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Pleine conscience

Pleine conscience
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La pleine conscience (parfois également appelée attention juste, samma-sati en pali, samyak-smriti en sanskrit[1], ou présence attentive) est une expression dérivée de l’enseignement de Siddhartha Gautama et désignant la conscience vigilante de ses propres pensées, actions et motivations. Elle joue un rôle primordial dans le bouddhisme où il est affirmé que la pleine conscience est un facteur essentiel pour la libération (Bodhi ou éveil spirituel). Il s’agit du septième membre du noble sentier octuple. En Occident, la pleine conscience est utilisée comme une thérapie ayant pour but la réduction du stress et la prévention de rechutes dépressives. Les principes de la pleine conscience[modifier | modifier le code] Cette pleine conscience n’est pas limitée à la pratique de la méditation, mais elle consiste simplement à observer les objets physiques et mentaux qui se présentent à l'esprit. Critiques[modifier | modifier le code] en français :

Coproduction conditionnée Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La coproduction conditionnée (pratîtyasamutpada en sanskrit, prononcer « prətī:tyə səmŭtpα:də », paticcasamuppāda en pāḷi) est le concept bouddhique de conditionnalité, de dépendance, de réciprocité. D'après Christian Maës, une traduction plus correcte en français devrait être : « coproduction conditionnelle », mais le terme « coproduction conditionnée » reste majoritairement utilisé. Ce terme signifie littéralement « l'origine d'une action ». L'essentiel du concept réside dans la notion d'interdépendance. Ainsi, dans le bouddhisme, tous les phénomènes sont composés et inter-dépendants, que ce soient les objets physiques, les sensations, les perceptions, la pensée, la conscience. Il s'agit d'un concept théorique lié à une pratique, notamment celle de la méditation, se fixant pour but l'atteinte du nirvāna par l'observation des phénomènes tels qu'ils sont. Formulations[modifier | modifier le code] Courte[modifier | modifier le code]

Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire - broché - Fnac.com - Jonas Jonasson - Livre ou ebook En résumé : Grands romans - Le Vieux qui ne voulait... " Quand la vie joue les prolongations, il faut bien s'autoriser quelques caprices. " Allan KarlssonAlors que tous dans la maison de retraite s'apprêtent à célébrer dignement son centième anniversaire, Allan Karlsson, qui déteste ce genre de pince-fesses, décide de fuguer. Chaussé de ses plus belles charentaises, il saute par la fenêtre de sa chambre et prend ses jambes à son cou. Débutent alors une improbable cavale à travers la Suède et un voyage décoiffant au c?ur de l'histoire du XXe siècle. Le Mot de l'éditeur : Le vieux qui ne voulait pas fêter son... Alors que tous dans la maison de retraite s’apprêtent à célébrer dignement son centième anniversaire, Allan Karlsson, qui déteste ce genre de pince-fesses, décide de fuguer. « Un chef-d’œuvre dans l’art du mensonge. Coups de cœur des Libraires Haut de page Incroyable !! Fiche détaillée : Le Vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire Caractéristiques numériques

Comment apprendre à apprendre avec les cartes heuristiques ? Dossier Le CRDP de l’Académie de Besançon s’est intéressé à l’utilisation du mindmapping en contexte pédagogique pour apprendre dans un contexte pédagogique. A ce titre, il propose un dossier thématique et de synthèse sur la question : Apprendre à apprendre avec les cartes mentales. Dossier thématique Ainsi, il est proposé un retour sur la méthode de représentation en arborescence des données pour faciliter la pensée logique et la créativité en fonction de ses projets. 7 manières d’utiliser le mindmapping en contexte pédogique Un tableau récapitulatif s’attache à décrire les atouts et les limites de l’utilisation des cartes heuristiques et il est mentionné des mots-clés de l’utilité du mindmapping en situation pédagogique : pour organiser,pour résumer,pour réviser,pour noter,pour mémoriser,pour apprendre,pour comprendre ou faire comprendre. 9 logiciels pour construire des cartes heuristiques

Prajna : sagesse transcendante Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Prajñā en sanskrit (Devanāgarī : प्रज्ञा ; pa : paññā; ti : shes rab ; ch : 般若, bōrĕ/bānruò), souvent traduit par « sagesse transcendante », ou même « gnose », est une notion fondamentale du bouddhisme. Le terme signifie à l’origine « capacité cognitive » ou « savoir-faire ». Il désigne dans le bouddhisme la capacité de percevoir le phénomène de coproduction conditionnée, ainsi que l’absence de soi propre (anatta) et le vide (sunyata) de toute chose. Sources dans le canon[modifier | modifier le code] Dans les Sikkha suttas [1] de l’Anguttara Nikaya du canon pali, paññā est décrit par Gautama comme élément d’un processus en trois parties qui mène à la libération, et comme la compréhension des quatre nobles vérités. Le bouddhisme theravāda définit cette sagesse comme la vue des choses telles qu'elles sont (yathā bhutam), c'est-à-dire la vue des trois caractéristiques de l'existence. Explication imagée[modifier | modifier le code]

The system is failing, hack the system We live in an unsustainable world. Our climate is warming. Our food system is failing. Our clean water sources are drying up. But fear not, social entrepreneurs are here to the rescue! But wait ... Carbon emissions rose at a slower rate in 2012, but they are still rising. The reality is that our global economy and society are unsustainable at their core. Many social entrepreneurs have their hearts in the right place but are not going far enough to create systemic change. What we need are social entrepreneurs who hack the hell out of the current system, destroy it and create new systems where the externalities are regenerative, sustainable, just and happy. So what is social hacking? Two of my favorite social hackers are Ela Bhatt and Reema Nanavaty of the Self Employed Women's Association (SEWA). Social hackers like Bhatt are not afraid of the dirty secret that no one wants to admit – that we have over-developed. Who is your favourite social hacker?

Tathatā : la vraie nature de la réalité Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le terme tathatā (sanskrit, pali तथता tathatā; chinois 眞如 pr.: zhēnrú /chen-ju; tib. de bzhin nyid; kor. 진여, jinyeo; jap. 真如, shinnyo; viet. chân or chơn như) est généralement traduit par « ainsité ». Description[modifier | modifier le code] Ce terme est employé surtout dans le bouddhisme Zen et le bouddhisme mahāyāna (qui l'assimile au dharmakāya ou au tathagatagarbha). Selon Nāgārjuna (Traité du Milieu, XVIII, 9), les caractères de l'ainsité sont les suivants : non connue par l'enseignement d'autrui, mais pénétrée par la prajna selon un mode non-dual ;"apaisée", libre de nature propre ;non discursive, non exprimée par la parole ;non conceptuelle, non liée aux mouvements de l'esprit ;sans diversité (l'ainsité de tous les phénomènes est du même ordre). Notes et références[modifier | modifier le code] Portail du bouddhisme

Joseph Schumpeter Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Joseph Schumpeter Il est l'auteur d'une Histoire de l'analyse économique, parue en 1954 et qui fait encore référence. Biographie[modifier | modifier le code] En 1908, il publie son premier ouvrage, devenu très vite un classique de la statistique économique, Nature et essence de l'économie théorique, ce qui lui permet d'obtenir en 1909 un poste de professeur associé en économie politique à l'université de Czernowitz. Il publie la première édition de sa Théorie de l'évolution économique en 1911, ouvrage qui s’affranchit du cadre néoclassique et témoigne de son intérêt pour la dynamique et les lois du changement économique. En 1913-1914, il est professeur invité à l'université Columbia de New York. En 1925, il devient professeur de finances publiques à l'université de Bonn et se remarie avec Anna Reisinger. Les États-Unis[modifier | modifier le code] Il se remarie une troisième fois avec une économiste du nom d'Elizabeth Boody en 1937.

Śūnyatā : la vacuité des êtres et des choses Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Tentative d'approche[modifier | modifier le code] La vacuité est un terme qui peut être mal interprété. Ainsi, Ringou Tulkou Rimpotché en parle en ces termes[réf. souhaitée] : « Selon le bouddhisme, tout est en essence vacuité (śūnyatā), tant le samsâra que le nirvāṇa. D’autres bouddhistes francophones disent que « La vacuité ne vide pas les choses de leur contenu, elle est leur véritable nature »[1]. Selon la thèse de la vacuité, les phénomènes se définissent non pas par une nature propre, une chose en soi qui leur appartiendrait en propre, mais uniquement par l'ensemble des rapports qu'ils ont entre eux : ils ne tiennent pas leurs propres caractéristiques d'eux-mêmes. « La vacuité n'est ni le néant ni un espace vide distinct des phénomènes ou extérieur à eux. — Le Moine et le Philosophe, Jean-François Revel, Matthieu Ricard, 1997 L'absence de nature propre est en fait une interprétation possible de la notion de vacuité. Mais vide de quoi ?

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