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Femmes et création, la nouvelle frontière, Femmes et création, la nouvelle frontière. Témoignage : Isaure de Goesbriand, étudiante, salariée… et chef d’entreprise !, Femmes et création, la nouvelle frontière. Témoignage : Tanya Heath, « Innover, produire français, un défi ! », Femmes et création, la nouvelle frontière. Données clés et liens utiles sur l’entrepreneuriat au féminin, Femmes et création, la nouvelle frontière. Avis d’expert : « Une vraie promesse de croissance autour de l’entrepreneuriat au féminin », Femmes et création, la nouvelle frontière. Cas d’école : le créateur du mois, avec Réseau Entreprendre, Cas d’école : le créateur du mois, avec Réseau Entreprendre. Zoom sur Réseau Entreprendre, Cas d’école : le créateur du mois, avec Réseau Entreprendre.

" Pour créer des emplois, créons des employeurs" : telle est la devise de Réseau Entreprendre, fondé en 1986 par André Mulliez, alors PDG du Groupe Phildar. L'objectif de ce réseau implanté sur l'ensemble des régions ? Soutenir les projets d'entreprise potentiellement destinés à devenir des PME, c'est-à-dire les créations et reprises ayant au moins 3 emplois lors du démarrage, puis avec un objectif de 14 emplois à 5 ans.

Ce soutien prend la forme d'un prêt d'honneur et d'un accompagnement avec des méthodes d'entreprise. Chiffres clés - 65 implantations sur l'ensemble des régions - 560 nouveaux lauréats en 2010 et 5 000 en cumul - 50 000 emplois créés ou sauvegardés depuis 25 ans - 1 300 accompagnements en cours. 100 % des lauréats accompagnés - 13,5 M€ de prêts d'honneur en 2010 (45 M€ d'encours) - 3 800 chefs d'entreprise adhérents - Pérennité des entreprises à 5 ans : 81 % sur les dernières promotions (enquête TMO Régions) - Moyenne d'emplois à 5 ans : 13,5 Devenir lauréat Le dispositif. L'entreprise : les points clés à surveiller, Cas d’école : le créateur du mois, avec Réseau Entreprendre. Parcours du créateur , Cas d’école : le créateur du mois, avec Réseau Entreprendre.

Marché : services en ligne aux entreprises, services gagnants ! , Marché : services en ligne aux entreprises, services gagnants ! Témoignage : Dogfinance, réseau social et recrutement 100 % finances, Marché : services en ligne aux entreprises, services gagnants ! A moins de 26 ans, Sébastien Guichard fait partie de cette nouvelle génération de créateurs d'entreprise qui se sont lancés lors de leurs études. Son créneau ? Loin des T-shirts, des boissons gazeuses, des loisirs… la finance ! Une niche du secteur du service en ligne aux entreprises que les trois associés ont presque failli manquer : « Lors de nos études en master 2 finances, nous étions responsables d'une association. En 2008, nous avons eu envie d'aller plus loin et mis un an à trouver notre concept, celui d'un portail financier. » Un concept qui toutefois ne passera pas l'épreuve de l'étude de marché. « La concurrence semblait trop rude.

Pourquoi ça marche ? « Le monde de la finance est un milieu à part, à la fois ouvert mais aussi très communautaire. Le plus dur : le réseau ! Le plus difficile pour les débuts de la jeune entreprise ? Résultats prometteurs et cap sur la première place boursière européenne Notre avis : Business model et facteurs clés de succès, Marché : services en ligne aux entreprises, services gagnants ! Un marché porteur, Marché : services en ligne aux entreprises, services gagnants ! L’essaimage, et si votre entreprise vous aidait à créer ? , L’essaimage, et si votre entreprise vous aidait à créer ?

Vidéo : Rencontre avec une créatrice "essaimée", L’essaimage, et si votre entreprise vous aidait à créer ? Vidéo : Interview de Pierre Dubar (Dièse), L’essaimage, et si votre entreprise vous aidait à créer ? De salariés à créateurs : témoignages d'essaimés, L’essaimage, et si votre entreprise vous aidait à créer ? - Guillaume Despagne, Ariadnext : Directeur commercial chez SFR, Guillaume Despagne s'est investi avec un de ses collègues, Marc Norlain, dans un projet : simplifier le processus de souscriptions des nouveaux abonnés d'opérateurs de téléphonie.

Leurs travaux en interne ont conduit à la création d'une solution innovante, le S Cube. Il s'agit d'un terminal déployé dans les points de vente permettant de vérifier en temps réel certaines pièces justificatives (pièce d'identité, carte bancaire, etc.). Grâce à cette lecture automatique, les contrôles antifraudes et l'envoi de données, l'édition de contrat de souscription à un abonnement est ainsi plus simple et plus rapide. Une solution qui aurait pu être gardée en interne, mais que SFR, via sa cellule essaimage, et les créateurs, ont choisi de développer de manière autonome. « Les concurrents de SFR étant intéressés par notre innovation, explique Guillaume Despagne.

. - Sylvie Pelgrims, Freesia Créations : - Marc Grosjean, Covivo : L’essaimage : vrai coup de pouce pour les salariés futurs créateurs, L’essaimage, et si votre entreprise vous aidait à créer ? CAE : à la découverte de l’entreprise partagée, CAE : à la découverte de l’entreprise partagée. Témoignages : à la rencontre d’entrepreneurs-salariés, CAE : à la découverte de l’entreprise partagée. Interview : "Les CAE, une solution collective à une réussite individuelle", CAE : à la découverte de l’entreprise partagée. Les CAE, mode d’emploi pour créateurs , CAE : à la découverte de l’entreprise partagée.

Entreprendre, ça s'apprend !, Entreprendre, ça s'apprend ! Jamais sans mon coach, Entreprendre, ça s'apprend ! Malgré ses formations et ses expériences professionnelles enviables, Katalin Berenyi a choisi d'être coachée lors de la création de son entreprise. Née en Hongrie, la jeune femme est un manager international de haut vol : Beaux-arts et Institut de la mode à Paris, MBA à Houston aux USA, création d'entreprise dans la mode à Dallas, puis dix ans chez L'Oréal. En 2007, elle co-fonde la marque de cosmétique Erborian qui s'inspire des recettes traditionnelles des femmes coréennes. Lauréate du réseau Entreprendre, elle est conseillée pendant deux ans par un ancien cadre dirigeant du groupe américain Sara Lee.

Pourtant, en parallèle, elle est coachée par Chine Lanzmann. « Elle m'a aidé à débloquer mes propres freins. J'avais tendance à la procrastination, à demander peu d'argent… raconte Katalin. Question de confiance Consulter un coach ? Dépasser ses peurs Coach également, Hélène Roubert adopte la même posture d'écoute et de questionnements que sa collègue bretonne. Le mentor : « Je lui fait se poser les bonnes questions », Entreprendre, ça s'apprend !

« Mon mentor m’aide à prendre de la hauteur », Entreprendre, ça s'apprend ! L’esprit d’entreprise souffle à la fac, Entreprendre, ça s'apprend ! Six mois de réflexion pour trouver la bonne idée, Entreprendre, ça s'apprend ! Consultant en design industriel dans l'alimentaire et professeur de cuisine, Guilhem Cheron a créé l'an dernier La Ruche qui dit oui, un réseau collaboratif de groupes de consommateurs.« J'en avais assez de ma vie de consultant solitaire, de ne pas valoriser mes idées, mes concepts.

J'avais envie d'aller plus loin, de vivre une histoire d'entreprise. »Diplômé de l'Ecole nationale supérieure en création industrielle, il n'avait suivi aucune formation à l'entrepreneuriat et ne savait pas vraiment par où commencer. Au hasard d'une conversation, il entend parler de l'incubateur de l'école de commerce parisienne Novancia. Il se présente et convainc le jury avec une idée d'application smartphone, loin de celle qui, six mois plus tard, sera à l'origine de son entreprise.« J'ai changé d'idée plusieurs fois pendant mes six mois d'incubation.

Pour lui, ce fut un peu comme suivre des cours d'entrepreneur. Reste à trouver des associés pour donner vie au projet.  Un institut dédié au mentorat , Entreprendre, ça s'apprend ! Compliqué de piloter une jeune entreprise dont le chiffre d'affaires croît de manière exponentielle ! A Paris, l'IME (Institut du mentorat entrepreneurial), leur est dédié depuis 2008. « Notre vocation est de soutenir les entreprises âgées de deux à cinq ans, qui dépassent la barre du million d'euros de chiffre d'affaires »,précise Dominique Restino, l'élu de la CCIP à l'initiative de la création de l'Institut. Après sélection, l'IME met les entrepreneurs candidats en contact avec un dirigeant expérimenté, intervenant à titre bénévole. Durant dix-huit mois, le binôme mentoré-mentor va échanger une fois par mois sur les sujets majeurs pour l'entrepreneur.« Nos mentors partagent une qualité essentielle,insiste le président délégué de l'IME,tous ont eu à gérer un développement rapide. »Parmi eux, des pointures comme Dan Serfaty, le fondateur de Viadeo, Stéphane Bohbot, le patron de Modelabs, ou encore Jean-Pierre Guichard, le créateur de Manutan.

S'appuyer sur l'expérience et le réseau d'un mentor, Entreprendre, ça s'apprend ! Alors que certains entrepreneurs dépensent leur argent en rémunérant fort cher des consultants en stratégie d'entreprise, d'autres profitent des conseils de chefs d'entreprise aguerris, sans bourse délier. C'est le cas de Blaise Heurteux, l'un des cofondateurs de HBS Research, une jeune société de services « B to B », qui fournit des bases de données qualifiées aux professionnels du secteur immobilier. Relation désintéressée La force du mentorat est qu'il repose sur une relation désintéressée.« L'autre n'a rien à vendre, c'est la garantie d'une relation saine et objective »,soulignent les mentorés.

Chaque binôme signe une charte de bonne conduite, garantissant la confidentialité des échanges et limitant tout risque de conflit d'intérêts potentiel. Autre point essentiel : les binômes mentor-mentoré ne sont pas choisis au hasard. La formule se décline auprès de publics ciblés. Retour aux sources. Mûrir son projet plus vite en incubateur, Entreprendre, ça s'apprend ! Un accélérateur de croissance, voilà comment Julien Noranha définit ce qu'est un incubateur.

Lui et ses trois associés sont entrés en incubation dès la sortie de leur école de commerce, Novancia à Paris.« On peut avoir des idées et un tempérament d'entrepreneur, mais il faut aussi des outils,résume Julien, président de la webradio Widoobiz.Notre formation et nos six mois en incubation nous ont évité de nombreuses erreurs et ont fait gagner à notre jeune entreprise entre cinq et dix ans de développement. » immersion de plusieurs mois Mais que font précisément les incubateurs ?

Ils ont pour vocation d'accompagner et d'accélérer la maturation d'un projet innovant. Ils fédèrent des compétences et des expertises et proposent parfois des formations. En général, ils permettent aux incubés de rencontrer leurs premiers investisseurs. Les incubateurs immergent donc le porteur de projet dans un écosystème propice à le faire grandir plus vite.

Les structures publiques Les grandes écoles. Elargir ses compétences, Entreprendre, ça s'apprend ! Titulaire d'un BTS, Sylvain Boucher s'est formé au management et au marketing alors qu'il occupait un poste de responsable en préproduction chez Marie Brizard, à Bordeaux. Puis l'envie d'entreprendre l'a démangé.« Je voulais développer des produits, m'occuper de commercial... et plutôt que de changer de poste, j'ai cherché une entreprise à reprendre. »Il trouve cette pépite en 2004 dans le Périgord : La Chantéracoise, une biscotterie artisanale de 3 personnes qui réalise 85.000 euros de chiffre d'affaires. Accompagné par la chambre de métier et de l'artisanat, il travaille pendant plusieurs mois son dossier de reprise avec un tuteur.« Cela me rassurait de pouvoir appeler quelqu'un à n'importe quel moment. »Dispensé de la formation de cinq jours à l'installation (obligatoire pour les artisans), il décide néanmoins de renforcer ses compétences dans le domaine commercial, comptable, juridique... avec des formations courtes, le plus souvent dispensées par des experts.

Apprendre à entreprendre, Entreprendre, ça s'apprend ! Ancien cadre dirigeant chez Lafuma et Patagonia, Hervé Chabet, quarante-quatre ans, est aujourd'hui patron de PME. Pour se préparer à son nouveau métier, il a suivi une formation de trois semaines à la reprise d'entreprise dispensée par le CRA et s'est fait accompagner par des entrepreneurs expérimentés, lui qui pourtant est titulaire d'un MBA ! « Mon réseau dans le sport et à l'international ne m'a servi à rien pour reprendre Rosset, une petite boîte dans le bâtiment en Savoie »,reconnaît avec lucidité Hervé Chabert.

Sortir de l'isolement dont les entrepreneurs se plaignent trop souvent, renforcer ses compétences, solliciter un conseil d'expert à tout moment, voilà ce qu'apportent les formations et les dispositifs d'accompagnement aux porteurs de projet et créateurs d'entreprise. L'offre de stages, d'études, de tutorat, de mentorat et autres dispositifs d'accompagnement est aujourd'hui pléthorique. Courtes mais utiles Un choix difficile. Retourner sur les bancs de l'école, Entreprendre, ça s'apprend ! Children's Hospital de Boston, 1997. Le docteur André Choulika mène des programmes de recherche sur l'ADN des cellules vivantes.

Parallèlement, l'homme nourrit un vieux rêve : lancer un projet de création d'entreprise de biotechnologies. A la fin des années 1990, il franchit l'Atlantique et intègre le programme Challenge+ d'HEC. Demande croissante A l'image d'HEC, de nombreuses écoles, comme Centrale Paris, l'Essec ou Grenoble EM, ont lancé des cursus de formation à l'entrepreneuriat pour répondre à une demande croissante des étudiants.« La génération " Y" a le sentiment de vivre dans un monde complexe.

La grande école lyonnaise a ainsi lancé un master spécialisé entreprendre pour les jeunes entrepreneurs, ainsi qu'un programme start-up réservé aux porteurs de projet. De son côté, Novancia (ex-Advancia) propose un mastère en entrepreneuriat ouvert à tous les profils.« C'est tout l'intérêt de cette formation. Limiter les risques « L'apprentissage est basé sur l'expérience. S'accorder une année de recul, Entreprendre, ça s'apprend ! Ingénieurs de formation, Thierry Planterose et Sylvain Le Hin ont été collègues de travail avant de devenir associés. Tous deux travaillaient dans la division mobilité de Freescale, à Toulouse (ex-Motorola Semi-conducteurs), avant que celle-ci ne ferme en 2009. Pris dans un plan social, ils décident de retourner sur les bancs de l'école.

Et sans se concerter choisissent tous les deux un master en management de l'innovation : Thierry à Toulouse et Sylvain à Grenoble. Le premier avec l'idée de créer une entreprise, le second pas encore.« C'est cette année de recul qui m'a donné envie d'entreprendre,reconnaît Ivan Le Hin.Mais si la formation permet de maîtriser l'écosystème et le langage des affaires, le métier d'entrepreneur s'apprend également sur le terrain. »Au cours de cette année d'études, les deux ex-collègues restent en contact. Avoir une vision globale de son projet, Entreprendre, ça s'apprend ! Un flop commercial. Voilà comment s'est soldée la première aventure entrepreneuriale de Nicolas Cailloux. Et pourtant le lycéen avait eu un projet visionnaire : une compilation des meilleurs talents des réseaux sociaux musicaux trois ans avant l'apparition de MySpace.

Du haut de ses dix-sept ans, ce musicien amateur a démarché les labels, les artistes et reçu le soutien d'Universal. Une fois dans les bacs, son disque ne se vend pas. Mais il en faut plus pour doucher son enthousiasme. Après son bac, il intègre le bachelor de Novancia pour apprendre les fondamentaux du business, puis enchaîne sur le mastère entrepreneuriat.« Cette formation m'a structuré l'esprit et donné une vision à 360°. Multiplier les accompagnements, Entreprendre, ça s'apprend ! TPE, PME : quand l’Europe dope votre projet, TPE, PME : quand l’Europe dope votre projet. Des aides européennes méconnues… et pourtant !, TPE, PME : quand l’Europe dope votre projet. Feder, FSE, etc. : décryptage des aides ciblées entreprises, TPE, PME : quand l’Europe dope votre projet. Les aides européennes, mode d’emploi, TPE, PME : quand l’Europe dope votre projet. Ils ont été soutenus par l'UE : témoignages de chefs d'entreprise, TPE, PME : quand l’Europe dope votre projet.

Trouver sa place sur les marchés porteurs, Trouver sa place sur les marchés porteurs. L'économie sociale et solidaire attire les vocations, Trouver sa place sur les marchés porteurs. Si l'économie sociale et solidaire n'occupe pas le devant de la scène, elle est beaucoup plus développée qu'on l'imagine. D'après le député Francis Vercamer, qui a rédigé en 2010 un rapport sur le sujet, elle pèserait de 7 % à 8 % du PIB et emploierait 1 salarié sur 10. Pas étonnant que le gouvernement ait décidé de la promouvoir dans son programme lié aux investissements d'avenir, via la création d'un fonds de 100 millions d'euros. Le double de ce qui avait été annoncé au départ. Et tant mieux pour les candidats à la création d'entreprise, de plus en plus nombreux à vouloir entreprendre « utilement ». L'insertion, c'est aussi l'un des moteurs de Jean-Guy Henkel, le fondateur de Réseau Cocagne, une structure qui fédère 120 jardins maraîchers bio sur l'Hexagone, soignés et bichonnés par 4.000 salariés en contrat d'insertion.

Du potager bio à la construction écologique, il n'y a qu'un pas. Six concepts low-cost dans l’ère du temps, Trouver sa place sur les marchés porteurs. L'environnement, nouvel eldorado pour la création d'entreprise, Trouver sa place sur les marchés porteurs. S'il est un marché qui ne connaît pas de répit, en termes d'activité, c'est celui de l'environnement. En pleine crise du « subprime », il continuait de créer de l'emploi en France, quand tous les autres secteurs en supprimaient. Aujourd'hui, alors que le problème des dettes souveraines fragilise de nouveau l'économie, la dynamique reste intacte. Consommateurs, responsables politiques, institutions internationales -voire entreprises -tout le monde ou presque reconnaît qu'il faut changer nos modes de vie, préserver les ressources et produire durablement.

D'après le Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE), la tendance est solide. Ses experts estiment que « la croissance du marché mondial des produits et services environnementaux devrait s'accélérer et plus que doubler pour passer de 1.400 milliards d'euros en 2007 à 3.100 milliards d'euros en 2020 ». Bien choisir son créneau Bien sûr, comme sur tous les autres marchés, l'équation économique reste fragile. La demande tire les services aux particuliers, Trouver sa place sur les marchés porteurs. Jouer les pionniers et défricher un marché, Trouver sa place sur les marchés porteurs. Internet s'engouffre dans le « B to B », Trouver sa place sur les marchés porteurs.

Jean-Baptiste Rudelle « On peut tester de nouvelles idées avec très peu de moyens », Trouver sa place sur les marchés porteurs. Constituer une communauté, Trouver sa place sur les marchés porteurs. Impliquer l'internaute dans les créations, Trouver sa place sur les marchés porteurs. Inventer les nouveaux usages du numérique, Trouver sa place sur les marchés porteurs. Santé, bien-être : une priorité, des opportunités, Trouver sa place sur les marchés porteurs. Une success-story à la mode halal, Trouver sa place sur les marchés porteurs. Alloresto prend de l'embonpoint, Trouver sa place sur les marchés porteurs. Vincent Grégoire « Je crois au retour des supérettes de quartier et aux commerces ambulants », Trouver sa place sur les marchés porteurs. Miser sur la qualité et la proximité, Trouver sa place sur les marchés porteurs.

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