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Des radicaux opposés à l'État ciblent des juges et des policiers du Québec | Vincent Larouche | Affaires criminelles. Les «Freemen on the Land» ou «Sovereign Citizens» (Citoyens souverains) sont déjà bien connus des autorités de plusieurs communautés anglophones nord-américaines. Ils rejettent vigoureusement l'État, le système économique, les services publics, les lois, qu'ils assimilent à une vaste conspiration dont ils peuvent prétendument s'extirper grâce à leurs soi-disant connaissances juridiques et constitutionnelles. Ils se rebellent au point de cesser de payer leurs factures, de rouler en voiture sans plaque d'immatriculation et de résister à la police.

Une des tactiques des Freemen est l'envoi de correspondance pseudojuridique et l'inscription d'hypothèques mobilières sur les possessions de représentants de l'ordre qu'ils accusent d'avoir outrepassé leur autorité en s'attaquant à une «personne souveraine» comme eux. Ce phénomène est peu connu au Québec et peut paraître étrange à première vue. «Tout s'est produit l'année dernière, raconte-t-il, dans un entretien avec La Presse. Parade en place. La Suède et le Québec qu'elle nous inspire - La gouvernance par le savoir. La résilience de la social-démocratie en Suède repose sur la façon dont les citoyens prennent leurs décisions.

L’élaboration des politiques publiques est délibérative, ce qui suppose de longues périodes d’analyse et d’évaluation par des spécialistes bien formés, ainsi que des consultations publiques rigoureuses. Au cours de ce processus, de grands efforts sont déployés pour acquérir une connaissance aussi complète que possible d’une question donnée, notamment par un examen approfondi des expériences historiques ainsi que des solutions de rechange proposées par les chercheurs, en Suède comme à l’étranger. Toutes les parties intéressées sont mises à contribution.

Par exemple, en matière d’acceptabilité sociale d’un projet donné, le gouvernement suédois s’oblige à consulter par écrit une liste d’organismes représentant tous les secteurs de la société civile qui sont appelés à donner leur opinion sur le projet. Un peu comme les conseils québécois, les agences sont indépendantes. The Radiation Warnings You Won’t Get from the Mainstream Propaganda Machine.

The mainstream media and the federal government will soon have the blood of the world on it’s hands. Radiation from the Fukushima Nuclear Plant disaster in Japan is now actively in the ecosystem all along the North American west coast… even the sea weed is now radiated. The Vancouver Sun reported one year ago that the seaweed tested from waters off the coast of British Columbia were 4 times the amount considered safe.

No further test results were released after the initial report. The governments of the United States and Canada are not conducting tests for radioactivity – at least not to the knowledge of the public. Secretary of State Hillary Clinton has agreed to continue purchasing seafood from Japan, despite the fact that the food is not being tested for radioactive contamination. Last November, independent testing in Japan showed 65 per cent of the catches tested positive for cesium (a radioactive material). This means the ocean isn’t diluting the radiation as expected. Les parents-rois s'installent à l'école.

Un nouvel empereur essaie de diriger le quotidien des enseignants. Après l'enfant-roi qui fait la pluie et le beau temps dans la classe, c'est désormais le tour du parent-roi de semer ses exigences et de dicter la conduite du prof, bafouant au passage le cadre scolaire et la gestion de classe. Dérangés par ces parents interventionnistes, des enseignants s'inquiètent du règne du «Moi, mon enfant»... Dans une petite école primaire de la région montréalaise, une enseignante ébahie a un jour reçu un coup de fil d'une maman d'élève qui s'indignait du choix littéraire pour la composition hebdomadaire. Le roman policier imposé comme lecture à l'ensemble de la classe heurtait, semble-t-il, certaines valeurs familiales. «Mon enfant, tonna la mère indignée, ne lira pas ce volume.

Choisissez plutôt un roman historique.» Un parent a déjà supplié une enseignante de cinquième année de modifier le C de comportement tristement affiché sur le bulletin de sa fille. L'école à la carte? Site complet. America's Real Criminal Element: Lead. Illustration: Gérard DuBois When Rudy Giuliani ran for mayor of New York City in 1993, he campaigned on a platform of bringing down crime and making the city safe again. It was a comfortable position for a former federal prosecutor with a tough-guy image, but it was more than mere posturing. Since 1960, rape rates had nearly quadrupled, murder had quintupled, and robbery had grown fourteenfold. New Yorkers felt like they lived in a city under siege. Throughout the campaign, Giuliani embraced a theory of crime fighting called "broken windows," popularized a decade earlier by James Q. Wilson and George L.

Giuliani won the election, and he made good on his crime-fighting promises by selecting Boston police chief Bill Bratton as the NYPD's new commissioner. The results were dramatic. But even more remarkable is what happened next. All in all, it seemed to be a story with a happy ending, a triumph for Wilson and Kelling's theory and Giuliani and Bratton's practice. The PB Effect A molecule? Quand la presse iranienne rhabille Michelle Obama | Ailleurs sur le web. C'est la Première dame des États-Unis en personne qui a remis l'Oscar du meilleur film à Ben Affleck et son équipe pour Argo, lors de la grande fête du cinéma américain, dimanche. Si le choix de l'Académie n'a certes pas plu à Téhéran, l'agence de presse iranienne Fars voyait plutôt à redire au sujet de la robe de Michelle Obama. Les épaules dénudées de la femme du président Obama ont été recouvertes à l'aide de Photoshop.

Ce n'est pas la première fois que la presse iranienne met en exergue «ses talents de designer» en retouchant une photo. Un décolleté jugé trop plongeant de la haute représentante de l'UE pour les Affaires étrangères Catherine Ashton avait été transformé en chandail à col rond par un journal de Téhéran, en 2011. À lire et à voir sur 20minutes.fr. Mythbusters banned from talking about RFID.

TSA Screeners Continue to Lie to Passengers About Legality of Recording at Checkpoints. By now, it is becoming clear that TSA screeners know that recording is allowed at security checkpoints in airports, they just choose to tell passengers that it is not allowed with the hope that the passenger will not know any better. No different than the routine we see from police and security guards on a daily basis. After all, the policy has been in effect since the inception of the Transportation Security Administration in 2002 and numerous videos have surfaced where TSA screeners have been forced to acknowledge that recording at checkpoints is allowed.

And you would think that someone would mention it to them in their training considering the TSA has had the information posted on its blog in very easy-to-read language since 2009. We don’t prohibit public, passengers or press from photographing, videotaping, or filming at screening locations. The mother starts video recording and the TSA screener tells her it is illegal to record. The screeners eventually back down from harassing her.