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Brand identity style guides from around the world. This is great! The University of Connecticut has a nice one designed by Peter Good. Web and link to PDF version. (Get the PDF version!) Peter did a great job of differentiating the three identities a university typically has. – The academic and marketing identity (what most would think of as the main identity). – The athletics or mascot identity. UConn has a pretty simple color palette but, many academic systems also include extra Pantone colors to be used for marketing or just for the presidential or university seal (gold, etc.). Stanford University just redid their system too! I also like Vanderbilt University’s. Tous manipulés! - rts.ch - émissions - specimen. La notion de besoins.

La notion de besoins On entend par besoin un sentiment de manque, d’insatisfaction lié à l’origine à une nécessité physiologique non contrôlée (manger, boire, ...) puis élargi à des champs plus vastes par la psychologie.Non comblé, inassouvi, le besoin crée chez l’individu une tension, une frustration. Le besoin est le point de départ de la consommation : sans besoin, pas d’achat.La force de la publicité repose majoritairement sur ces besoins, réels ou créés. Le produit ou le service est présentés comme le moyen de ne plus être frustré. Par ailleurs, cette frustration aura été créée ou exacerbée.Ainsi, le manque est généré... pour mieux le combler. Ne confondons pas le besoin et l'envie ! La pyramide des besoins de MaslowElle exprime schématiquement les besoins présents chez tous les individus de façon latente. Cette pyramide illustre le mécanisme d’ascension dans le besoin. Les besoins selon H. Exemples de publicités conçues sur la réponse à un besoin Besoin de domination.

Quand les affiches publicitaires deviennent interactives. Le leader mondial du mobilier urbain et de l’affichage publicitaire JCDecaux, lance une application innovante afin de transformer les affiches en médias et donner un certain relief aux abribus et autres colonnes Moris. Au menu, aucune caméra inquisitrice ou flashcode à scanner, mais de simples affiches à photographier.

L’affichage publicitaire 2.0 a t-il trouvé une seconde jeunesse ? Lancée le 13 octobre, l’application de reconnaissance d’image baptisée U-Snap est gratuite pour les utilisateurs : « A chaque ouverture de l’application, l’utilisateur découvre les campagnes interactives du moment sur un carrousel d’images. Il suffit ensuite de trouver sur son parcours l’une ou l’autre des affiches en question et de les prendre en photo. L’affiche est immédiatement reconnue par l’application qui s’appuie sur une technologie très sophistiquée de reconnaissance d’image », explique Albert Asséraf, directeur général Stratégie, Etude et Marketing chez JCDecaux. Invasion publicitaire ? Réponse 2 - Les logos des marques - Journal du Net Management. L'étude de motivation selon Joannis. L'étude de motivation selon Joannis L’acte d’achat est souvent complexe. Le principe de base de la publicité, et de la vente en général, est de stimuler les motivations et de lever les freins.

Il faut donc en premier lieu connaître et comprendre le contexte psychologique dans lequel se place le produit ou le service vendu.Ensuite, il faut identifier les motivations et les freins qui entrent en jeu dans l'achat et dans l'utilisation du produit.Dans son livre devenu incontournable, Henri Joannis identifie 3 types de motivations et deux types de freins. Notons que plusieurs motivations peuvent cohabiter et parfois entrer en conflit. Les motivations hédonistes Quête du plaisir physique et intellectuel, facilitation du travail, satisfactions "magiques", ... Magnifique exemple d'une double motivation : hédoniste "le plaisir du chocolat" et auto-expression "conserver la ligne". Motivation oblative : "être une gentille maman et faire le taxi pour sa progéniture".

Voir également la notion de besoin. Le neuromarketing lit-il dans nos pensées ? Dernier-né des transferts entre sciences humaines et publicité, le neuromarketing se présente comme l’outil ultime de manipulation du consommateur. Doit-on craindre que ceux qui explorent notre cerveau puissent un jour commander nos achats ? Le marketing a toujours adoré les sciences humaines.

Dès ses origines, comme le rappelle le psychologue Didier Courbet (1), il y a trouvé dans les différentes théories successivement en vogue des éléments pour peaufiner sa conception du consommateur et développer de nouvelles techniques de vente. Alors qu’ils partaient d’une approche rationnelle de l’individu, qui commande de mettre en avant les aspects utiles du produit, les hommes de la mercatique ont ainsi découvert au début du XXe siècle la psychanalyse. Après la Seconde Guerre mondiale, le marketing ira chercher l’inspiration du côté des travaux sur la réception des médias. Les neurones du Coca-Cola Des applications vagues Malgré son caractère intrusif, le neuromarketing n’a donc pas (encore ?)