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Les 4 types de consommateurs collaboratifs. La consommation collaborative gagne régulièrement du terrain et commence à sérieusement intéresser les cabinets d’études et les hommes de marketing.

Les 4 types de consommateurs collaboratifs

Un de ces cabinet a examiné nos comportements et en a déduit qu’il existe 4 types de personnes qui pratiquent la consommation collaborative. Les 4 types de consommation collaborative Le cabinet Iligo, spécialisé dans l’étude du comportement du consommateur, a mené une étude consacrée à la consommation collaborative et s’est amusé à créer une typologie des consommateurs collaboratifs. 4 types de profils de consommateurs collaboratifs sont identifiés et baptisés de noms très à la consonance très « globish ». Ces quatre profils sont identifiés selon 2 axes : 1 – un axe de contexte d’utilisation (individuel ou collectif). 2 – un axe de finalité de la pratique (usage des biens ou possession des biens) * Les « Co-Owners » sont plutôt des femmes ayant entre 25 et 34 ans. . * Les « Co-Users » : ce sont surtout des hommes ayant de 18 à 24 ans. Les jeunes urbains, champions de l’économie du partage.

Bobos, aventuriers, écolos : qui sont ces Français adeptes de la consommation collaborative. L’ADEME a publié, jeudi 25 avril, une enquête sur les Français et la consommation collaborative.

Bobos, aventuriers, écolos : qui sont ces Français adeptes de la consommation collaborative

Objectif : mieux cerner les valeurs, les modes de vie, de consommation et les critères socio-démographiques des français qui adoptent ces nouveaux modes de consommation. Résultats : les motivations sont très diverses, ces consommateurs sont plutôt jeunes, actifs, et les critères socio-démographiques ne sont pas discriminants. Voyons cela de plus près. Des caractéristiques communes. En France, les jeunes partagent-ils plus que les autres. La liberté chez les jeunes il y a quelques années: le vélo Solex !

En France, les jeunes partagent-ils plus que les autres

Source Les jeunes sont-ils les principaux adeptes de la consommation collaborative ? Alors que ces pratiques relèvent d’une nouvelle façon de consommer, l’Obsoco vient de publier une note qui entend faire le point sur une idée reçue selon laquelle il ne s’agirait que d’un truc de jeunes. Explications. Le tour du monde de la consommation collaborative. En 2005, consoGlobe a créé la première bourse de troc sur le web français.

Le tour du monde de la consommation collaborative

Depuis, que de chemin parcouru ! Le sentiment pro-environnement et de devoir consommer plus intelligemment a progressé : le consommateur français devient de plus en plus adepte de ce que nous appelons la “nouvelle consommation”. Cela reflète une attirance pour un ensemble de valeurs où l’environnement joue une place centrale aux cotés d’autres aspirations profondes : l’éthique, la solidarité, l’envie de consommer local et en circuit court, le respect de soi, le respect des autres, la générosité, …. La consommation collaborative est née, avec une valeur universelle : le partage, pierre angulaire d’une révolution silencieuse. La baisse du pouvoir d’achat pousse les Français à favoriser des solutions plus économiques. Chaque jour de nouvelles start-up voient le jour.

Sommaire du dossier 1 – La crise dope la consommation collaborative. Les Français sont fans de consommation collaborative, parfois sans le savoir. Le marché mondial de l'économie de partage pourrait atteindre près de 270 milliards d'euros d'ici à 2025, contre 12 milliards aujourd'hui, selon PwC.

Les Français sont fans de consommation collaborative, parfois sans le savoir

En France, près de la moitié des consommateurs y ont eu recours cette année. Aujourd'hui, tout ou presque peut se louer, s'échanger ou se partager via Internet. Voitures, maisons, canapés, frigos, machines à laver, journaux ... Vive la consommation collective ! Noël est passé, et si on continuait à propager l'esprit de partage ?

Vive la consommation collective !

Pour 2015, pensez collectif : une autre consommation, économique, écologique et créatrice de lien social. Après la frénésie de Noël, il est temps de revoir notre rythme de shopping à la baisse. Mais que faire quand le téléphone est en panne, qu’on a besoin d’urgence d’un tournevis ou que le vélo familial vient de rendre l’âme ? La crise dope la consommation collaborative. La consommation collaborative séduit les français.

Dans son bilan annuel du e-commerce français du 27 janvier, la FEVAD (Fédération e-commerce et vente à distance) souligne la montée en puissance du commerce collaboratif.

La consommation collaborative séduit les français

Il y a deux ans, les cyberacheteurs étaient 20% à consommer "collaboratif". La proportion est passée à 35% en 2015 et 60% des cyberacheteurs se déclarent maintenant prêts à franchir le pas du collaboratif. La vente directe s’impose comme le meilleurs moyen de satisfaire ces envies. Les fruits et légumes (7% d’utilisateurs en 2014 et 31% attendues pour 2015) devancent la demande hébergement auprès de particulier et le covoiturage pour boucler le podium. La consommation collaborative prend son envol sur internet - 27/01/2015. Phénomène de société, la consommation collaborative est devenue une vraie tendance que les Français solliciteront en 2015, notamment sur internet.

La consommation collaborative prend son envol sur internet - 27/01/2015

D'après une étude Fevad/CSA publiée mardi 27 janvier, 60% des e-acheteurs projettent d'être des acteurs de cette nouvelle façon de consommer. Les Français n'ont pas fini d'entendre parler de la consommation collaborative. D'autant que cette nouvelle mode devrait prendre de l'ampleur sur internet en 2015. Il y a deux ans, les cyberacheteurs étaient 20% à dire consommer "collaboratif". Ils étaient 35% en 2014 et sont aujourd'hui 60% à se projeter dans ce type de consommation.

La vente directe s'impose comme le moyen le plus efficace pour aboutir à cet objectif. 31% des internautes qui achètent sur la Toile envisagent de se fournir en légumes et autres produits frais auprès de producteurs accessibles en ligne. Le M-commerce, l'autre tendance 2015. La moitié des Français séduits par l'économie du partage- 10 décembre 2014. Oui, c'est une lame de fond qui va tout changer !

La moitié des Français séduits par l'économie du partage- 10 décembre 2014

" C’est la conviction du cabinet de conseil OC&C, qui a réalisé la première étude sérieuse sur l’économie du partage et la consommation collaborative. Flavien Neuvy (Observatoire Cetelem) : "Le consommateur d'aujourd'hui réfléchit et se fait plaisir" Flavien Neuvy, le responsable de l'Observatoire Cetelem.

Flavien Neuvy (Observatoire Cetelem) : "Le consommateur d'aujourd'hui réfléchit et se fait plaisir"

All rights reserved (Relaxnews) - Cinq ans après le début de la crise, ce ne sont plus les mêmes consommateurs qui arpentent les rayons des magasins, ou qui se connectent à internet. Les Européens ont changé et ont intégré de nouvelles habitudes, révèle l'Observatoire Cetelem jeudi 5 février. J'ai testé le coworking, un espace de travail partagé - 2 octobre 2013. Installés sur de grandes tables vides, les yeux rivés sur l'ordinateur, quelques trentenaires travaillent dans un silence quasi-total. Je m'installe discrètement à leurs côtés et déballe mes affaires. Ma première expérience de coworking peut commencer. Pour ce baptême, j'ai choisi Mutinerie, un espace basé dans le XIXème arrondissement de Paris, pour sa proximité avec mon domicile, mais aussi un peu par hasard. Je suis novice en la matière et je ne sais pas trop à quoi m'attendre. Tout a commencé par un échange de mails. Je corresponds ainsi au profil type du "coworker": jeune, diplômé, travaillant en free-lance et avide de nouvelles expériences.

Un bon point : je ne suis pas gênée dans mon travail. Axelle Lemaire: «Je suis particulièrement sensible à l'impact social du numérique» 01net le 04/02/15 à 17h40 Axelle Lemaire, la secrétaire d'Etat chargée du numérique. Axelle Lemaire est la secrétaire d'Etat en charge du numérique. Elle était invitée à ce titre à ouvrir leforum Netexplo à l'Unesco ce mercredi 4 avril. 01net : Cette année, Netexplo met en lumière une nouvelle tendance du numérique avec des start-up soucieuses de leur impact social, que ce soit au niveau de l’environnement ou de l’éducation. Axelle Lemaire : Je dirais que la France joue depuis longtemps un rôle moteur en matière d’économie collaborative. Il y aussi, bien sûr, une tendance forte concernant les objets connectés.