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Se déconnecter ? Oui mais pas trop ! Trouver le «bon tempo» Les nouveaux outils de l’âge digital et leur multitude d’écrans ne sont-ils pas à la fois l’une des causes de notre difficulté à bien gérer notre temps et paradoxalement l’une des solutions pour atteindre l’objectif d’une meilleure maîtrise ? À l’heure du trop plein numérique, n’est-ce pas justement à chacun de définir ses propres règles de mieux-vivre technologique, social et psychologique ? C’est en tout cas le point de vue de Dominique Cardon, sociologue au Laboratoire des usages des Orange Labs. Il analyse en des mots très clairs la façon dont l’usage des NTIC transforme notre rapport au temps : Depuis quinze ans, les outils de communication ont tendance à nous désynchroniser.

Ils nous donnent le sentiment d’accélération du temps. «Déconnexion» ? Car au-delà de ce besoin de «trouver le bon tempo» que souligne le sociologue, la «déconnexion» (même partielle) ne serait-elle pas en train de devenir un phénomène de société ? Le syndrome de la panne. Commentaire sur "Se déconnecter ?" Oui, mais pas trop" / Culture Mobile. Why Sundance Is Going Ga-Ga for Internet Addiction.

Photo: Valerie Veatch/HBO When documentary filmmaker Valerie Veatch took a vacation to Rome with her grandmother in 2010, she wasn’t really looking for her next big project. But while taking in the city she caught something shocking on the news: A 3-month-old baby had starved to death while her parents were raising a virtual child in the popular online game Prius at an internet café in South Korea. It stuck with her. In the intervening years she completed her first feature documentary Me @ the Zoo, a film about viral video star Chris “Leave Britney alone!”

Crocker, and took it to the Sundance Film Festival, where it got picked up by HBO Documentary Films. But she couldn’t shake the story of baby Kim Sa-rang and her parents. It’s a movie that’s nominally about the case of Kim Yun-jeong and Kim Jae-beom, but more broadly about how our lives offline are becoming inextricably intertwined with our online ones.

Veatch’s isn’t film isn’t the only one tackling internet addiction at Sundance. "Why Sundance Is Going Ga-Ga for Internet Addiction" / Wired. Cyberdépendance : cinq astuces pour déconnecter. Les accros au web ont le fantasme d'ubiquité. Ils sont mariés avec leurs outils électroniques craignant de rater une information cruciale, d'être éliminés de leur réseau d'amis. L'objectif est également d'être suivis, regardés, vus. Ils sont au centre du monde au point d'en oublier leur environnement immédiat. Pourtant, certains s'interrogent sur leurs pratiques, redoutant le burn-out numérique. En 2012, l'Observatoire des modes de vie et de consommation de l'institut Ipsos révélait que 30% des Français admettent avoir " souvent envie de se déconnecter, et d'éteindre leurs appareils technologiques"(2).

Voici cinq techniques pour reprendre le contrôle. 1. Il s'agit de dresser l'audit de sa dépendance aux TIC. >>> Le conseil : utiliser un bon vieux stylo pour noter, sinon en allant incessamment sur un fichier Word, vous aggraverez le mal 2. Ne répondez plus aux mails au coup par coup et regardez ce que ça provoque sur vous : la sérénité. 3. 4. Apprenez à saisir les opportunités. 5. Commentaire sur "Cyberdépendance : cinq astuces pour déconnecter" / L'Express & L'Entreprise. Des centres spécialisés pour les drogués d'Internet. Aux Etats-Unis, la cure de désintoxication est facturée 14.500 dollars.

En Chine, ces établissements très répandus utilisent des méthodes musclées, parfois à l'origine de bavures : un adolescent a été battu à mort début août. La demeure accueillante est nichée dans un parc de cinq hectares, à quelques kilomètres du campus de Microsoft. Mais là-bas, tout ce qui ressemble à un ordinateur a de bonnes chances d'être très mal vu.

Aux Etats-Unis, un centre de désintoxication d'un nouveau genre vient d'ouvrir. Dans un reportage diffusé par une télévision locale, la responsable de l'établissement explique sa mission. Durant six semaines, les patients ont droit à un concentré de vie rêvée. Des adultes en surpoids et déprimés Il n'existe en effet pas de traitements spécifiques et reconnus contre la dépendance virtuelle. Cette semaine, une première étude consacrée aux adultes joueurs a tenté d'apporter davantage d'éléments. Soignés par des électrochocs en Chine. Commentaires sur "Des centres spécialisés pour les drogués d'Internet" / Le Figaro. Des camps pour vaincre l'addiction à Internet au Japon. Si Internet et toutes ses technologies associées sont probablement bénéfiques à notre monde actuel, certains en sont malheureusement dépendants, accros.

Europe, Amérique, Asie, pas un pays ne semble y échapper. La « lutte » contre cette nouvelle maladie s’organise. Le gouvernement japonais va mettre en place des camps spécialisés. L’idée n’est certes pas nouvelle – la Chine et les Etats-Unis s’y sont déjà essayés – mais la situation est très problématique au Japon. Le gouvernement japonais tente alors de freiner cette véritable addiction qui toucherait plus d’un demi-million de jeunes en mettant en place des camps spécialisés où Internet et autres gadgets technologiques sont proscris. Espérons que cela permette de sauver la jeunesse japonaise, qui souffre d’un mal très particulier. Téléchargez les meilleurs softs. Commentaire sur "Des camps pour vaincre l'addiction à Internet au Japon" / Gizmodo.

Mort parce qu’il était accro à Internet. Août 2009. Deng Senshan, 15 ans, arrive dans un camp de redressement chargé de guérir les ados du nouveau mal de la jeunesse chinoise : la cyberdépendance. Il n’en ressortira pas… La famille Senshan quitte la ville de Nanning en voiture, direction la campagne. Le père, Deng Fei, la mère, Zhou Juan, et leur fils unique, Deng Senshan. Il fait chaud en ce mois d’août 2009. Le trajet, qui ne dure pourtant qu’une demi-heure, paraît interminable. Selon le dépliant promotionnel du camp, huit jeunes sur dix seraient accros à Internet… Il n’y a pas si longtemps, Deng Senshan était un excellent élève.

On dirait une prison L’endroit ne ressemble pas du tout à un établissement scolaire comme l’avait imaginé Deng Fei. . « Je ne veux pas rester ici », gémit Deng Senshan en descendant de voiture. Deng Fei et Zhou Juan ont déboursé 7 000 yuans, l’équivalent de 800 euros, pour un mois de traitement pour leur fils, qui pénètre maintenant dans le bâtiment en traînant les pieds. Commentaire sur "Mort parce qu’il était accro à Internet" / Sélection Reader's Digest. L'addiction à internet, un mal moderne. La dépendance à internet touche de plus en plus de monde. C'est ce que révèle une étude allemande. Mais cette dépendance est-elle, comme certains l'entendent, une maladie mentale ? Et se traite-t-elle comme n'importe quelle addiction? Une étude commandée par le ministère de la Santé allemand, parue le 26 septembre, révèle que plus d'un demi-million d'Allemands seraient dépendants à internet.

Un mal qui se traduit, selon les chercheurs, par une consommation moyenne de quatre heures du média internet chaque jour. «Le temps passé sur internet est un facteur peu fiable, nuance tout de même Elizabeth Rosset, psychologue à l'hôpital Marmottan de Paris. Une personne peut passer peu de temps sur internet mais être obnubilée toute la journée par ce qu'elle va y faire». L'addiction à internet, qui provoque l'isolement et le repli social, n'est pas forcément considérée comme une maladie au sens commun du terme, bien qu'elle se soigne. Accro à internet ou aux activités sur internet ? Commentaire sur "L'addiction à internet, un mal moderne" / Figaro. Les remèdes pour les addicts du numérique se développent. Les thérapies contre l'addiction aux nouvelles technologies se développent, du papier peint anti-Wifi aux vacances 100% offline, en passant par les cures de désintoxication. « Les gens se connectent sans arrêt, partout, dans toutes les positions - au lit, au restaurant, dans les salles d'attente », constate Remy Oudghiri, directeur de l'institut de sondage français Ipsos et auteur d'un livre sur la « e-dépendance ».

Les écrans ont colonisé les années 2010. Aux États-Unis, près de la moitié des adultes disposent d'un smartphone, et plus d'un tiers arborent une tablette numérique. « Ce surgissement soudain des possibilités infinies de connexion, après une période initiale d'enthousiasme, conduit chaque utilisateur à réfléchir sur la façon de savourer l'existence tout en profitant de leur connexion. La question se pose de savoir comment éviter la dépendance », ajoute M. Oudghiri. Des chercheurs français ont créé un papier peint spécial qui bloque la transmission des ondes wi-fi. Commentaire sur "Les remèdes pour les addicts du numérique se développent" / Le Monde Informatique.