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Google / moteurs de recherche

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840 millions d’euros investis par 6 227 annonceurs dans le paid search en 2013 selon Kantar Media. 840 millions d’euros, c’est le montant des investissements nets en référencement payant (SEA) sur l’année 2013 en France, selon la nouvelle mesure de Kantar Media Ad Intelligence lancée en janvier 2013 (voir archive). Ils sont réalisés par 6 227 annonceurs, dont 991 annonceurs exclusifs search. L’institut publie un bilan annuel du paid search, sur la base de divers indicateurs (investissements, impressions, clics…). La saisonnalité des investissements est peu marquée : les pics de janvier et décembre dépassent les 80 millions d’euros tandis que les creux d’août et septembre flirtent avec les 60 millions d’euros.

Le mois moyen est à 70,04 M€. Les 10 premiers secteurs économiques représentent 86% des investissements avec en tête les Etablissements financiers et Assurances (131 M€), le Voyage Tourisme (129 M€), la Distribution (109 M€) et les Services (102 M€). Nobody Really Likes Google Glass. Comment les Google Glass vont bouleverser les usages. Si leur fonction vidéo a déjà fait l'objet d'innombrables démonstrations, les lunettes connectées pourraient se révéler utiles dans de nombreux autres domaines... Selon Business Insider Intelligence, le marché des Google Glass pèsera 11 milliards de dollars en 2018 et 21 millions de paires seront alors vendues annuellement. Rapidement, les Google Glass deviendront un produit mainstream. Soit. Mais pour quelle utilisation ? Peu d'applications ont d'ores et déjà été dévoilées. Envoyer des SMS et passer des appels sera possible en se connectant via bluetooth sur son smartphone.

Pour regarder la météo, chercher un restaurant, partager des photos ou effectuer une simple recherche, la connexion wifi suffira. "L'intérêt principal, c'est d'avoir un afficheur mains-libres", explique Kayvan Miza, CEO et cofondateur de Optivent. Le Congrès américain craint pour la protection de la vie privée Vers une interdiction des Google Glass au volant ? Aéronautique, militaire et médecine. Google may be winning battles with publishers, but it is losing the war. Google is clearly trying hard to portray a new German law involving the republishing of news as a victory, and some observers seem to agree, saying the company “defeated” publishers who wanted it to pay for the right to publish excerpts.

But if you look more closely, this is not an obvious win for the search giant — just as recent deals with French publishers and Belgian publishers were a lot closer to being a saw-off for both sides than an outright win. And with every deal it strikes, Google makes it harder to argue that paying publishers for excerpts is unnecessary and even counter-productive — or that there is something to be gained by allowing even large companies to engage in the “fair use” of content for the larger good. As my colleague David Meyer has reported, Germany’s lower level of government, the Bundestag, passed a bill on Friday known colloquially as the “Google Law.” Is it a victory for Google? Has Google lost the will to fight? Quels grands sites marchands sont les plus dépendants de Google ? Le JDN et Comscore ont observé la part de Google dans le trafic des dix premiers e-commerçants français.

Le plus dépendant est eBay, dont 63% des visiteurs proviennent du moteur. Parmi les dix sites marchands français enregistrant la plus forte audience en décembre 2012, c'est eBay dont le trafic en visiteurs uniques provient en plus grande partie du moteur de recherche. En décembre 2012, Google lui a apporté 62,8% de son audience en VU. eBay est talonné par Cdiscount, dont l'audience est à 62,6% apportée par le moteur. Fnac.com suit à 57,3%, juste devant Amazon à 56,8%. Les cinq autres e-commerçants observés limitent davantage leur dépendance à Google, ramenée entre 40% et 50% du nombre de leurs visiteurs uniques. Une autre façon de considérer le poids de Google dans l'audience des e-commerçants consiste à mesurer non le nombre de visiteurs uniques mais celui des "entrées", c'est-à-dire le nombre de fois que le trajet de Google vers le site marchand a été réalisé pendant le mois.

[Infographie] Comment Google contourne le fisc en Europe. Selon le Figaro, l’OCDE, organisation de coopération et de développement économique qui lutte contre les paradis fiscaux, a décidé de s’attaquer aux pratiques actuellement légales des multinationales (Google, Amazon, Apple, Ebay, Starbucks) pour échapper à l’impôt sur le lieu de leur activité. Un processus complexe que FrenchWeb vous avait détaillé début septembre. C’est ainsi qu’à l’occasion du prochain G20 Finances, organisé les 14 et 15 février prochain à Moscou, l’OCDE présentera son projet avant de proposer un plan d’action détaillé en juillet ou en septembre. Elle envisage, selon Le Figaro, d’interdire les sociétés qui ne sont reliées à aucune activité physique, mais également de «neutraliser» les sociétés hybrides qui permettent une double nationalité fiscale. Pour plus d’informations, vous pouvez consulter l’article du Figaro sur le sujet ou notre article Amazon, Google, Apple, des milliards au soleil. [Sémantique] Faut-il craindre le moteur intelligent de Google ?

La question connaît une nouvelle actualité depuis que le Wall Street Journal rapportait il y a quelques jours des propos d’Amit Singhal, figure de la R&D chez Google. On savait depuis le rachat en 2010 de Metaweb Technologies, le spécialiste de la sémantique, que Google s’intéresse fortement à la possibilité de fournir aux internautes des réponses directes à des questions complexes. Le moteur le fait déjà sur des recherches basiques (météo, cinéma, calcul…) mais pourrait lancer prochainement, dans une nouvelle dimension sémantique, un vrai pavé dans la mare du search. Son moteur, rendu « intelligent » serait à même de fournir des réponses très qualifiées et directes à des recherches pointues, résultats qui viendraient bien sûr se positionner en première position des pages de recherche au détriment potentiel de tous les services développés avec pertinence autour du référencement naturel.

On pense évidemment à Wikipédia. Google baisse les tarifs de Maps pour conserver ses clients. Contraint de revoir son tarif à la baisse suite à la fuite de gros clients tels qu'Apple ou Foursquare, Google rend l'API de son service "Maps" plus accessible aux éditeurs. Quelques jours avant sa conférence annuelle, Google vient d'annoncer une baisse conséquente du tarif d'accès à l'API de son service Maps, lequel est divisé par 8, passant de 4 dollars pour 1 000 chargements à 50 centimes. Autre changement, Google ne fait plus la différence entre les cartes classiques et les cartes personnalisées. Ces dernières étaient soumises à facturation à partir de 2 500 chargements alors que les premières étaient gratuites jusqu'à 25 000 chargements.

Ce n'est plus le cas et seules les services dépassant les 25 000 cartes publiées chaque jour pendant 90 jours consécutifs seront soumises à ces frais.