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Théories et auteurs

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Professeur-Documentaliste : un tiers métier. Coord. par Isabelle Fabre ; préface de Yves Jeanneret. Analyse de Christian Bourret Christian.Bourret[at]univ-mlv.fr Cet ouvrage part des pratiques pour présenter un métier de médiation très spécifique, celui de professeur-documentaliste. Il insiste sur la figure dutrait d'union qui caractérise ce bi-métier, articulant une composante pédagogique et une composante documentaire. Il pose des questions centrales,notamment pour les relations entre information et communication. Dans sa préface, Y. Jeanneret souligne l'intérêt de l'ouvrage, notamment de privilégier une entrée par les objets et les pratiques, plutôt qu'être axé sur le CDI.

La 1re partie de l'ouvrage correspond aux regards scientifiques sur un métier complexe de médiation. La 2e partie de l'ouvrage est consacrée aux dynamiques de ce métier. Une 3e partie rassemble les réflexions sur le trait d'union et le tiers-métier. Documentation - le document de collecte et la culture numérique. En préambule à la question de la pédagogie et de l'enseignement, il faut prendre en compte la totale mutation du statut du document numérique que décrit très bien Bruno Latour : "Tout se passe comme si l’on avait dérelié les ouvrages, découpé les revues en articles distincts dont chacun circule à part, puis libéré chaque document cité pour le renvoyer à d’autres documents dont la nature, la dimension, la circulation, le commentaire, obéissent à des règles d’usage, à des habitudes de lecture, à des droits d’accès, à des business plans totalement différents...

On partait de documents, voilà qu’on se trouve devant des « paysages de données » [Latour, 2011]. A cette mutation du document fait écho le développement de nouvelles pratiques informationnelles liées à l'environnement de lecture numérique et caractérisées selon Alexandre Serres par deux traits principaux : Texte de j.gonnet.pdf.

André Tricot

Anne Cordier. Hybridation des savoirs. Information literacy. Jean-Louis Auduc : Il y a beaucoup de « points chauds » entre les familles et l’école… Jean-Louis Auduc est agrégé d’histoire. Il a été directeur des études à l’IUFM de Créteil, où il a notamment mis en place des modules de formation aux relations parents-enseignants. Il est l’auteur de nombreux ouvrages sur le système éducatif et sur laïcité en milieu scolaire. Entre les parents et l’école, quels sont les points de tension récurrents qui justifient la publication de votre livre ?

Il y a aujourd’hui beaucoup de « points chauds » entre les familles et l’école, notamment dans les domaines de l’évaluation, de l’orientation et des sanctions disciplinaires. Depuis trois décennies, le rôle des parents s’est développé dans les établissements… Pourtant nombre d’élus de parents d’élèves ont l’impression de servir de potiches … Comment expliquer cette impression ? Votre livre évoque le réseau de connivences qui existait autrefois autour de l’école… Les relations entre l’école et les familles étaient idylliques au temps jadis ? Propos recueillis par Gilbert Longhi. Le cyberharcèlement : un « vieux vin » dans une « nouvelle bouteille » ? | Cyberviolence & Cyberharcèlement. Comme nous l’avons vu précédemment, le harcèlement entre pairs a, d’une certaine manière, toujours existé et nous avons tous été, au moins une fois au cours de notre scolarité, soit le témoin, soit la cible, soit encore l’auteur si ce n’est d’un comportement harcelant tout au moins de brimades relativement répétées.

La chercheuse Qing Li (2007) compare alors le “cyberharcèlement” à un « vieux vin » contenu dans une « nouvelle bouteille » (« new bottle but old wine »), c’est-à-dire un « phénomène ancien » qui se réalise et prend corps à travers les nouveaux canaux de communication que constituent les dispositifs numériques. Cette métaphore est intéressante car elle soulève certaines questions : Le « cyberharcèlement » entre pairs est-il un phénomène comparable au « harcèlement scolaire » tel qu’on le connaissait jusqu’à la fin du siècle dernier ?

Les violences et autres brimades perpétrées “en ligne” sont-elles de même nature que celles perpétrées “hors ligne” ? La théorie de la sagesse des foules (ou intelligence collective) | Media Webtv ! La notion de sagesse des foules (portée par James Surowiecki dans son livre du même nom) ou encore l’intelligence collective, est une théorie importante pour qui souhaite mieux appréhender l’univers du web. Cette notion a été démontrée depuis des années par le biais de diverses études mais le web l’a fait entrer dans la vie de tous les jours, dans la vie de l’entreprise. Pour synthétiser, la sagesse des foules est la théorie selon laquelle un groupe d’individus sera plus intelligent que le plus intelligent du groupe. En d’autres termes, vous tirerez toujours de meilleures informations ou de meilleurs résultats d’un groupe que d’une personne seule, aussi experte soit-elle.

Avant de voir pourquoi, il est important de préciser que le groupe en question doit répondre à 3 critères essentiels pour être intelligent ou sage : l’indépendance, la diversité et avoir un jugement autonome. En définitive, la sagesse collective est une richesse qui peut être utilisée tous les jours. Jean-Noël TOUBON. Dans le labyrinthe. Caen, C&F éditions, 2012, 222 p., 21 cmISBN 978-2-915825-22-0 : 22 € Les lecteurs du BBF connaissent déjà Alexandre Serres, qui avait écrit un article sur la même thématique dans un dossier consacré à la formation des usagers 1. Maître de conférences à l’Urfist de Rennes, il consacre ses travaux à la culture informationnelle, dans un contexte numérique notamment.

Les ouvrages consacrés à internet ne manquent pas, de qualité souvent inégale. Disons-le tout de suite : le présent opus se distingue particulièrement par sa rigueur, sa qualité d’écriture, sa force de conviction et ses vertus pédagogiques. En démontant les différentes composantes de cette évaluation, il construit son propos en cinq chapitres autonomes et pourtant bien articulés entre eux : les usages, les compétences, les comportements, les notions sur lesquelles s’articule la problématique de l’évaluation de l’information, et enfin les pratiques informationnelles. De l'EMI à la translittératie : sortir de notre littératie. La translittératie est une notion, un concept, une démarche d’apprentissage non encore stabilisée, sur laquelle la recherche française réfléchit et publie depuis plus de cinq ans.

D’un point de vue étymologique, la translittératie est le « passage d’un système d’écriture à un autre » (Delamotte, Liquète, Frau-Meigs, 2014) mais est traversée par plusieurs courants. Nouvelle approche de l’information intégrable aux projets d’Education aux Médias et à l’Information, la translittératie serait-elle à l’origine d’une mutation future de notre métier de professeur documentaliste ? Approche et contexte de la translittératie Qu’est-ce que la translittératie ? Le concept est né aux États-Unis en 2005 suite à l’intégration du numérique dans la vie courante et notamment la lecture en ligne, puis est arrivé en Europe par l’Angleterre et Sue Thomas. En France, une définition de Divina Frau-Meigs permet de cibler les contours de la translittératie (2012) : En résumé : Translittératie et contexte d’usage. 23. Duplessis Pascal. 10e congrès de la FADBEN. 9-10-11 octobre 2015. 1894 inventaire des concepts info documentaires mobilises dans les activites de recherche d informations en ligne.

De la pedagogie. Spirale 53 2013 ED VL DFM. Maury espaces doc ACSI CAIS 2011. 1940 le besoin d information principes et competences. 2839 20 21ec01f49604af12d94f1734c4367fe4. Mediadoc02 Entretien complet Stiegler. YM LC circulation des savoirs 06 01 2014. Gardies Fabre JE LC 26 11 14. Nicolas Adell JE LC 26 11 14. Susan Kovacs JE LC 26 11 14. Florence Thiault JE LC 26 11 14. Pascal Robert JE LC 26 11 14.