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Stéréotypes

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Méchants et méchantes chez Disney (2) : Hommes faibles. Si les méchantes sont toujours des femmes fortes, les méchants sont au contraire le plus souvent des hommes faibles.

Méchants et méchantes chez Disney (2) : Hommes faibles

Pas au sens où ils seraient moins redoutables que leurs homologues féminines, mais au sens où ils ne correspondent pas à la norme sexiste qui veut que les hommes soient virils et puissants. En effet, ils sont la plupart du temps efféminés et ne recherchent pas le combat frontal avec le héros. Comme on le verra, il existe quelques exceptions à cette règle. Le méchant est alors moins caractérisé par rapport à son sexe qu’en fonction de son appartenance ethnique et/ou de classe. Le racisme et/ou le classisme prennent alors (apparemment) le dessus sur le sexisme. Une bande d’efféminés D’un point de vue purement physique, on peut d’abord remarquer que les méchants ne sont pas aussi athlétiques et virils que les héros auxquels ils sont confrontés. Prince Jean sur un trône beaucoup trop grand pour lui. [Article] Le Statut des Femmes chez Disney : De Blanche Neige à Aurore [1937-1959] Publié le 15 août 2011 Pythagore écrivait au VIe siècle avant Jésus Christ : « Il y a un principe bon qui a créé l’ordre, la lumière et l’homme et un principe mauvais qui a créé le chaos, les ténèbres et la femme ».

[Article] Le Statut des Femmes chez Disney : De Blanche Neige à Aurore [1937-1959]

L’homme représente ainsi l’intelligence, la perfection, la bonté tandis que la femme personnifie le mal, le négatif, le danger. C’est donc en toute légitimité que le mâle peut dominer, régner, contrôler, manœuvrer la gente féminine. Cet héritage, la femme doit le subir durant des siècles : longues périodes de souffrances, de résignation, d’ignorance, où la femme n’avait même pas accès à la culture. C’est bien connu, on manipule et on soumet mieux des êtres laissés dans l’ignorance. La première héroïne à laquelle nous allons nous intéresser est une princesse, Blanche Neige, dont le film sort en 1937. Blanche Neige est menue, sans forme, une peau pâle, (c’est encore l’époque où le teint hâlé est synonyme de « populaire », la peau est donc protégée du soleil). Les célèbres personnages de Disney ne vécurent pas tous heureux : découvrez leurs véritables histoires.

Les films d’animation de Disney ont bercé plusieurs générations d’enfants à travers le monde avec leurs histoires féeriques et toujours pleines d’espoir.

Les célèbres personnages de Disney ne vécurent pas tous heureux : découvrez leurs véritables histoires

Des adaptations qui dénotent totalement avec leurs versions originales beaucoup plus… Glauques. Entrez donc dans l’univers pas si merveilleux que ça des histoires originales de ces personnages ! Blanche-Neige et les Sept Nains Le conte de Blanche-Neige et les Sept Nains nous vient d’Allemagne, où l’héroïne se nomme Schneewittchen. Si le déroulement du conte est similaire à celui vu dans l’adaptation des studios Disney, il y a tout de même quelques différences, dont quelques-unes majeures.

Les nains décident alors de lui construire un cercueil en verre, jusqu’à ce que le prince charmant ne leur demande la permission de l’emporter jusqu’à son château. Le Bossu de Notre-Dame. Les Princesses Disney vêtues comme à l'époque. Finis les anachronismes stylistiques : les princesses et héroïnes estampillées Disney sont rhabillées par l’artiste Claire Hummel et collent désormais à leur époque !

Les Princesses Disney vêtues comme à l'époque

Les héroïnes des films Walt Disney ont parfois des styles vestimentaires qui font rêver : certaines auraient voulu avoir le même manteau rouge à capuche que Belle quand elle joue dans la neige avec la Bête, d’autres rêveraient de pouvoir porter la robe à franges de Pocahontas ou la coiffe de Dame Marianne, c’est selon. Pour rendre les apparats de ces « princesses » plus réalistes et davantage ancrées dans la réalité de l’époque contemporaine à l’intrigue, Claire Hummel, diplômée de l’université de design de Rhode Island, a tout simplement décidé de redessiner tout ce petit monde. Elle a pour ce faire dû trouver la date potentielle des films animés en question avant de se pencher sur le style de l’époque. Les petites princesses et les stéréotypes dans les contes de fée. Disney est en bonne partie à l’origine de cette culture princesse et en 2009, la société a étendu son influence en présentant la première princesse afro-américaine, Tiana, dans le film d’animation La princesse et la grenouille.

Les petites princesses et les stéréotypes dans les contes de fée

Les princesses sont une très bonne affaire pour Disney. En 2000, la société a commencé à distribuer commercialement les produits dérivés liés à ses personnages pouvant être considérés comme des princesses et ces produits sont devenus l’une des sources de recettes les plus importantes de la société. Andy Mooney, qui est à l’origine de la gamme de produits princesse, a déclaré au New York Times qu’il avait eu l’idée en voyant les petites filles s’habiller en princesse (encore aucun lien avec Disney) pour assister aux spectacles de Disney sur glace. Depuis, ces produits dérivés ont envahi presque tous les aspects imaginables de la vie des enfants, de la literie aux pansements adhésifs en passant par le baume pour les lèvres.

Les petites princesses et les stéréotypes dans les contes de fée. Les stéréotypes de genre dans les dessins animés de Walt Disney - ArteHistoire. I.

Les stéréotypes de genre dans les dessins animés de Walt Disney - ArteHistoire

Les « Walt Disney »: Un succès et une influence planétaires Dès le plus jeune âge, les enfants s’identifient aux héros, héroïnes et personnages d’histoires, de contes et de dessins animés (êtres humains ou animaux) qu’ils rencontrent dans les livres, à la télévision et au cinéma. Nés dans l’esprit de Monsieur Walt Disney au début du XXème siècle, les films d’animation du même nom rencontrent rapidement un vif succès cinématographique dès les années 1930, puis télévisuel.

TOP TEN - Les méchants Disney. Stéréotypes dans les dessins animés. Pourquoi existe-t-il des dessins animés qui montrent des petits garçons qui construisent des appareils extraordinaires et des petites filles qui savent bien s'habiller ?

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Peut-être parce que le public demande cela ? " Généralement, à partir de six ans, au sortir de la crise oedipienne, le choix des héros est fonction du sexe de l'enfant. Auparavant, les identifications sont nettement moins sexuées. Les concepteurs proposent aux plus jeunes des héros anthropomorphes qui leur rappellent leur « doudou » préféré : ourson, lapin, tortue, souris. Rondeur et douceur sont de mise : l'aspect maternel, rassurant, plaît aux petits. Dès que l'enfant marche et se sent indépendant, il réclame des personnages plus toniques, plus typés, dont il peut rapidement distinguer qu'il s'agit d'une fille ou d'un garçon. " Les comportements de chaque enfant seront le reflet de ses composantes individuelles - son tempérament - et de sa manière à entrer en relation avec les autre - son caractère. 1. 2. 3. 4. 5. 6.

L'image des femmes à travers Disney de 1937 à nos jours. Point Culture : les méchants Disney. [Mémoire] Des Thèmes Fédérateurs et Universels. Précédemment, on a vu que le succès des films des studios Disney était du, pour une part, au climat qui régnait dans les studios et à l'âme insufflée par leurs créateurs.

[Mémoire] Des Thèmes Fédérateurs et Universels

Mais la véritable clé du succès vient des thèmes véhiculés dans leurs différents films d'animation. Walt Disney a toujours dit qu'il faisait des films pour les personnes qui avaient gardé intacte la petite lueur de leur enfance. Il a ainsi instauré une recette pour la réussite de ses films d'animation et qui, 70 ans après la création de son premier cartoon, est encore appliquée. Cette recette est un savant mélange de manichéisme (héros contre méchants), d'humour et de personnages secondaires. 2.1-L'histoire d'un héros Pour de nombreuses personnes, les films d'animation Disney sont tirés de contes de fées qui sont très manichéens.

Dagorne e.