background preloader

E-Commerce

Facebook Twitter

[Infographie]: Pourquoi 70% des visiteurs abandonnent leur panier ? Kamel LEFAFTA – Article mis à jour le 26 août En 2013, les français ont dépensé 51 milliards d’euros sur les sites de vente en ligne, pour 600 millions de transactions.

[Infographie]: Pourquoi 70% des visiteurs abandonnent leur panier ?

Pourtant, le panier moyen a reculé de 3,5% par rapport à 2012, pour s’établir à 83 €. Même les performances de conversion sont globalement mauvaises. La faute à un phénomène persistant: l’abandon de panier.7 visiteurs sur 10 s’adonnent à cette pratique, devenue pour les e-commerçants un véritable fléau, contre lequel ils semblent désarmés. Pourtant des solutions existent… Cet article est accompagné d’une infographie réalisée pour les besoins de ce billet et mise à jour au cours du mois d’août. Le contexte On parle d’abandon de panier, lorsque le visiteur d’un site de vente en ligne, ajoute un produit à son panier mais ne finalise pas sa commande. 70% des personnes qui ajoutent un produit à leur panier l’abandonnent dans les minutes qui suivent cet acte. Demain, le commerce conversationnel. Jonathan Libov (@libovness) est partenaire du fond d'investissement Union Square Ventures.

Demain, le commerce conversationnel

Développeur, il est également responsable de produit chez Appsfire. Sur son blog, il revenait récemment sur l'avenir du texting avec force exemples, qui méritent qu'on y porte attention. L'autorité métropolitaine des transports de New York dispose de nombreuses applications pour guider les voyageurs, mais elle propose également BusTime, un système qui permet d'accéder à ces mêmes fonctionnalités par SMS permettant de connaître l'horaire de passage des prochains bus via un robot qui répond aux SMS.

Un numéro de téléphone unique, le numéro de bus, le code de la station (qui est indiquée sur chacune et que l'on retrouve sur le net), ou le numéro des routes d'intersection à proximité suffisent au robot pour comprendre vos messages textuels et vous renvoyer l'information correspondante (vidéo). Image : copie d'écran de ce que pourrait Bus Time. Image : exemple de conversation sur Magic. Amazon transpose les achats en "1-click" à la vie réelle. Aux États-Unis, Amazon présente une nouvelle option pour faciliter les commandes sur son site Internet : des boutons dédiés pour chaque produit.

Amazon transpose les achats en "1-click" à la vie réelle

Amazon multiplie les tentatives pour amincir les frontières entre sa plateforme en ligne et le foyer du consommateur. En avril dernier, le cyber-marchand présentait l'Amazon Dash, une télécommande connectée en Wi-Fi et permettant de scanner le code barre des articles que l'on souhaite ajouter à son panier. Le concept est désormais décliné en plusieurs appareils dédiés. Si le scan d'un code-barre est encore trop compliqué pour ajouter un article à son panier, Amazon propose désormais aux Américains de presser simplement un poussoir. La firme de Jeff Bezos a signé avec plusieurs sociétés pour apposer leur marque sur de petits appareils connectés pourvus simplement d'un bouton.

L'objectif est d'éparpiller dans le foyer ces mini télécommandes par exemple dans la salle de bain, les toilettes ou sur la machine à laver. Magic : la start-up qui satisfait tous vos désirs (dans la limite de la légalité) - JDN. Un simple échange de textos suffit pour définir le prix et l'heure de livraison du produit commandé.

Magic : la start-up qui satisfait tous vos désirs (dans la limite de la légalité) - JDN

Une promesse qui emballe utilisateurs et investisseurs. Magic, la dernière start-up à mettre la Silicon Valley en émoi, n'a pas d'application, pas plus qu'elle n'a d'interface Web. Mais le service a pour lui une promesse aussi simple qu'excitante : vous livrer littéralement tout ce que vous voudrez (dans la limite de la légalité). Envie de sushis alors que vous êtes à la plage ? Besoin de prendre un vol New-York - Boston le lendemain ? Pas besoin ici d'installer une application, de subir les quelques minutes que nécessite une inscription ou de devoir parcourir les pages de l'application pour trouver son bonheur. Pour l'instant uniquement circonscrite aux Etats-Unis (un service baptisé Clac Des Doigts a vu le jour en France), la société est déjà victime de son succès, en témoigne la file d'attente qui s'accumule lorsqu'un utilisateur passe commande aux heures les plus fréquentées.

E-commerce : les comportements d'achat de huit pays à la loupe - Actualité : Distribution (#473375) Pourquoi le commerce en ligne et de proximité vont "fusionner" Que le commerce en ligne soit dans l'air du temps et jouisse d'une croissance solide ne signifie pas qu'il est rentable.

Pourquoi le commerce en ligne et de proximité vont "fusionner"

Fui par les investisseurs et les distributeurs, il va (déjà) devoir se réinventer. Pour le moment, les e-commerçants (en général) ont confiance en leur avenir. Selon le baromètre mesurant le moral du secteur établi par la Fevad, 82% des acteurs se déclarent autant ou plus optimistes en 2015 que l'année précédente. Lorsqu'on leur demande si leur boutique en ligne sera en croissance dans les douze prochains mois, 78% le pensent. Mieux : alors que le commerce en ligne est réputé pour être peu, voire pas rentable, 61% escompteraient une amélioration de leur marge nette, apprend l'enquête de la Fevad.