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Jour du dépassement (empreinte écologique)

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Jour du dépassement. Ecological Debt Day. Ecological Debt Day, also known as Earth Overshoot Day, is the (claimed) approximate calendar date on which humanity’s resource consumption for the year exceeds Earth’s capacity to regenerate those resources that year.

Ecological Debt Day

Ecological Debt Day is calculated by dividing the world biocapacity (the amount of natural resources generated by Earth that year), by the world Ecological Footprint (humanity’s consumption of Earth’s natural resources for that year), and multiplying by 365, the number of days in one Gregorian calendar year: When viewed through an economic perspective, Ecological Debt Day represents the day in which humanity enters deficit spending, scientifically termed “overshoot”. It is a rough estimate of time and resource trends, of measuring the gap between human demand for ecological resources and services, and how much Earth can provide, made by the Footprintnetwork organization.[1] Background[edit] Jour du dépassement. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Jour du dépassement

Le jour du dépassement ou jour du dépassement global, est une date dans l'année où, théoriquement, les ressources renouvelables de la planète pour cette année auraient été consommées. Au-delà de cette date, l'humanité puiserait dans les réserves naturelles de la terre d'une façon non réversible, si bien qu'à terme la raréfaction des ressources condamnera l'humanité à rationner les ressources et donc à entrer en décroissance. Ramener la consommation et la production naturelle de ressources sur une année est plus médiatisable qu'un pourcentage. Mercredi 22 août, "jour du dépassement" pour les ressources mondiales. Avec trente-six jours d'avance sur 2011, nous avons consommé toutes les ressources naturelles que la Terre peut produire en un an, selon l'ONG Global Footprint Network.

Mercredi 22 août, "jour du dépassement" pour les ressources mondiales

Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Albelle Di Napoli Mauvaise nouvelle pour la planète. Limites planétaires. Les limites planétaires sont les seuils que l'humanité ne doit pas dépasser pour ne pas compromettre les conditions favorables dans lesquelles elle a pu se développer et pour pouvoir durablement vivre dans un écosystème sûr, c’est-à-dire en évitant les modifications brutales et difficilement prévisibles de l'environnement planétaire.

Limites planétaires

Ce concept a été proposé par une équipe internationale de 26 chercheurs et publié en 2009. Il consiste alors en neuf limites planétaires à ne pas dépasser, dont sept sont chiffrées par les chercheurs et trois sont déjà franchies. En 2012, l'économiste Kate Raworth propose d'ajouter à ces limites naturelles planétaires, extérieures (« plafond »), des limites intérieures (« plancher »), correspondant aux besoins humains essentiels pour le bien vivre. Elle liste 11 nécessités ou dimensions de vie distinctes, formant le « plancher social ». Définition initiale de 2009[modifier | modifier le code]

Anthropocène. La Terre, la nuit.Image nocturne simulée du monde durant l'Anthropocène, ici en 1994-1995.

Anthropocène

L'Anthropocène serait la période durant laquelle l'influence de l'être humain sur la biosphère a atteint un tel niveau qu'elle est devenue une « force géologique » majeure capable de marquer la lithosphère. La période la plus récente de l'anthropocène est parfois dite la grande accélération, car de nombreux indicateurs y présentent des courbes de type exponentiel. L'Anthropocène est un concept de plus en plus utilisé dans les médias et la littérature scientifique mais toujours discuté par la communauté scientifique géologique – spécifiquement au sein de la commission internationale de stratigraphie (ICS) de l'Union internationale des sciences géologiques (UISG) – qui détermine les subdivisions de l'échelle des temps géologiques.

Concept[modifier | modifier le code] Peu après, les débats autour du concept se sont raffinés lors du 35e Congrès international de géologie réuni au Cap à l'été 2016. Empreinte écologique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'empreinte écologique est un indicateur et un mode d'évaluation environnementale qui comptabilise la pression exercée par les hommes envers les ressources naturelles et les « services écologiques » fournis par la nature. Plus précisément, elle mesure les surfaces alimentaires productives de terres et d'eau nécessaires pour produire les ressources qu´un individu, une population ou une activité consomme et pour absorber les déchets générés, compte tenu des techniques et de la gestion des ressources en vigueur.

Énergie grise. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Énergie grise

Empreinte eau. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Empreinte eau

Facteur 4. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Facteur 4

L'approche par « secteurs »[modifier | modifier le code] Pour Pierre Radanne, six secteurs doivent conjointement être mobilisés[3] : La qualité de la construction et les politiques urbainesL’agricultureL’eau et l’assainissementL’énergieLa déforestation évitéeLes transports. Bilan carbone. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Bilan carbone

Le bilan carbone d'un produit ou d'une entité humaine (individu, groupe, collectivité…) est un outil de comptabilisation des émissions de gaz à effet de serre, devant tenir compte de l'énergie primaire et de l'énergie finale des produits et services. Il vise à renseigner les systèmes d'échange de type Bourse du carbone, à poser les bases de solutions efficaces de réduction de la consommation énergétique, et peut optimiser la fiscalité écologique (taxe carbone…) et certains mécanismes de compensation. Réchauffement climatique. Températures moyennes de l'air en surface de 2011 à 2020 par rapport à une moyenne de référence de 1951 à 1980.

Température observée par la NASA par rapport à la moyenne de 1850-1900 comme référence préindustrielle. Le principal facteur d'augmentation des températures mondiales à l'ère industrielle est l'activité humaine, les forces naturelles ajoutant de la variabilité[1]. L'énergie circule entre l'espace, l'atmosphère et la surface de la Terre. Les niveaux actuels de gaz à effet de serre provoquent un déséquilibre radiatif d'environ 0,9 W/m2[2]. Le réchauffement climatique comprend à la fois le réchauffement induit par les émissions de gaz à effet de serre d'origine humaine et les changements de régimes météorologiques à grande échelle qui en résultent. Le principal facteur de réchauffement est l'émission de gaz à effet de serre, dont plus de 90 % sont le dioxyde de carbone (CO2) et le méthane.

Empreinte Ecologique Pays et Mondiale - Biocapacité et Augmentation de Population Optimale. Apparu aux États-unis dans les années 90, le concept d’empreinte écologique (écological footprint) vise à traduire de manière facilement compréhensible l’impact d’activités humaines sur les écosystèmes et la planète.

Empreinte Ecologique Pays et Mondiale - Biocapacité et Augmentation de Population Optimale

Plus précisément, l'empreinte écologique mesure les surfaces de terres et d’eau (biologiquement productives), nécessaires pour produire les ressources qu’une population consomme et pour absorber les déchets qu’elle génère. Cette surface est exprimée en hectares globaux [gha] abréviation de l'anglais "global hectare", c’est à dire en hectares ayant une capacité de production de ressources et d'absorption de déchets correspondant à la moyenne mondiale.

Les gens consomment des ressources et des services écologiques provenant de partout dans le monde, leur empreinte est donc la somme de toutes ces surfaces, où qu'elles soient sur la planète. HOME - Ecological Footprint - Ecological Sustainability. Dette écologique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le concept de dette écologique, désigne une forme de dette non monétaire. Deux sous-concepts peuvent être distingués, qui parfois s'additionnent. le concept plutôt « temporel » d'une dette d'une génération humaine (ou de quelques générations) « vis-à-vis des générations futures »[1] (c'est notamment le cas des générations de la révolution industrielle, des 30 glorieuses et des décennies suivantes, notamment celles des classes aisées et moyennes des régions du monde les plus riches monétairement parlant) ;le concept, plutôt « spatial » et « géographique » d'une dette accumulée par des pays ou régions riches qui ont surexploité l'environnement ou des ressources naturelles pas, peu, difficilement, couteusement, lentement ou non renouvelables… de régions ou pays dits pauvres dont les ressources sont parfois pillées par les premiers.

Cette notion a émergé comme parallèle et réponse à la dette financière qui notamment asphyxie les pays du Sud. Surconsommation. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le 4x4 urbain est souvent désigné comme emblématique de la surconsommation. La surconsommation désigne un niveau de consommation situé au-dessus de celui des besoins normaux ou d'une consommation moyenne[1]. Au-delà d'un certain seuil, la surconsommation est un facteur de surexploitation de ressources naturelles, pas, peu, difficilement, dangereusement ou lentement renouvelables. Quand une de ces ressources épuisée ne peut plus être remplacée par une autre, des besoins primaires peuvent ne plus pouvoir être assurés. Court-termisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le court-termisme désigne, de manière péjorative, un comportement qui privilégie l'obtention d'un gain immédiat au détriment du résultat futur. Description[modifier | modifier le code] Le court-termisme qualifie le jugement qui privilégie l'obtention d'un objectif rapide, sinon immédiat, en négligeant de considérer l'incidence d'effets potentiels ou réels pouvant survenir à moyen terme ou à long terme.

La vision court-termiste résulte d'une préférence marquée du présent ou des échéances proches, au détriment du futur. Cette attitude peut s'appliquer : aux hommes politiques, lorsqu'ils sont accusés de ne s'intéresser qu'à la prochaine élection, plutôt qu'aux intérêts de plus long terme de leur pays,aux financiers, accusés de rechercher le rendement immédiat plutôt que de financer des projets d’investissement de long termeaux dirigeants d'entreprise[1], Les facteurs induisant le court-termisme[modifier | modifier le code]

Consommation. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La consommation caractérise l'acte d'un agent économique (le consommateur) qui utilise (consommation finale) ou transforme (consommation intermédiaire) des biens et services . Cette utilisation ou transformation provoque la destruction immédiate (biens non durables) ou progressive (biens durables) des éléments consommés. Technologies accélératrices. Depuis le début de l'Humanité jusque vers la fin du XVIIIème siècle, le nombre d'êtres humains n'a que très peu augmenté. De 400 à 1750, la population est passée de 190 millions à 690 millions, soit une multiplication par un peu plus de 3,5. Mais au cours des trois derniers siècles, la population mondiale a été multipliée par 20, atteignant le nombre de 6 milliards.

Après des millénaires de stabilité, cette croissance exponentielle est due au développement des technologies accélératrices. La période précédente était caractérisée par un mode vie totalement différent. La partie négative du tableau était composée de guerres, de grandes épidémies et d'une espérance de vie très courte (entre 35 et 50 ans). La partie positive nous enseigne que les gens vivaient globalement tranquilles et heureux. Biocapacité. Global hectare. The global hectare (gha) is a common unit that quantifies the biocapacity of the earth. One global hectare measures the average productivity of all biologically productive areas (measured in hectares) on earth in a given year. Droit de l'environnement. Ressource non renouvelable. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une ressource naturelle est qualifiée de non renouvelable ou épuisable lorsque sa vitesse de destruction dépasse, largement ou non, sa vitesse de création.

Ainsi un sol se forme en quelques siècles à plusieurs millénaires suivant les conditions chimiques, physiques et biologiques et est actuellement détruit dans certaines régions en quelques dizaines d'années, voire quelques années. Ressource naturelle. De manière générale, une ressource naturelle est une substance, un organisme, un milieu ou un objet présent dans la nature, sans action humaine, et qui fait, dans la plupart des cas, l'objet d'une utilisation pour satisfaire les besoins (énergies, alimentation, agrément, etc.) des humains, animaux ou végétaux. Matière première. La laine est une matière première de nature animale. Ici, de la laine de mouton vient d'être tondue et attend d'être traitée et tissée dans une manufacture de tapis.

Une matière première est une matière à l'état brut (matière extraite de la nature : notion de ressource naturelle), ou, après collecte, ayant subi une première transformation sur le lieu d'exploitation pour la rendre propre à l'échange international, utilisée dans la transformation de matériels finis ou comme source d'énergie. L'Organisation des Nations unies utilise le terme global de « produit de base » défini officiellement par la charte de La Havane en 1948 comme « tout produit de l'agriculture, des forêts, de la pêche et tout minéral, que ce produit soit sous une forme naturelle ou qu'il ait subi la transformation qu'exige communément la vente en quantités importantes sur le marché international »[1].

Les échanges de matières premières représentaient environ un tiers du volume du commerce mondial en 2011[2]. Matières premières minérales critiques. Eau douce. Disponibilité en eau douce, m³ par personne et par an du début des années 2000 de 50 000 à 605 000 m3 de 15 000 à 50 000 m3 de 5 000 à 15 000 m3 de 2 500 à 5 000 m3 de 1 700 à 2 500 m3 - vulnérabilité. De 1 000 à 1 700 m3 - stress hydrique. de 0 à 1 000 m3 - état de pénurie. Biodiversité. Déforestation. Forêt primaire. Canopée. Urbanisation. Désertification. Sécurité alimentaire. Phosphore. Élevage intensif. Pollution. Pollution marine. Plancton. Pêche (halieutique) Zone morte.