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Endoctrinement

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JIM.fr - La médecine face aux sectes. Paris, le mardi 30 janvier 20018 - La santé apparaît comme l’un des domaines les plus touchés par les dérives sectaires.

JIM.fr - La médecine face aux sectes

Quelle vie après le niqab ? Rencontre avec celles qui ont retiré le voile. Il est beaucoup question aujourd’hui de désaffiliation djihadiste, de celles et ceux qui affirment sortir du djihad pour revenir en Europe, jurant s’être « déradicalisés » telle la djihadiste et convertie Emilie König dont l’arrestation en Syrie par les forces kurdes a fait grand bruit en France.

Quelle vie après le niqab ? Rencontre avec celles qui ont retiré le voile

Mais qu’en est-il des autres ? Certaines femmes pratiquant un islam dit salafiste piétiste ou quiétiste, sans recours à la violence, ont toujours refusé la guerre, tout en portant le voile intégral, ou niqab. Or certaines décident d’en sortir un beau jour et retirent tout, même le foulard sur la tête, ce qui peut aussi s’apparenter à un désengagement militant. Hanane et Alexia (pseudonymes) sont nées en France. Le fait religieux - @theconversation. Faire la différence entre l'influence et l'aliénation. L’influence désigne l’action exercée par une chose ou une personne sur quelqu’un ou quelque chose.

Faire la différence entre l'influence et l'aliénation

À l’origine, une action attribuée aux astres : un flux déversé par eux agissant sur les hommes et les choses1. Cette connotation mystérieuse a probablement favorisé les évocations négatives d’ascendance, de domination et de puissance. S’il est en général peu valorisant de se reconnaître influencé par quelqu’un ou quelque chose, il est paradoxalement devenu très prisé d’être considéré comme un influenceur. Paradoxalement puisqu’il n’y a pas d’influenceur sans influencé… Qu’en est-il alors des marques et de la communication qu’elles mettent en œuvre ?

Le registre est-il celui de l’influence, relève-t-il de la manipulation, et de quoi ? Le « pourquoi du comment du pourquoi du comment » … Mon père m'a séquestrée pendant 14 ans: seule, dans le noir, je devais méditer sur la mort. Maude Julien a écrit une livre témoignage intitulé "Derrière la grille" (Éditions Stock/Alain Schmidt) Bien des années avant ma naissance, mon père avait mis en place un projet vertigineux dans lequel je devais tenir le rôle central.

Mon père m'a séquestrée pendant 14 ans: seule, dans le noir, je devais méditer sur la mort

Ma mère a été sa première victime. Elle était la dernière enfant d’une famille pauvre et n’avait que six ans quand mon père a proposé à ses parents de "prendre soin" d’elle : il lui ferait faire de belles études, elle mangerait à sa faim, ne manquerait de rien, en échange de quoi sa famille s’engageait à ne pas la revoir, ni à la reprendre. La proposition a été acceptée et ma mère est partie vivre chez mon père. Ma mère a donc fait de belles et longues études. Je suis née en 1957. Pour mon père, je devais "relever l’humanité" Mes premiers souvenirs remontent à mon arrivée dans cette maison lugubre du nord de la France. À partir de ce jour-là, il a été décidé que je suivrais un enseignement à domicile. Comment des hommes ordinaires deviennent des extrémistes.

Après les attentats qui ont marqué l’année 2015, nombreux sont ceux à s’être exclamés que nous vivions dans “un monde de fous”.

Comment des hommes ordinaires deviennent des extrémistes

Pourtant, pour le sociologue Gérald Bronner, les terroristes islamistes – et les extrémistes en général – ne sont “ni fous, ni désocialisés, ni même idiots”. Dans son livre La pensée extrême. Comment des hommes ordinaires deviennent des fanatiques réédité en janvier 2016, il fait le pari audacieux de casser les stéréotypes sur les fanatiques. Tout en critiquant les interprétations “pseudo sociologiques” de l’extrémisme, qui le cantonnent à des déterminants sociologiques et économiques en oubliant son caractère éminemment idéologique, Gérald Bronner rappelle que le fanatisme ne se limite pas à l’islamisme. La pensée extrême peut autant être exprimée par un jeune peintre japonais, qui s’est jeté du haut d’un immeuble en 1959 pour s’écraser sur une toile posée sur la chaussée, que par des groupes sectaires.

"Marie Curie aussi utilisait un pendule" : le gourou était chercheur au CNRS. La première fois qu'Alain (1) s'est rendu à un séminaire de la Grande Mutation à Paris en 2010, ce cadre quinquagénaire est resté perplexe : les hommes dans le public portaient une longue barbe, une queue-de-cheval ou une fine tresse.

"Marie Curie aussi utilisait un pendule" : le gourou était chercheur au CNRS

La conférence traitait pêle-mêle des énergies vibratoires, du double céleste trans-terrestre, des civilisations anciennes... J'ai compris à peine 10% de ce qu'on y racontait mais j'étais intéressé. Toute cette culture, je trouvais cela fascinant. " ISIS and the Lonely Young American. Advertisement Error Continue reading the main story Video Alex, a 23-year-old Sunday school teacher and babysitter, was trembling with excitement the day she told her Twitter followers that she had converted to Islam.

ISIS and the Lonely Young American

For months, she had been growing closer to a new group of friends online — the most attentive she had ever had — who were teaching her what it meant to be a Muslim. Increasingly, they were telling her about the Islamic State and how the group was building a homeland in Syria and Iraq where the holy could live according to God’s law. One in particular, Faisal, had become her nearly constant companion, spending hours each day with her on Twitter, Skype and email, painstakingly guiding her through the fundamentals of the faith. But when she excitedly told him that she had found a mosque just five miles from the home she shared with her grandparents in rural Washington State, he suddenly became cold.

Comment les islamistes radicaux endoctrinent les ados françaises. Elles n'ont parfois que 14 ans.

Comment les islamistes radicaux endoctrinent les ados françaises

Approchées par des entremetteuses ou autres « princes charmants barbus », elles quittent leur pays en pensant sauver les enfants syriens. Et laissent des familles dévastées, découvrant avec horreur sur Facebook des conversations surréalistes et des photos en niqab. Dounia Bouzar a accompagné 150 familles de jeunes radicalisés, qu’ils aient ou non gagné le terrain d'une supposée guerre sainte. Devant l’étendue du phénomène, elle a fondé en avril le Centre de prévention contre les dérives sectaires liées à l’Islam (CPDSI) avec d’autres experts.

Dans son livre Ils cherchent le paradis, ils ont trouvé l’enfer (Éd. de l'Atelier), publié en octobre, elle livre un récit poignant directement issu de leurs témoignages. Le Figaro/madame.fr.– Dans votre récit, beaucoup de témoignages concernent l’endoctrinement de jeunes filles. Dounia Bouzar.– Effectivement, dans un premier temps ce sont uniquement des parents de filles qui m’ont appelée.