembre 1680 Cependant, l'esprit critique ne cherche pas seulement à mettre en lumière des erreurs de raisonnement.

De manière plus générale, l'esprit critique peut être considéré comme l'antidote de la rhétorique. Et voici l'apologue : Voir aussi: méthode hypercritique. Connaissance de soi. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La connaissance de soi est le savoir qu'une personne acquiert sur elle-même, en termes psychologiques ou spirituels, au cours de sa vie à l'occasion de ses expériences.

Blaise Pascal La connaissance de soi même est un ordre particulier de connaissance dans la mesure où, à son foyer même, le sujet connaissant et l'objet à connaître sont confondus, il est « juge et partie ». Cette difficulté centrale rend impérative une recherche exigeante de l'objectivité si cette connaissance doit être de quelque conséquence. La connaissance de soi sollicite la rectitude de la pensée, l'esprit critique et une certaine considération pour le « regard » extérieur des autres. Par sa nature subjective, elle sollicite pour se consolider les exigences métacognitives et en retour, le gain de lucidité sur les caractéristiques personnelles rend possible un savoir plus consistant.

Une utilité variable[modifier | modifier le code] Quel est le soi à connaître ? 1/2 : Objectif / Subjectif. Objectif / Subjectif Définitions Dictionnaires de référence André Lalande, Vocabulaire technique et critique de la philosophie. P.U.F. Sylvain Auroux et Yvonne Weil, Nouveau vocabulaire des études philosophiques. Discussion Le paradoxe de l'objectivité vient du fait que la connaissance objective, qui exige le dépassement de la subjectivité au sens 2, n'est possible que grâce à la subjectivité au sens 1 : il n'y a pas d'objet connu sans sujet de connaissance. Le problème philosophique de l'objectivité est de déterminer les critères et le fondement de l'objectivité de la connaissance.

Pour la philosophie antique, l'objet de la connaisance est la réalité elle-même, telle qu'elle existe indépendamment du sujet. Kant critique la théorie de la vérité "correspondance à la réalité" et pose de façon moderne le paradoxe de l'objectivité: nous ne sortons jamais de nous-mêmes, nous n'avons jamais affaire qu'à nos propres représentations. Mise en oeuvre de la distinction. 2/2: Ai-je besoin d’autrui pour être objectif ? Ai-je besoin d’autrui pour être objectif ? Analyse des termes du sujet Quand Robinson, seul sur son île déserte, construit l'Evasion, le bateau sur lequel il espère s' échapper, il se concentre sur la construction et néglige le problème de la mise à flot. Absorbé par sa tâche, Robinson est incapable de s' extraire de son point de vue singulier pour voir l'ensemble de la situation; personne n'est là pour l'arracher à sa subjectivité et lui fournir sur le bateau une autre perspective que la sienne.

Une fois achevée, la barque est trop lourde pour être tirée jusqu'à l'eau. Problématique Le « bon sens », cette faculté de discerner le vrai du faux, le bien du mal, et dont, à en croire Descartes, nous serions tous également doué, peut-il se développer sans le commerce avec nos semblables? L'intersubjectivité, condition de la subjectivité ? L’être humain est un être social. L'intersubjectivité Or la subjectivité n'est-elle pas la première condition de l’objectivité? Objectif/Subjectif. Maïeutique (philosophie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Chez Platon, Socrate explique que la sage-femme n'enfante pas elle-même, elle se contente de faire accoucher la femme ; le philosophe fait de même des opinions de ses interlocuteurs. Cependant, une fois ces opinions accouchées, encore faut-il s'inquiéter de savoir si l'enfant est viable, ou bien s'il renferme une contradiction, s'il est mort-né.

Ainsi, dans le Ménon, le petit esclave de Ménon accouche de certaines vérités géométriques. En revanche, Ménon ne sait rien dire de valable du juste et de l'injuste. Pourtant, son âme a bien dû, autrefois, contempler, de près, ou peut-être de loin, ces Idées. Cependant, l'accoucheur ne connaît pas lui-même, il se contente d'éprouver la rationalité et la cohérence des prétendus savoirs ; si Socrate est le plus sage des hommes c'est seulement en ce sens qu'il sait qu'il ne sait rien. La maïeutique est appliquée aux personnes qui ignorent qu'elles savent. Bon sens. Le bon sens est l'intermédiaire entre l'ignorance et la connaissance bien assurée.

Il est la raison sans raisons. Entre la sphère théorique où l'on s'entend rarement sur le sens d'un mot ou d'une idée et la sphère pratique où l'on doit agir, le plus souvent sans être assuré de pouvoir le faire en connaissance de cause, il y a un vide. Le bon sens comble ce vide. Il est la «la saine et droite raison», dit le Littré et plus loin: «le sens commun, l'intelligence et la lumière avec laquelle naissent la plupart des gens.» Le bon sens est de nos jours défini comme la raison en tant qu'elle remplit le vide laissé par la science: «capacité de bien juger, sans passion, en présence de problèmes qui ne peuvent être résolus par des raisonnements scientiques» (Le petit Robert).

Le bon sens est l'une des principales conditions de la liberté de pensée et de ses hautes et inutiles voltiges, comme le filet est la condition des prouesses du saltimbanque. Portail: Spiritualité. Soi (spiritualité) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Soi, transcrit avec un S majuscule, désigne l'identité originelle et ultime de l'être dans plusieurs traditions spirituelles. L'introspection et la méditation sont des pratiques suggérées pour accéder au Soi. Le Soi avec un S majuscule (parfois appelé « vrai soi » ou « Soi supérieur » par distinction avec l'ego, ou « soi » avec un s minuscule), dans l'acception spirituelle du terme et particulièrement dans les courants issus du Védanta tel que l'Advaïta Védanta, désigne l'identité première et ultime de l'être [1],[2],[3].

Le Soi constitue une réponse proposée par certaines traditions spirituelles à la question « Qui suis-je ? »[4]. Mais le concept, couramment utilisé de nos jours, et absorbé par les courants du New Age[6], a porté d’autres noms et se rapproche d’autres concepts philosophiques plus anciens. L’Âme est un synonyme de Soi : La Conscience est un autre synonyme de Soi : L'Être est un autre synonyme de Soi : « Connais-toi toi-même ! Éveil spirituel. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La notion d'éveil spirituel (ou encore « illumination[1] » et « réalisation de soi » ou simplement « éveil »), communément associée au bouddhisme et à l'hindouisme, désigne un état de conscience supérieur dans de nombreuses religions et philosophies[2] et l'aboutissement d'une voie religieuse ou spirituelle. L'expression a pris un sens aux contours plus flou dans les courants New Age, où les acceptions et les traductions les plus diverses de la notion sont parfois amalgamées.

La notion d'éveil spirituel dans les traditions religieuses[modifier | modifier le code] Une telle expérience, traditionnellement réputée bouleversante, est décrite dans différentes traditions (hindouiste, le dvija, ou chrétienne, notamment) comme une « seconde naissance ». On trouve également l'expression dans le catholicisme pour désigner, de façon moins radicale, une première initiation ou un « éveil à la foi[7] ». Voir aussi[modifier | modifier le code] Transcendance. La mise en forme de cet article est à améliorer (août 2020). La mise en forme du texte ne suit pas les recommandations de Wikipédia : il faut le « wikifier ». Comment faire ? Les points d'amélioration suivants sont les cas les plus fréquents. Le détail des points à revoir est peut-être précisé sur la page de discussion. Pour une aide détaillée, merci de consulter Aide:Wikification. Si vous pensez que ces points ont été résolus, vous pouvez retirer ce bandeau et améliorer la mise en forme d'un autre article.

Le terme transcendance (du latin transcendens ; de transcendere, franchir, surpasser) indique l'idée de dépassement ou de franchissement. À l'inverse, les philosophies de l'immanence, comme le stoïcisme ou l'eudémonisme de Spinoza, maintiennent que Dieu est présent dans le monde et dans les choses qui le composent.

Approches philosophiques[modifier | modifier le code] Métaphysique[modifier | modifier le code] Phénoménologie[modifier | modifier le code] Heidegger[modifier | modifier le code] Pleine conscience. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La pleine conscience (parfois également appelée attention juste, samma-sati en pali, samyak-smriti en sanskrit[1], ou présence attentive) est une expression dérivée de l’enseignement de Siddhartha Gautama et désignant la conscience vigilante de ses propres pensées, actions et motivations. Elle joue un rôle primordial dans le bouddhisme où il est affirmé que la pleine conscience est un facteur essentiel pour la libération (Bodhi ou éveil spirituel).

Il s’agit du septième membre du noble sentier octuple. En Occident, la pleine conscience est utilisée comme une thérapie ayant pour but la réduction du stress et la prévention de rechutes dépressives. Les principes de la pleine conscience[modifier | modifier le code] Cette pleine conscience n’est pas limitée à la pratique de la méditation, mais elle consiste simplement à observer les objets physiques et mentaux qui se présentent à l'esprit. Critiques[modifier | modifier le code] en français :