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Autopsie=>SVT

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LES PRELEVEMENTS D’AUTOPSIE NECESSAIRES A LA BONNE EXECUTION DES EXPERTISES TOXICOLOGIQUES « Documents de Médecine Légale. Dans nombre d’affaires criminelles des cinquante dernières années, des problèmes de prélèvements à visée toxicologique sont apparus. Soit, ils n’ont pas été réalisés, ou en quantité insuffisante, soit ils ont été mal prélevés, ou enfin mal conservés. Ces faits déplorables, déjà anciens, et les batailles d’experts comme d’avocats, qui s’en sont suivies, ont donné une vision négative de la toxicologie médico-légale en France. Le problème de la nature et de la quantité des prélèvements n’est pas nouveau et certains médecins légistes l’avaient déjà posé.

Citons LECOMTE et NICOLAS : " la toxicologie est un domaine rempli d’embûches et une source de contestations, le toxicologue est d’abord tributaire du médecin légiste qui réalise les prélèvements, temps essentiel et irréversible ( … ) " [15]. En 1990, DURIGON dresse la liste de prélèvements à effectuer [10] : sang, urine, bile, contenu gastrique, viscères, cerveau, poumon, cheveux, ongles et os. - nom patronymique – prénom - nom marital 1. 2. Empreinte digitale. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Photo d'empreinte digitale.

Une empreinte digitale ou dactylogramme est le résultat de l'apposition d'un doigt sur un support après encrage de celui-ci. Le dessin formé sur le support est constitué de dermatoglyphes. Les empreintes digitales sont uniques et caractéristiques de chaque individu. Même les vrais jumeaux présentent des empreintes digitales différentes. .

Une trace digitale, terme plus général, est le résultat d'un contact entre un doigt et un support, l'empreinte digitale étant un exemple de trace digitale. Les procédés d'identifications des individus par leurs empreintes digitales sans aide d'ordinateur s'appellent la dactylotechnie[1]. Par analogie, on parle d'empreinte vocale[5] authentifiée par des techniques de reconnaissance du locuteur (en). Historique[modifier | modifier le code] Dermatoglyphes du doigt montrant les crêtes et plis papillaires. Étude des traces digitales[modifier | modifier le code] La trace digitale peut être : Histoire des poisons. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. histoire des poisons [1] s'étend de 4500 av.

J. -C. à nos jours. Les poisons ont été utilisés à de nombreuses fins, au fil de l’histoire humaine, plus communément comme arme, antidote au venin et médicament. Le poison a été à l’origine de beaucoup de progrès dans différentes branches de la médecine, comme la toxicologie et la technologie, parmi d’autres sciences. Le poison a été découvert dans l’antiquité et a été utilisé par les tribus et les civilisations anciennes comme outil de chasse pour accélérer et assurer la mort de leurs proies ou de leurs ennemis.

Dans l’Europe médiévale, le poison est devenu une des méthodes d'assassinat les plus populaires, même si des antidotes sont apparus pour beaucoup de substances parmi les poisons les plus largement répandus. Au cours des siècles, l'usage de poisons à des fins répréhensibles a continué à se répandre. Antiquité et préhistoire[modifier | modifier le code] Inde[modifier | modifier le code] Souris. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Liste des sous-espèces[modifier | modifier le code] Certaines bases comme MSW admettent un sous-genre Mus (Mus) et plusieurs sous-espèces : sous-espèce Mus (Mus) musculus bactrianus - Souris orientalesous-espèce Mus (Mus) musculus castaneus - Souris domestique thaïlandaisesous-espèce Mus (Mus) musculus domesticus - Souris des grenierssous-espèce Mus (Mus) musculus gentilulussous-espèce Mus (Mus) musculus musculus - Souris des champs Auxquelles il faut ajouter une sous-espèce éteinte depuis 1930 : sous-espèce Mus musculus muralis - Souris domestique de Saint-Kilda Ces sous-espèces peuvent se croiser : on connaît l'hybridation naturelle entre Mus musculus domesticus et Mus musculus castaneus en Californie.

Description de l'espèce[modifier | modifier le code] Morphologie[modifier | modifier le code] Représentation d'une souris dans quatre positions par Jacques de Gheyn (1565-1629). Tête[modifier | modifier le code] Tronc[modifier | modifier le code] Sang. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Au contact du dioxygène, le sang doit sa couleur rouge à l’hémoglobine. Le sang est un tissu conjonctif fluide vital qui circule continuellement dans les vaisseaux sanguins et le cœur.

Ce liquide sert à diffuser le dioxygène (O2) et les éléments nutritifs nécessaires aux processus vitaux de tous les tissus du corps, et à transporter les déchets tels que le dioxyde de carbone (CO2) ou les déchets azotés vers les sites d'évacuation (reins, poumons, foie, intestins). Il sert également à amener aux tissus les cellules et les molécules du système immunitaire, et à diffuser les hormones dans tout l’organisme. Chez l'adulte, c’est la moelle osseuse qui produit les cellules sanguines au cours d’un processus appelé hématopoïèse.

Origines du sang[modifier | modifier le code] Le sang est à première vue reconnaissable à l'ouverture des tout premiers vertébrés, comme la Lamproie marine, Petromyzon marinus, espèce vivant encore actuellement. Détection sang Luminol. Extraction d'ADN. Acide désoxyribonucléique. Structure de la double hélice d'ADN. Pour les articles homonymes, voir DNA. Propriétés générales[modifier | modifier le code] Classification et appariement des bases nucléiques[modifier | modifier le code] Les quatre bases nucléiques de l'ADN sont de deux types : d'une part les purines — adénine et guanine — qui sont des composés bicycliques comprenant deux hétérocycles à cinq et six atomes respectivement, d'autre part les pyrimidines — cytosine et thymine — qui sont des composés monocycliques comprenant un hétérocycle à six atomes. Les paires de bases de la double hélice d'ADN sont constituées d'une purine interagissant avec une pyrimidine à travers deux ou trois liaisons hydrogène : une adénine interagissant avec une thymine à travers deux liaisons hydrogène ;une guanine interagissant avec une cytosine à travers trois liaisons hydrogène.

Appariements non canoniques entre bases nucléiques[modifier | modifier le code] Appariements AT et GC : Watson-Crick (en haut) et Hoogsteen (en bas). Scene de crime.