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Philosophie

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Giancarlo Esposito. Early life[edit] Esposito was born in Copenhagen, Denmark, the son of an Italian father and an African American mother. His mother was an opera and nightclub singer from Alabama, and his father was a stagehand and carpenter from Naples.[1][2][3] Esposito lived in Europe, until the family settled in Manhattan when he was six. Career[edit] Esposito made his Broadway debut (1966) at age eight playing a slave child opposite Shirley Jones in the short-lived Maggie Flynn.[4] Personal life[edit] Esposito married Joy McManigal in 1995; they later divorced.[8] Filmography[edit] Film[edit] Television[edit] Awards and nominations[edit] References[edit] External links[edit]

Philosophy since the Enlightenment, by Roger Jones.

Nietzsche

Philosophie de l'action. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. la nature de l’action (est-ce nécessairement un mouvement corporel ? Est-ce que l’intentionnalité caractérise l’action ?) ,le problème de l’individuation des actes (est-ce que déplacer sa reine et mettre son adversaire en échec et mat sont une seule et même action ?) ,le problème de l’explication de l’action : est-ce que l’intentionnalité peut suffire à expliquer l’action humaine ou bien faut-il aussi tenir compte de phénomènes causaux ? Le père de la philosophie de l’action est incontestablement Aristote qui en posa les fondements dans l’Éthique à Nicomaque. Le problème de l’explication de l’action humaine[modifier | modifier le code] On dit que la philosophie de l’action est née suite à une question fameuse de Wittgenstein : que reste-t-il du fait que je lève le bras si on soustrait le fait que mon bras se lève ?

Rapport de la philosophie de l’action avec les autres branches de la philosophie[modifier | modifier le code] Philosophie du langage. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les Ménines de Diego Velázquez (1657). « Mais le rapport du langage à la peinture est un rapport infini (...) Ils sont irréductibles l'un à l'autre: on a beau dire ce qu'on voit, ce qu'on voit ne loge jamais dans ce qu'on dit, et on a beau faire voir, par des images, des métaphores, des comparaisons, ce qu'on est en train de dire, le lieu où elles resplendissent n'est pas celui que déploient les yeux, mais celui qui définissent les successions de la syntaxe. Or le nom propre, dans ce jeu, n'est qu'un artifice: il permet de montrer du doigt, c'est-à-dire de passer subrepticement de l'espace où l'on parle à l'espace où l'on regarde, c'est-à-dire de les refermer commodément l'un sur l'autre comme s'ils étaient adéquats (...)

Peut-être y a-t-il, dans ce tableau de Velázquez, comme la représentation de la représentation classique, et la définition de l'espace qu'elle ouvre. » Michel Foucault, Les mots et les choses, introduction. Philosophie de l'esprit.