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Sciences cognitives - cogito ergo sum

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Que se passera-t-il le jour où les ordinateurs seront plus intelligents que les humains. La lecture de la semaine, il s’agit d’un article extrait du numéro d’avril du magazine The Walrus, mensuel canadien de Toronto.

Que se passera-t-il le jour où les ordinateurs seront plus intelligents que les humains

On le doit à Alex Hutchinson et il s’intitule “Déficit d’intelligence : que se passera-t-il le jour où les ordinateurs seront plus intelligents que les humains ?” Un jour dans le siècle qui vient – et peut-être plus tôt que vous ne croyez, commence Hutchinson – des chercheurs arriveront sans doute à créer une intelligence artificielle plus performante que la nôtre. Ce qui adviendra ensuite, c’est la question que tout le monde se pose – et nous ne sommes tout simplement pas assez intelligents pour comprendre, ou seulement prédire, ce qu’une intelligence surhumaine choisira de faire. Mais il y a une chance raisonnable pour que cette intelligence artificielle éradique l’humanité, soit par pure malveillance, soit dans une tentative maladroite de se rendre utile. Image : La page d’accueil de la Lifeboat Fondation.

Pour en finir avec le Web 2.0. Le rôle des amateurs (2/2) : le numérique transforme-t-il l’amateur. La science montre que vous êtes stupide. Vous ne pouvez pas comprendre le fonctionnement de votre cerveau à moins de l'endommager.

La science montre que vous êtes stupide

Car il est sublimement conçu pour vous entourlouper afin de vous faire croire que vous avez saisi comment il marche. Joe Quirk est l’auteur de Exult et de It’s Not You, It’s Biology: The Science of Love, Sex & Relationships, un livre scientifique humoristique traduit en 17 langues. Article publié initialement sur H+ Magazine et sur OWNI.eu et traduit par Stan Jourdan et Martin Clavey. Vos souvenirs sont de la fiction Robert Burton décrit une expérience dans son livre On being certain: believing you are right even when you are not, que toute personne dotée d’un fort caractère devrait lire. Deux ans et demi plus tard, on a rassemblé les mêmes étudiants pour leur demander de répondre à nouveau par écrit aux mêmes questions. Twitter : culte de l’information ou culte du moi ? Pourquoi partageons-nous des informations sur les médias sociaux ?

Twitter : culte de l’information ou culte du moi ?

Nous avons pris l’habitude avec les médias sociaux de partager, de faire suivre, commenter, rediffuser, bookmarker, sélectionner des informations produites par d’autres. Sur twitter notamment, et sur les outils dédiés au partage d’informations et de "curation" (le nouveau buzzword du moment), on peut s’apercevoir assez facilement que la plupart des informations ne sont pas des productions mais des rediffusions. Autrement dit, on partage plus que l’on ne produit. Et c’est normal : pas tout le monde n’a le temps et surtout les compétences de produire de véritables contenus : un article, un billet, un dossier, une analyse… Partager est plus facile que produire. Commenter est plus facile que produire.Produire de la connaissance et la diffuser comporte un risque important : la critique, la remise en cause, ou même la raillerie.

Sur les réseaux sociaux, les gens heureux interagissent ensemble. Le vieil adage "qui se ressemblent s'assemblent" semble être vrai sur les réseaux sociaux en ce qui concerne le niveau de bien-être.

Sur les réseaux sociaux, les gens heureux interagissent ensemble

Des chercheurs, qui ont étudié des millions de tweets, ont constaté que les gens les plus heureux ont tendance à tweeter ensemble, comme le font également les gens qui sont les moins heureux, peu de tweets reliant les heureux et les malheureux. Des études précédentes avaient montré que, sur les réseaux sociaux, les gens sont plus susceptibles d'avoir des amis qui sont similaires du point de vue de certaines caractéristiques telles que l'âge, la nationalité, la race ou l'éducation.

Internet nous rend-il idiots ? Il se passe quelque chose à l’intérieur de nos crânes : les cogniticiens en sont certains, le travail sur écran a déjà modifié nos structures cérébrales.

Internet nous rend-il idiots ?

Difficultés de lecture, problèmes de concentration, d’assimilation… L’« Homo interneticus » serait-il un crétin ? Des experts répondent en six points. Sommes-nous capables de nous priver d'Internet? Depuis le mercredi 9 mars, les catholiques ont entamé une période de Carême afin de se préparer à la fête de Pâques.

Sommes-nous capables de nous priver d'Internet?

Outre le jeûne, les pratiquants sont invités à d'autres privations volontaires afin «de rentrer en pénitence». Aujourd'hui, Internet façonne tellement notre mode de vie que certains catholiques décident par abnégation de se passer de Facebook durant cette période, comme le rapporte CNN. Les médias sociaux (Facebook, Twitter...) sont tellement ancrés dans nos vies avec le développement de l'Internet mobile et la multiplication des supports pour y accéder, qu'il est très difficile de s'en priver. Interrogé par CNN, une catholique pratiquante qui a renoncé à Facebook l'an dernier l'explique: «Quand j'ai essayé de penser à quelque chose dont j'ai vraiment abusé ces derniers temps, la seule chose qui me vient à l'esprit était Facebook. Elle constate aujourd'hui que cette période de renoncement lui a permis de mieux maîtriser son utilisation ultérieure des réseaux sociaux. Comment les métaphores programment notre esprit.

Par Rémi Sussan le 22/03/11 | 10 commentaires | 8,128 lectures | Impression Encore un coup dur porté à l’idée de l’homme “animal rationnel” et une brique de plus à l’édifice de l’économie comportementale.

Comment les métaphores programment notre esprit

Réseaux sociaux : la prolétarisation de la relation? Le bonheur des rencontres est de réveiller des idées enfouies, une de ces rencontres m'amène à découvrir les thèses d'Ars Industrialis et de son animateur Bernard Stiegler.

Réseaux sociaux : la prolétarisation de la relation?