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Les comportements addictifs liés à l'usage numérique

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Définition et typologie de la cyberdépendance. Définition et typologie de la cyberdépendance Désignant, à l’origine, toute dépendance à l’ordinateur, ou plus largement à l’univers informatique, ce terme est aujourd’hui utilisé principalement pour désigner une dépendance qui s'instaure chez une personne faisant un usage distordu des moyens de communication offerts par Internet. Cette personne est dans la recherche constante de connexion au réseau informatique afin d’y établir une communication, d’ y trouver une information, du sexe ou du jeu virtuel. Elle éprouve une anxiété désorganisatrice si elle ne peut pas se connecter, et sa vie personnelle et sociale s'organise autour de la connexion. À l'image d'une toxicodépendance, le cyberdépendant manifeste un phénomène de manque et peut recourir au mensonge pour réduire l'importance de son addiction. La typologie de la cyberdépendance décline 4 quatre types majeurs : Extrait du livre "cyberdépendance en 60 question" de Jean-Charles Nayebi, RETZ, Paris.

Dépendance à Internet. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La dépendance à Internet (également nommée cyberdépendance cyberaddiction usage problématique d'Internet (UPI) ou trouble de dépendance à Internet (TDI)) désigne un trouble psychologique entraînant un besoin excessif et obsessionnel d'utiliser un ordinateur et interférant sur la vie quotidienne.

Des activités en ligne, telles que l'achat en ligne, si faite en personne, peuvent être considérées comme problématiques si celles-ci sont compulsives. Signes et symptômes[modifier | modifier le code] D'après le spécialiste français Romain Cally « sur le web, la compulsion apparaît lorsque l'internaute ne juge plus son comportement normal, mais ne peut pour autant éviter de se connecter. Symptômes psychologiques allégués[9] : Symptômes physiques allégués[10] : yeux secs ;maux de tête migraineux ;maux de dos ;syndrome du tunnel carpien ;repas irréguliers ou sautés ;mauvaise hygiène personnelle ;insomnies ou changements dans le cycle du sommeil.

D. Psychologie : Note : Wikipédia. Quand l'utilisation d'Internet devient un problème. Note : Cyberdépendance.ca. Etes-vous nomophobe? La nomophobie? C’est une nouvelle «maladie», ou au moins déviance, dont le diagnostic est le suivant: souffrir de ne pas avoir son téléphone portable à portée de main. Une enquête britannique très sérieuse, reprise par le Los Angeles Times, vient de révéler, en effet, que 66% des personnes interrogées reconnaissaient être nomophobes, c’est-à-dire craindre de perdre leur mobile ou de le voir trop loin d’eux.

Il y a quatre ans, le même sondage avait enregistré un taux de seulement 53%. Dans le détail, les femmes s’avéreraient plus nomophobes (70%) que les hommes (61%) sachant que les 18-24 ans seraient les plus sérieusement atteints avec un total de 77% devant les 25-34 ans (68%). Selon le site allaboutconselling.com, la nomophobie peut se traduire par des attaques de panique, une respiration qui deviendrait courte, des nausées, des tremblements ou un rythme cardiaque accéléré. Comment en guérir? Photo: Le nouveau Windows Phone, octobre 2010.REUTERS/Jessica Rinaldi publicité Devenez fan sur. Mieux comprendre les addictions. Compte-rendu des JOURNÉES GRAND PUBLIC SUR LE THÈME DES ADDICTIONS 2013 Cliquez pour télécharger le résumé en version pdf La Fédération pour la Recherche sur le Cerveau et Réunica sont partenaires depuis trois ans pour financer des projets de recherche sur le cerveau, contribuer à la campagne nationale du Neurodon lors de la Semaine du Cerveau et mettre en place des actions de sensibilisation.

Quatre journées dédiées aux addictions ont, dans le cadre de ce partenariat, été organisées en 2012 et 2013 à Paris, Strasbourg, Marseille et à Besançon. L’objectif était de présenter au public l’état actuel des connaissances permettant la compréhension des addictions ainsi que les dernières avancées de la recherche scientifique en la matière. Un guide « quand mon cerveau devient accro » et une z-card « addictions, attention !

1- Addiction aux substances et rôle du cerveau dans les addictions L’addiction – une pathologie multifactorielle Le terme « addiction » est souvent utilisé à mauvais escient. M. Comprendre les mécanismes de l'addiction. Addictions. Dossier réalisé en collaboration avec Bertrand Nalpas, Directeur de recherche à l’Inserm et chargé de mission Addiction – Décembre 2014 Les addictions les plus répandues concernent le tabac (nicotine) et l’alcool. Viennent ensuite le cannabis et, loin derrière, les opiacés (héroïne, morphine), la cocaïne, les amphétamines et dérivés de synthèse. Il existe également des addictions liées à des activités (et non à des substances), comme les jeux d’argent, les jeux vidéo, le sexe ou encore les achats compulsifs.

Des substances plus ou moins addictives souvent testées à l’adolescence Des dépendances peuvent survenir à tout moment de l’existence, mais la période de 15 à 25 ans est la plus propice à leur émergence. Le comportement à risque des adolescents et des jeunes adultes facilite en effet les premières expériences, et l’usage précoce de drogues expose à un risque accru d’apparition d’une addiction par la suite. Part des usagers développant une dépendance à la substance qu'ils consomment. Inserm : Addictions.